Enquête sur l'agriculture noire au Gabon et sur certaines techniques utilisant des produits végétaux.

1940 ◽  
Vol 20 (230) ◽  
pp. 722-745 ◽  
Author(s):  
André Walker
Keyword(s):  
2005 ◽  
Vol 189 (8) ◽  
pp. 1609-1621
Author(s):  
Jean-François Briat
Keyword(s):  

1973 ◽  
Vol 13 (4) ◽  
pp. 355-366 ◽  
Author(s):  
J FOUSSEREAU ◽  
J LANTZ ◽  
J ESCANDE
Keyword(s):  

Author(s):  
Bernard Mongodin ◽  
R. Rivière
Keyword(s):  

Un certain nombre de produits originaires des pays de l'Afrique de l'Ouest francophones, susceptibles d'être utilisés en alimentation animale, ont été analysés et étudiés en considérant les points de vue technique, économique et social de leur utilisation. Ces produits appartiennent aux catégories suivantes: grains et dérivés, autres végétaux essentiellement glucidiques, graines oléagineuses et leurs sous-produits, produits végétaux divers, produits d'origine animale. Cette étude doit permettre un calcul plus précis des rations


Author(s):  
Jean Blancou ◽  
H. Calvet
Keyword(s):  

Certains produits végétaux destinés à l'alimentation du bétail au Sénégal peuvent fermenter spontanément lorsqu'ils sont réhydratés en eau salée (à 6,5 p. 1 000) et exposés 48 heures au soleil en récipient étanche. Après cette fermentation, la digestibilité in vivo sur moutons de chacun de ces produits a été comparée à celle du même produit non fermenté. Elle s'est accrue de 7,9 p. 100 en moyenne en ce qui concerne la matière sèche de la coque d'arachide, fane d'arachide, paille de mil et sons ou leurs mélanges. Corrélativement valeur UF et indice de consommation sont significativement améliorés


1952 ◽  
Vol 1 (3) ◽  
pp. 31-44
Author(s):  
Louis CHEVILLARD ◽  
Guy FAUCONNEAU ◽  
Jean ROCHE
Keyword(s):  

2005 ◽  
Vol 18 (3) ◽  
pp. 159-168 ◽  
Author(s):  
G. TRAN ◽  
F. SKIBA
Keyword(s):  

La valeur «phosphore» des aliments, dont la connaissance est nécessaire pour maîtriser les apports nutritionnels et les rejets dans l’environnement, est caractérisée par les teneurs en phosphore total et en phosphore phytique par l’activité phytasique endogène. Les teneurs en phosphore total varient fortement entre matières premières : de moins de 1 g/kg (paille de blé) à plus de 210 g/kg (certains phosphates). Le phosphore total représente en général moins de 20 % des matières minérales et le ratio phosphore total / matières minérales (P/MM) est caractéristique d’une famille biologique. Ainsi, pour les céréales et les graines oléagineuses (2 à 8 g/kg de phosphore total), l’extraction de l’amidon ou de l’huile conduit à une concentration en matières minérales avec un ratio P/MM relativement constant pour une espèce donnée (20 % pour le blé, 10 % pour le soja). Pour les produits végétaux autres que les grains et graines et leurs coproduits, les teneurs en phosphore total sont plus faibles (moins de 3 g/kg) et moins corrélées aux teneurs en matières minérales. Le phosphore phytique constitue en général de 50 à 80 % du phosphore total des matières premières végétales, avec une grande variabilité intra-espèce (30 à 90 % pour le blé). Les phytases végétales sont présentes de façon significative dans le seigle (plus de 5000 U/kg), les issues de blé, le triticale, l’orge et le blé, avec là encore une grande variabilité intra-espèce (de 250 à 1000 U/kg pour le blé). Différentes études montrent que le principal facteur de variation de la teneur en phosphore ou en phosphore phytique des céréales est le lieu de culture, à travers la fertilisation phosphatée et azotée ou le climat. Il existe souvent une relation linéaire reliant les deux critères. L’activité phytasique endogène semble surtout déterminée génétiquement mais en interaction avec le lieu de culture, ce qui rend ce critère difficilement sélectionnable. Elle n’est pas liée à la teneur en phosphore ou en phosphore phytique. Par ailleurs, les phytases végétales, comme les phytases exogènes, sont sensibles à la chaleur et il convient d’évaluer spécifiquement pour chaque atelier de fabrication l’effet de la technologie sur l’activité phytasique. La mesure de cette activité est enfin fortement sujette à des variations inter-laboratoires. De façon générale, la prédiction des teneurs en phosphore et surtout de l’activité phytasique n’est pas aisée, et les mesures de laboratoire sont souvent nécessaires.


Author(s):  
Jean Blancou

L'étude de la fermentation microbienne in vitro des cinq principaux produits végétaux utilisables pour l'alimentation du bétail sénégalais a été réalisée par l'analyse de ses produits finals (bactéries et leurs métabolites). La détermination du taux des acides gras volatils produits s'est avérée la meilleure technique d'étude, puisqu'elle est en corrélation hautement significative avec la valeur U.F. du produit fermenté: ceci peut permettre un test rapide de valeur nutritive des aliments destinés aux ruminants. Cette étude a démontré également l'importance de la charge microbienne initiale de l'aliment dont l'augmentation (par pré-fermentation de l'aliment) pourrait améliorer sa digestibilité


1965 ◽  
Vol 8 (02) ◽  
pp. 263-297
Author(s):  
Edmond Leplae

La richesse des terrains de la Colonie en or, diamants, cuivre, étain, radium, cobalt et autres produits minéraux, fait l’objet de prospections méthodiques et d’exploitations minières dont le nombre et la production augmentent chaque année. Les produits d’origine végétale, cueillettes et récoltes cultivées, livrent un poids considérable de marchandises dont l’exportation en 1936 approche de 440.000 tonnes. Ce sont toutefois des produits pauvres, de valeur marchande réduite, et dont le transport est fort coûteux proportionnellement à leur valeur. Les grandeurs des productions minérales et végétales et des bénéfices dont elles sont susceptibles, dépendent principalement, comme dans toutes les colonies tropicales, des conditions de la main-d’œuvre et du zèle agricole des indigènes. La dévaluation de la monnaie en 1935 fut pour le Congo belge un sérieux avantage, compensant un peu la longueur des transports, la pauvreté du sol, et l’étendue excessive de la forêt. En décomposant la valeur des produits exportés par la Colonie, on constate que les produits miniers en représentent environ les deux tiers, tandis que les produits de cueillette en représentent un sixième et les produits de culture un neuvième (1935). En 1936 la valeur totale des exportations fut de 1.600.000.000 dont les mines donnèrent les deux tiers et les produits végétaux (cueillettes et cultures) un tiers. Dans l’étude des exportations congolaises, il importe de se rappeler que les valeurs indiquées par les statistiques des exportations sont beaucoup inférieures aux valeurs réelles ou commerciales; celles-ci peuvent être estimées à 120 pour cent des valeurs accusées dans les statistiques.


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