symptômes cliniques
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(FIVE YEARS 7)

H-INDEX

3
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 22 (3) ◽  
pp. 330-335
Author(s):  
S.O. Usman ◽  
I.I. Busari ◽  
S. Fagbemi ◽  
M.M. Adeniyi ◽  
P. Irabor ◽  
...  

Background: The severe acute respiratory syndrome coronavirus-2 (SARS-CoV-2) is a novel strain of coronavirus, which is the cause of the current coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic, ravaging many countries of the world. The objective of this study is to assess the symptomatology and case management outcome of hospitalized COVID-19 patients in Ondo State, Southwestern Nigeria.Methodology: This was a longitudinal study carried out on randomly selected patients with COVID-19, confirmed by real-time reverse transcriptase-polymerase chain reaction (rRT-PCR), admitted to the Infectious Disease Hospital, Akure, from March to July 2020. Clinical and outcome data obtained from the patients were analysed using the Statistical Package for the Social Sciences (SPSS) version 24.0 software, and variables were compared using the Chi square (χ²) test and Odds ratio (OR).Results: A total of 215 hospitalized COVID-19 patients were randomly recruited, with 103 males and 112 females (M:F ratio of 1:1.1), and mean age of 37.24 ± 16.83 years. The most common symptoms were shortness of breath (22.8%), cough (18.6%), fatigue (17.2%), runny nose (16.7%), fever (16.3%), and sneezing (14.0%). Mortality rate among the patients was 4.7% (10/215). Statistical analysis showed that fever [χ² = 8.75, OR 2.17 (95% CI: 0.29-16.63), p=0.003] and sneezing [χ²=11.35, OR 2.75 (95% CI: 0.34-18.27), p=0.001] were clinical presentations with significant impact on the final outcome of the patients.Conclusion: This study showed that the most common symptoms in hospitalized COVID-19 patients were shortness of breath, cough, running nose, fever and sneezing, which underscores the importance of monitoring of patients for these symptoms. Keywords: COVID-19; symptoms; management; hospitalized; outcome; Nigeria   French Title: Symptômes cliniques et résultats chez les patients hospitalisés COVID-19 dans l'État d'Ondo, dans le sud-ouest du Nigéria Contexte: Le coronavirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) est une nouvelle souche de coronavirus, qui est à l'origine de la pandémie actuelle de coronavirus 2019 (COVID-19), ravageant de nombreux pays du monde. L'objectif de cette étude est d'évaluer les résultats de la symptomatologie et de la prise en charge des cas de patients hospitalisés COVID-19 dans l'État d'Ondo, dans le sud-ouest du Nigéria. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude longitudinale réalisée sur des patients sélectionnés au hasard atteints de COVID-19, confirmée par réaction en chaîne par transcriptase-polymérase inverse en temps réel (rRT-PCR), admis à l'hôpital des maladies infectieuses d'Akure de mars à juillet 2020. Les données cliniques et les résultats obtenus des patients ont été analysés à l'aide du logiciel Statistical Package for the Social Sciences (SPSS) version 24.0, et les variables ont été comparées à l'aide du test du Chi carré (χ²) et du rapport de cotes (OR). Résultats: Un total de 215 patients hospitalisés COVID-19 ont été recrutés au hasard, avec 103 hommes et 112 femmes (rapport H: F de 1: 1,1), et un âge moyen de 37,24±16,83 ans. Les symptômes les plus courants étaient l'essoufflement (22,8%), la toux (18,6%), la fatigue (17,2%), l'écoulement nasal (16,7%), la fièvre (16,3%) et les éternuements (14,0%). Le taux de mortalité parmi les patients était de 4,7% (10/215). L'analyse statistique a montré que la fièvre [χ²=8,75, OR 2,17 (IC à 95%: 0,29 à 16,63), p=0,003] et les éternuements [χ²=11,35, OR 2,75 (IC à 95%: 0,34 à 18,27), p=0,001] étaient présentations cliniques avec un impact significatif sur le résultat final des patients. Conclusion: Cette étude a montré que les symptômes les plus courants chez les patients hospitalisés sous COVID-19 étaient l'essoufflement, la toux, le nez qui coule, la fièvre et les éternuements, ce qui souligne l'importance de la surveillance des patients pour ces symptômes. Mots clés: COVID-19; symptômes; la gestion; hospitalisé; résultat; Nigeria


