Prévalence et facteurs favorisants de l’asthme chez l’enfant d’âge scolaire dans la région des savanes du Togo

2018 ◽  
Vol 58 (3) ◽  
pp. 271
Author(s):  
N.K. Douti ◽  
J.N. Teclessou ◽  
M. Fiawoo ◽  
A. Nassakou ◽  
M. Hemou ◽  
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Keyword(s):  
1995 ◽  
Vol 5 (3) ◽  
pp. 176-177 ◽  
Author(s):  
V. Fière ◽  
H. Chavane ◽  
M. H. Fessy ◽  
J. Bejui ◽  
L. P. Fischer
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 9 (09) ◽  
pp. 596-600
Author(s):  
Ngakani Offobo S. ◽  
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Sima Cedric ◽  
Diallo Kadidiatou ◽  
Socaras Poduermo ◽  
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La gangrene de Fournier est une fasciite necrosante perineale a developpement rapidement progressive, fatale dans 20 a 80 % des cas. Elle fut decrite en 1883 par Alfred de Fournier devant une gangrene foudroyante sans cause evident. Il sagit dune infection pluri microbienne associant des germes aerobies et anaerobies. La source de linfection est, soit cutanee, urogenitale ou colorectale. Des facteurs favorisants, comme lage, le diabete et limmunodepression, sont souvent presents chez les patients atteints. Une reconnaissance du diagnostic clinique precoce, une connaissance de lecologie bacterienne ainsi quune prise en charge medico- chirurgicale precoce et adaptee peuvent permettre dameliorer le pronostic de cette affection. Lobjectif etait detudier les caracteristiques epidemiologique, cliniques, paracliniques et therapeutiques de cette pathologie.


Author(s):  
Mabrouk M. Seddik ◽  
M. S. Ben Said ◽  
M. Benzarti ◽  
T. Khorchani ◽  
L. Messadi ◽  
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Les résultats d’une enquête épidémiologique et clinique, et d’examen bactériologique relative à la maladie des abcès chez le dromadaire dans la région de Nefzaoua (sud-ouest de la Tunisie) sont présentés. L’étude épidémiologique a concerné 33 élevages en extensif ainsi que des dromadaires exploités dans le secteur touristique. Les études clinique et bactériologique ont porté sur 38 animaux issus de ces élevages. Cliniquement, la maladie n’a pas affecté l’état général de l’animal et a souvent touché les noeuds lymphatiques cervicaux inférieurs et préscapulaires en un nombre d’un ou deux abcès par animal atteint. La forme interne de la maladie n’a pas été observée sur les soixante-douze carcasses abattues dans l’abattoir de la région. La morbidité de la maladie dans la région a été de 9 p. 100. Cette maladie a souvent touché les jeunes dont l’âge était inférieur à un an. Les facteurs favorisants les plus incriminés dans l’apparition de la maladie ont été : le tatouage, le regroupement des animaux provenant de différents élevages et l’infestation par les tiques. Différents germes ont été isolés, notamment les staphylocoques (53 p. 100 des cas), Corynebacterium pseudotuberculosis (18 p. 100) et Actinomyces pyogenes (26 p. 100).


1999 ◽  
Vol 20 ◽  
pp. s80
Author(s):  
A. Jégo ◽  
D. Noël ◽  
C. Capet ◽  
A. Cocard ◽  
P. Chassagne ◽  
...  
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 141 (12) ◽  
pp. S249-S250
Author(s):  
F. Boralevi ◽  
L. Cadet ◽  
K. Ezzedine ◽  
E. Bourrat ◽  
N. Raison ◽  
...  
Keyword(s):  

2017 ◽  
Vol 78 (4) ◽  
pp. 378
Author(s):  
M. Ammar ◽  
N. Charfi ◽  
J. Jdidi ◽  
S. Msaad ◽  
N. Rekik ◽  
...  
Keyword(s):  

