creation du monde
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Author(s):  
Igor H. De Souza

A discussion of Création du monde et limites du langage. Sur l’art d’écrire des philosophes juifs médiévaux by David Lemler. Published Online (2021-08-31)Copyright © 2021 by Igor H. De Souza Article PDF Link: https://jps.library.utoronto.ca/index.php/aestimatio/article/view/37702/28700 Corresponding Author: Igor H. De Souza, Yale UniversityE-Mail: [email protected]


Author(s):  
Mawuloe Koffi Kodah

La conception et création du monde sont attribuées à un créateur divin, invisible, omniprésent et omnipotent généralement dénommé Dieu, et celui-ci protège, nourrit et pourvoit les besoins de ses créatures. L‟homme, nommé contremaitre de la création par Dieu lui-même, est doué d‟une cognition supérieure qui l‟aide à se munir, se protéger et préserver son environnement. En dépit de son aptitude innée, l‟homme persévère de charger Dieu de sa survie sur la terre, épargnant ses propres compétences. Dans son roman Gouverneurs de la rosée, Jacques Roumain (1946) met en jeu la résignation de l‟homme devant les défis de la nature, de ses propres actions et inactions, et conséquemment sa dépendance excessive vis-à-vis de Dieu dans la résolution d‟un désastre environnemental. Affligé par la désertification, suite au déboisement et d‟autres activités destructrices de la production agricole, le peuple de Fonds-Rouge d‟Haïti se réfugie dans des rituels, s‟abandonnant ainsi à la grâce de Dieu et d‟autres êtres cultuels. Du point de vue de l‟existentialisme théiste, cet article met en examen la responsabilité de Dieu dans la souffrance des hommes sur terre et la capacité de l‟homme de se faire et se défaire. Cet examen critique vise la disculpation de Dieu, et aussi la mise en cause de la dénonciation athée ou anti-religion de ce texte romanesque depuis sa parution. Ceci s‟accomplit par une lecture critique et une analyse réfléchie de Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain. Cette étude se conduit dans la structure analytique des études littéraires et de la sociocritique.


Author(s):  
Juliet Bellow

A ballet inspired by a creation fable in Blaise Cendrars’s Anthologie nègre (1921), La Création du monde (The Creation of the World) was produced by Rolf de Maré’s Ballets Suédois troupe, premiering on October 25, 1923 at the Théâtre des Champs-Élysées, Paris. Together with the painter Fernand Léger, Cendrars proposed a ‘‘ballet nègre’’ in 1921 to de Maré and the troupe’s choreographer Jean Börlin. Börlin’s 1920 suite of solo dances Sculpture nègre signaled his interest in African art and artifacts then on display at the Musée d’Ethnographie and in galleries and private collections—an influence also visible in the stylized body-masks that Léger designed for La Création du monde. The ballet’s score was contributed by Darius Milhaud, a member of the group Les Six, known for infusing the European symphonic tradition with aspects of jazz and blues music. Freely mixing African and African American cultural references, La Création du monde grew out of European primitivism and typified the ‘‘negrophilia’’ which pervaded high art and popular culture in the 1920s. The ballet’s narrative, which resembled the biblical story of Genesis, purportedly drew from myths of the Fang peoples of West Central Africa, then part of French Congo. This theme of creation linked the French colonial enterprise with the regeneration of the nation in the aftermath of World War I.


2018 ◽  
Vol 2 (3) ◽  
pp. 75-86
Author(s):  
Marie-France Renard
Keyword(s):  

Depuis le néant d’avant la création du monde, le noir ne cesse de recréer sa propre définition. Perçue aujourd’hui comme un comble de l’élégance (ainsi que le suggère, entre autres exemples, Coco Noir, le parfum Chanel), cette couleur de deuil et de transgression en conflit avec la lumière, suscite dans l’œuvre de Françoise Lalande de nombreuses actualisations. Il m’a semblé intéressant de retenir et d’analyser une scène traumatique vécue au Congo où le noir joue un rôle particulier, comme atmosphère et/ou comme couleur. Cette scène qui revient de manière obsédante dans l’œuvre lalandienne, est à l’origine de son écriture. C’est son noyau fantasmatique. Il la génère et se décline en subtiles variations au fil des années.


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