Author(s):  
Popi René Tshibwabwa ◽  
Ebwel Joacim Mukau ◽  
Mayinzambi Jean-Paul Yawidi ◽  
Daniel Okitundu

Cette étude a évalué les déficits des fonctions neurocognitives de base, les facteurs psychologiques et ceux de la sphère sociale associés qui interfèrent avec la mauvaise adaptation des patients schizophrènes traités au C.N.P.P. de l’Université Kinshasa. Elle a fait suite à une recherche initiale menée auprès de 48 personnes souffrant de schizophrénie et qui avaient montré après la stabilisation des symptômes cliniques, la difficulté d’interagir adéquatement avec la réalité était la plainte. Le suivi psychologique en postcure a révélé une mauvaise intégration de ces patients dans le contexte familial. Quatre patients issus de cette cohorte, sélectionnés par choix raisonné ou de convenance (Pirès, 1977) ont été évalués à l’aide d’entretien clinique, des tests neuropsychologiques et des échelles de mesure sociale. L’objectif a consisté à utiliser une approche de remédiation cognitive de restauration du processus adaptée aux difficultés et des interventions individualisées de réadaptation psychosociale pouvant favoriser l’intégration de la personne à la famille et à la communauté, au rythme individuel. Les résultats des bilans individuels réalisés ont révélé des profils neurocognitifs déficitaires de mémoires, d’attention et de planification des tâches, un coping inapproprié, une estime de soi faible, une accumulation des stress, la stratégie globale de résolution de problèmes, un soutien familial non perçu, une relation malade-médecin moins bonne, une attribution causale externe de la maladie, une habitude de consommation de substances psychoactives, l’appartenance de l’enfant à une famille désunie. <p> </p><p><strong> Article visualizations:</strong></p><p><img src="/-counters-/edu_01/0748/a.php" alt="Hit counter" /></p>


2020 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 206-207
Author(s):  
Nora Righi ◽  
◽  
Merim Debbabi ◽  
Souad Hamoud ◽  
Mounir Sadelaoud ◽  
...  

Le SRAS-CoV-2 du syndrome respiratoire aigu sévère, virus nouvellement émergeant, découvert en chine (Wuhan) a mené à une pandémie actuelle de maladie a coronavirus 2019 (Covid-19). Plus de 1.700.000 de cas en Afrique avec 1.400.000 de guérisons associés et 41000 de décès. 55,630 cas en Algérie avec 1,897 de décès (OMS 27 octobre 2020). Le SARS-Cov 2 peut infecter plusieurs systèmes y compris les voies urinaires ; cependant, la présence d’ARN viral n’était pas nécessairement prédictive des symptômes cliniques urinaires. L’objectif de cet article est de montrer que la Covid-19 peut être révélée par une symptomatologie urinaire haute, ce qui a été retrouvé pour la première fois chez un patient âgé de 56 ans, tabagique, ayant comme antécédents une anosmie et une agueusie remontant au mois de juin, consultait pour un tableau d’infection urinaire haute avec une leucocyturie aseptique, un bilan rénal perturbé. Devant la persistance de la fièvre et l’apparition des signes respiratoires, une sérologie Covid-19 lui a été pratiquée revenant négative, une PCR nasopharyngée positive et la PCR urinaire 3 jours après la mise en route du l’hydroxychloroquine était négative. Devant l’aggravation des lésions pulmonaires le malade est décédé dans un tableau d’insuffisance respiratoire aigüe. En conclusion, devant toute symptomatologie fébrile d’apparition aigue en cette période de pandémie, le praticien doit toujours avoir le réflexe de pratiquer une PCR nasopharyngée à la recherche du virus afin d’optimiser la prise en charge et d’éviter L’apparition des formes graves


