P.278 Prise en charge chirurgicale proctologique du patient âgé : résultats d’une étude rétrospective

2009 ◽  
Vol 33 (3) ◽  
pp. A187
Author(s):  
P. Roumeguère ◽  
M. Aubert ◽  
P. Benfredj ◽  
C. Bord ◽  
K. Fellous ◽  
...  
2011 ◽  
Vol 3 (2) ◽  
pp. 43-47
Author(s):  
A. Forest ◽  
J. Cohen-Bittan ◽  
P. Ray ◽  
J. Boddaert

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 648-648
Author(s):  
D. Porcheret-Lotz ◽  
S. Haddou ◽  
V. Lequimener

EQUIPAD (entourage quotidien par une unité d’intervention de psychiatrie pluridisciplinaire à domicile) est une structure de soins pour des patients en souffrance psychique aiguë qui intervient à domicile.Les missionsC’est une véritable alternative à l’hospitalisation « classique ». La capacité d’accueil est de 6 places. Les soins dispensés répondent aux critères :– de coordination des intervenants ;– de la fréquence des interventions ;– de pluridisciplinarité ;– de développement du réseau.Ils se situent comme une alternative à l’hospitalisation à temps complet en amont ou en aval. Par ailleurs, ces soins peuvent préparer une hospitalisation ou raccourcir une durée d’hospitalisation par des soins à domicile ou être une aide au diagnostic.Le relais de soins est effectué par le psychiatre traitant adresseur. Si le patient n’en a pas, il sera adressé au centre médico-psychologique ou à un psychiatre libéral afin de poursuivre les soins ambulatoires.La prise en chargeCe mode d’hospitalisation s’adresse à tout patient âgé de plus de 18 ans, en souffrance psychique aiguë et résidant sur Nantes centre ville.L’hospitalisationLa durée maximum d’hospitalisation est de 21 jours, renouvelable une fois. Les patients ne peuvent pas être admis plus de trois fois dans l’année.Le patient doit être consentant aux soins et vivre dans un environnement salubre. La présence d’un aidant familial comme partenaire de soins est recommandée. Les patients en programme de soins peuvent être admis.Ce dispositif fonctionne du lundi au vendredi de 8 h 30 à 18 h et les week-ends/jours fériés de 9 h à 16 h 30.Une infirmière passe entre une à deux fois par jour au domicile. Un à deux entretiens médicaux sont programmés par semaine.Les équipes soignantes et sociales font aussi un travail de liaison avec les partenaires médicaux, sociaux et infirmiers habituels du patient.


2020 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 206-207
Author(s):  
Nora Righi ◽  
◽  
Merim Debbabi ◽  
Souad Hamoud ◽  
Mounir Sadelaoud ◽  
...  

Le SRAS-CoV-2 du syndrome respiratoire aigu sévère, virus nouvellement émergeant, découvert en chine (Wuhan) a mené à une pandémie actuelle de maladie a coronavirus 2019 (Covid-19). Plus de 1.700.000 de cas en Afrique avec 1.400.000 de guérisons associés et 41000 de décès. 55,630 cas en Algérie avec 1,897 de décès (OMS 27 octobre 2020). Le SARS-Cov 2 peut infecter plusieurs systèmes y compris les voies urinaires ; cependant, la présence d’ARN viral n’était pas nécessairement prédictive des symptômes cliniques urinaires. L’objectif de cet article est de montrer que la Covid-19 peut être révélée par une symptomatologie urinaire haute, ce qui a été retrouvé pour la première fois chez un patient âgé de 56 ans, tabagique, ayant comme antécédents une anosmie et une agueusie remontant au mois de juin, consultait pour un tableau d’infection urinaire haute avec une leucocyturie aseptique, un bilan rénal perturbé. Devant la persistance de la fièvre et l’apparition des signes respiratoires, une sérologie Covid-19 lui a été pratiquée revenant négative, une PCR nasopharyngée positive et la PCR urinaire 3 jours après la mise en route du l’hydroxychloroquine était négative. Devant l’aggravation des lésions pulmonaires le malade est décédé dans un tableau d’insuffisance respiratoire aigüe. En conclusion, devant toute symptomatologie fébrile d’apparition aigue en cette période de pandémie, le praticien doit toujours avoir le réflexe de pratiquer une PCR nasopharyngée à la recherche du virus afin d’optimiser la prise en charge et d’éviter L’apparition des formes graves


2018 ◽  
Vol 5 (1) ◽  
pp. 87-90
Author(s):  
Amine Hamma ◽  

Les infections orbitaires sont des pathologies assez rares, compliquant le plus souvent une sinusite préexistante. Du fait de leur siège, elles peuvent engager le pronostic visuel voire vital par extension au sinus caverneux ou aux autres structures intracrâniennes. Nous rapportons le cas d’un patient âgé de 72 ans, qui au décours d’un épisode d’acidocétose a présenté une tuméfaction palpébrale gauche assez douloureuse. L’examen ophtalmologique retrouve une baisse de l’acuité visuelle à gauche associée à une exophtalmie, une ophtalmoplégie, un chemosis et une légère hyperhémie conjonctivale. L’imagerie médicale affirme la présence d’un abcès orbitaire gauche compliquant une pansinusite et imposant une prise en charge en milieu hospitalier. Une sinusite négligée ou insuffisamment traitée peut virer vers un tableau clinique dramatique et se compliquer d’un abcès orbitaire surtout en cas de participation de plusieurs sinus chez un sujet taré et mal équilibré. Un diagnostic précoce et une prise en charge thérapeutique énergique et multidisciplinaire sont indispensables pour contrer l’infection et éviter sa propagation aux structures de voisinage.


2014 ◽  
Vol 6 (4) ◽  
pp. 163-168 ◽  
Author(s):  
F. Puisieux ◽  
P. Lagardere ◽  
V. Beghin ◽  
V. Pardessus

2020 ◽  
Vol 54 (1) ◽  
pp. 73-84
Author(s):  
Christine Muller ◽  
Pierre Canal

L’augmentation de l’espérance de vie de notre population et ce dans de bonnes conditions, fait que l’on porte de plus en plus d’attention au sénior et à son bien-être. Les séniors sont de plus en plus nombreux dans nos cabinets d’orthodontie. C’est pourquoi cet article va étudier successivement l’état parodontal, dentaire, général du patient âgé ainsi que sa psychologie, sa motivation et son potentiel de collaboration. Nous envisagerons les demandes de ces patients avant tout esthétiques et fonctionnelles mais visant également à améliorer leur santé bucco-dentaire. Nous définirons la technique la plus appropriée pour traiter ces patients, la moins visible possible et contrôlant précisément le déplacement dentaire. L’abord de ces patients est nécessairement pluridisciplinaire, ce que nous verrons ainsi que le coût préalable de l’ensemble de la remise en état de la cavité buccale. Nous souhaitons grâce à cet article améliorer la prise en charge orthodontique du sénior !


2019 ◽  
Vol 29 (14) ◽  
pp. 874-895
Author(s):  
Y. Neuzillet ◽  
G. Albrand ◽  
P. Caillet ◽  
E. Paillaud ◽  
P. Mongiat-Artus

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