scholarly journals Premier signalement du Puceron Sarucallis kahawaluokalani (Kirkaldy, 1907) et de ses ennemis naturels en Guadeloupe (Hemiptera, Aphididae)

2018 ◽  
Vol 123 (4) ◽  
pp. 447-450
Author(s):  
Jean Étienne ◽  
Bruno Michel ◽  
Cyril Grapin
Keyword(s):  
2006 ◽  
Vol 87 (2) ◽  
pp. 83-90 ◽  
Author(s):  
Josée Boisclair ◽  
Bernard Estevez

Résumé Les systèmes agricoles en gestion biologique se caractérisent par une grande biodiversité et une forte complexité. La biodiversité est associée à une faune entomophage variée et abondante qui permet une meilleure lutte naturelle contre les insectes ravageurs qu’en agriculture intensive. Cette contribution ne se limite pas à la ferme. Certaines études à l’échelle du paysage démontrent que les zones non cultivées servent de réservoirs à la faune auxiliaire (prédateurs et parasitoïdes). Cependant, la biodiversité ne permet pas de réprimer certains ravageurs en dessous du seuil économique. Par conséquent, la prévention joue un rôle important en visant l’aménagement du système agricole pour qu’il soit favorable aux ennemis naturels et défavorable aux ravageurs. Ainsi, les pratiques culturales telles que la rotation et le choix de cultivars sont au premier plan dans une stratégie de lutte intégrée en production biologique. À un parcours technique qui mise sur le principe de prévention s’ajoutent, en dernier recours, des outils comme les bâches, les biopesticides et les agents de lutte biologique. Malgré ces outils, le défi reste entier. La complexité de « l’agroécosystème biologique » exige un effort de recherche pour mieux comprendre certains mécanismes qui permettraient d’accroître la lutte naturelle aux insectes ravageurs.


Entomophaga ◽  
1996 ◽  
Vol 41 (2) ◽  
pp. 167-182 ◽  
Author(s):  
R. Muniappan ◽  
G. R. W. Denton ◽  
J. W. Brown ◽  
T. S. Lali ◽  
U. Prasad ◽  
...  
Keyword(s):  

2013 ◽  
pp. 675-692
Author(s):  
René Sforza ◽  
Anne-Marie Cortesero ◽  
Dominique Coutinot ◽  
Nicolas Desneux ◽  
François-Régis Goebel ◽  
...  
Keyword(s):  

EPPO Bulletin ◽  
2012 ◽  
Vol 42 (2) ◽  
pp. 268-274 ◽  
Author(s):  
M. Boualem ◽  
H. Allaoui ◽  
R. Hamadi ◽  
M. Medjahed
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 28 ◽  
pp. 25 ◽  
Author(s):  
Thierry Brévault ◽  
Djibril Badiane ◽  
Régis Goebel ◽  
Alain Renou ◽  
Idrissa Téréta ◽  
...  

Les insectes ravageurs représentent une contrainte majeure à l’augmentation du rendement en culture cotonnière en Afrique de l’Ouest. Les filières cotonnières se sont engagées, à des degrés divers, dans des démarches de gestion intégrée des ravageurs pour réduire l’utilisation des insecticides et limiter en amont les risques sanitaires et environnementaux. Toutefois, un changement fondamental des pratiques, au bénéfice de la stimulation des services de régulation naturelle des ravageurs, s’impose pour mettre au point des systèmes de production encore plus économes en pesticides et plus résilients. Les leviers permettant de stimuler les processus écologiques de régulation naturelle des ravageurs sont multiples et redevables d’actions à différentes échelles, du champ cultivé au territoire, mais nécessitent d’approfondir notre connaissance du système de vie des ravageurs et de leurs ennemis naturels. Ils nécessitent aussi une plus grande prise en compte de la perception et des pratiques des acteurs dans une approche participative de la gestion collective des ressources et des processus d’innovation. À terme, il s’agit de construire une organisation territorialisée d’actions individuelles et collectives de gestion des ravageurs et des services écosystémiques, incluant des dimensions écologiques, économiques et sociales.


OENO One ◽  
1970 ◽  
Vol 4 (2) ◽  
pp. 231-234
Author(s):  
Jean RIBEREAU-GAYON

La thèse récente (1969) de F. CHABOUSSOU (Station de Zoologie agricole du Sud-Ouest, INRA) étudie certains « déséquilibres biologiques », particulièrement les pullulations d'Acariens sur vigne, à la suite de certains traitements pesticides (insecticides ou fongicides). On pensait que c'est en détruisant les ennemis naturels ou prédateurs des insectes que ces traitements favorisent parfois leur multiplication. Or certains pesticides, parfaitement inoffensifs pour les prédateurs, entraînent cependant, par rapport aux témoins non traités, une multiplication des Acariens. Grâce à des élevages au laboratoire, CHABOUSSOU a été conduit à une explication toute différente : certains traitements pesticides sur vigne (DDT, parathion, carbaryl, captane, cuivre à faible dose, etc...) entraînent un accroissement de la fécondité et de la longévité des individus pouvant être dû soit à une action directe et positive sur leur vitalité (qu'il n'a pas été possible de démontrer), soit à une modification de la physiologie et de la biochimie de la plante (qui est certaine et bien établie dans plusieurs cas).


2019 ◽  
pp. 111-130
Author(s):  
Adrien Rusch ◽  
Pierre Franck ◽  
Manuel Plantegenest ◽  
Sylvain Poggi ◽  
Benoît Ricci ◽  
...  
Keyword(s):  

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