2019 ◽  
Vol 90 (3-4) ◽  
pp. 389-399
Author(s):  
Isabelle Dupuy-Bonafe ◽  
Cindy Francois ◽  
Virginie Lachiche ◽  
Manon Castel ◽  
Gérard Duminil

Introduction : L’orthèse d’avancée mandibulaire (OAM) constitue une alternative efficace à la ventilation par pression positive continue (VPPC) chez les patients atteints de troubles respiratoires obstructifs du sommeil (TROS). Elle consiste en un dispositif endobuccal qui maintient la mandibule et la langue en position avancée, élargissant et stabilisant les voies aérifères supérieures (VAS) pendant le sommeil. Matériels et méthodes : Un examen clinique préalable, réalisé par le chirurgien-dentiste, permet de valider sa faisabilité et de sélectionner le type d’OAM le mieux adapté pour un patient donné. Après la pose du dispositif, une titration de l’avancée permettra d’optimiser son efficacité au travers de l’amélioration, voire de la disparition des symptômes cliniques subjectifs. Résultats : Un contrôle par polysomnographie ou polygraphie ventilatoire validera l’efficacité de ce traitement (réduction de l’Index d’Apnées Hypopnées (IAH), normalisation du taux d’oxygène sanguin, amélioration des principaux symptômes du TROS). Un suivi clinique sera nécessaire pour évaluer les résultats, les effets indésirables et l’observance thérapeutique à long terme. Ce traitement est efficace et bien toléré, et, à court terme, les principaux critères sont une réduction de l’index d’apnées hypopnées de plus de 50 % et une résolution complète des symptômes.


2015 ◽  
Vol 32 ◽  
pp. A64
Author(s):  
F. Yangui ◽  
M. Abouda ◽  
H. Khouani ◽  
M. Triki ◽  
M.R. Charfi
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 649-649
Author(s):  
S. Scaramozzino ◽  
I. Caraby ◽  
N. Benlahcene ◽  
M. Tranape ◽  
K. Cuvelier

Les antipsychotiques de première et deuxième génération apportent un confort important de par la régularisation et la stabilisation des symptômes cliniques chez les personnes atteintes de schizophrénie et autres psychoses. Ils s’accompagnent d’effets secondaires nombreux parmi lesquels l’hyperprolactinémie qui n’est pas responsable d’une morbidité importante mais peut induire un inconfort pour le patient et responsable d’une demande d’interruption du traitement antipsychotique. Certains antipsychotiques induisent plus d’hyperprolactinémie (amisulpride, risperidone et paliperidone) que d’autres (aripiprazole et quetiapine) [1]. Cet effet secondaire de classe est corrélé à la diffusion et à l’affinité du médicament pour les récepteurs dopaminergiques D2 pituitaires.L’objectif de cette étude est d’évaluer le niveau d’hyperprolactinémie induit par les antipsychotiques de première et deuxième génération et son éventuel retentissement sur le confort de vie des patients. La population étudiée comprend des patients hospitalisés et suivis en CMP, stabilisés. Ces patients ont le diagnostic de schizophrénie ou de troubles schizo-affectifs.Nous allons effectuer le dosage de prolactinémie chez 50 patients (25 hommes, 25 femmes) traités par antipsychotiques de première et deuxième génération, associé à un questionnaire pour évaluer leur qualité de vie. Les résultats seront analysés en fonction des données de la littérature. Il s’agit d’une étude observationnelle puisque le dosage de la prolactinémie est recommandé dans la surveillance biologique et clinique de la prescription d’antipsychotique.


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