1996 ◽  
Vol 39 (5) ◽  
pp. 269-274
Author(s):  
B Nicolas ◽  
P Gallien ◽  
S Robineau ◽  
AC De Crouy ◽  
MP Lebot ◽  
...  
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 578-578 ◽  
Author(s):  
A. Poisson

Les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont une complication relativement fréquente au stade des complications cognitives de la maladie. Étant généralement peu inquiétantes, le sujet ne les rapportera pas toujours spontanément. Pourtant, elles peuvent en effet signer l’entrée dans une psychose ou une démence parkinsonienne. Elles grèvent la qualité de vie du patient, de son entourage et parfois mettent en péril le maintien à domicile des sujets. Elles ne doivent donc pas êtres négligées. Classiquement les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont d’abord visuelles, parfois mineures (simples de passage à la périphérie du champ visuel) ou au contraire très élaborées.Leur physiopathologie demeure imparfaitement connue. L’atteinte visuelle centrale, et notamment au niveau de l’intégration des données visuelles semble jour un rôle majeur. Cependant, d’autres systèmes dont le fonctionnement est perturbé dans la maladie de Parkinson sont impliqués dans la survenue des hallucinations : système visuel périphérique (rétine), voies régulatrices du cycle veille sommeil et notamment du sommeil paradoxal et enfin le système frontal et notamment exécutif.La prise en charge des hallucinations dans la maladie de Parkinson est relativement stéréotypée. Il faut tout d’abord dépister pour les éliminer les facteurs favorisants, notamment de type médicamenteux ou métabolique. Si les hallucinations persistent, le traitement antiparkinsonien doit être revu rapidement avec en priorité la diminution ou l’arrêt des anticholinergiques, des agonistes dopaminergiques et de l’amantadine, puis des inhibiteurs de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et de la monoaminoxydase B (MAO B). Au besoin, les doses de dopamine peuvent être diminuées. Ces adaptations thérapeutiques permettent en général de contrôler les hallucinations, parfois au détriment de l’état moteur. Malgré tout, si les hallucinations persistent, un traitement neuroleptique par petites doses de clozapine peut être indiqué avec en générale une excellente efficacité.


2019 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 47-51
Author(s):  
Jean Claude Mbonicura ◽  
E Ndirahisha ◽  
M Manirakiza ◽  
A Kwizera ◽  
A Niyonzima ◽  
...  

But : Déterminer les aspects épidémiologiques, étiologiques, thérapeutiques et évolutifs de la gangrène de Fournier. Patients et Méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive portant sur 10 patients ayant été traités dans quatre principaux hôpitaux publics de Bujumbura pour Gangrène de Fournier. Elle s'étend sur une période de deux ans. Résultats : La fréquence de la GF était de 0,102%. L'âge moyen était de 46,7 ans. Tous nos patients étaient masculins. Six malades sur 10 avaient consulté entre 5 et 15 jours après le début des signes. Les antécédents urogénitaux prédominent (40%). Les facteurs favorisants étaient le diabète (40%), la paraplégie (20%) et le VIH (10%). La GF secondaire représentait 7 cas dont 4 urogénitales, 2 cutanées et 1 proctologique. Les lésions se limitaient au périnée chez 80% des malades. L'examen bactériologique retrouvait l'Escherichia Coli (70%). Tous les décès (2 cas) avaient un ISGF de 10,5. L'association céphalosporine, aminoside et imidazole était principalement prescrite (60%). Le traitement chirurgical était essentiellement le débridement (90. La dérivation urinaire était faite chez tous les malades. Un séjour moyen était 93,6 jours. Les complications retrouvées étaient choc septique (20%), insuffisance rénale (40%) et anémie (20%). Conclusion : La GF reste une pathologie relativement rare. La consultation tardive explique le retard diagnostique. Les étiologies sont dominées par les causes urogénitales avec le diabète comme facteur de risque principal. La consultation précoce et le contrôle des facteurs favorisant réduiraient le taux de mortalité.


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