Technique chirurgicale : suivi médical après sleeve gastrectomie

Obésité ◽  
2019 ◽  
Vol 14 (1-2) ◽  
pp. 81-82
Obésité ◽  
2020 ◽  
Vol 15 (1-2) ◽  
pp. 47-51
Author(s):  
T. Poghosyan

Le by-pass duodéno-iléal à anastomose unique avec gastrectomie longitudinale calibrée (SADI-S) est une intervention bariatrique complexe en cours d’évaluation. Son efficacité (85–90 % de perte d’excès pondéral) est fondée sur trois mécanismes : restrictif, malabsorptif et hormonal. Les risques chirurgicaux principaux sont la plaie du cholédoque, la fistule duodénale suite à la dévascularisation et la plaie de l’artère gastroduodénale. Compte tenu de son effet malabsorptif important ; en première intention, elle s’adresse surtout aux patients en obésité extrême (indice de masse corporelle : IMC ≥ à 50 kg/m2), mais peut être aussi proposée comme intervention de recours en cas d’échec après sleeve gastrectomie.


2014 ◽  
Vol 151 (5) ◽  
pp. 422-423
Author(s):  
E. Chapuis-Roux ◽  
L. Rebibo ◽  
A. Dhahri ◽  
J.-M. Regimbeau

Endoscopy ◽  
2012 ◽  
Vol 44 (03) ◽  
Author(s):  
B Vedrenne ◽  
F Fumex ◽  
P Claudé ◽  
J Boitard ◽  
J Bouland ◽  
...  

Endoscopy ◽  
2013 ◽  
Vol 45 (03) ◽  
Author(s):  
D Christophorou ◽  
N Funakoshi ◽  
JC Valats ◽  
B Vedrenne ◽  
F Prat ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 155-158
Author(s):  
M. Aubert ◽  
Y. Panis

Contexte : L’exérèse totale du mésorectum par voie transanale (TaTME) pour la prise en charge du cancer du rectum est récemment apparue comme alternative à l’exérèse totale du mésorectum par voie abdominale. Cependant, certaines inquiétudes à propos des résultats oncologiques de cette technique chirurgicale ont émergé. Le but de cette étude était d’évaluer le taux de récidives locales après TaTME. Les objectifs secondaires s’intéressaient à la mortalité postopératoire, au taux de fistule anastomotique et au taux de stomie définitive. Méthodes : Les données de tous les patients opérés par TaTME ont été rapportées et comparées aux données issues des registres nationaux norvégiens de cancers colorectaux (NCCR) et de chirurgie gastro-intestinale (NoRGast). Les taux de récidive locale étaient estimés selon Kaplan-Meier. Résultats : En Norvège, 157 patients ont été opérés par TaTME pour un cancer du rectum entre octobre 2014 et octobre 2018. Trois des sept centres hospitaliers participants ont abandonné la réalisation de cette intervention après cinq procédures. Le taux de récidive locale était de 12 sur 157 patients (7,6 %) ; huit récidives locales étaient multifocales ou étendues. Le taux de récidive locale après un suivi de à 2,4 ans était estimé à 11,6 % (IC 95 % : [6,6‒19,9]) après TaTME contre 2,4 % (IC 95 % : [1,4‒4,4]) dans le registre NCCR (p < 0,001). Le hasard ratio était estimé à 6,71 (IC 95 % : [2,94‒15,32]). Le taux de fistule anastomotique nécessitant une réintervention était de 8,4 % dans le groupe TaTME contre 4,5 % dans le registre NoRGast (p = 0,047). Cinquante-six patients (35,7 %) étaient porteurs d’une stomie à la fin du suivi, dont 39 (24,8 %) étaient définitives. Conclusion : Le taux de fistule anastomotique était plus élevé après TaTME en comparaison aux données des registres nationaux norvégiens. Le taux de récidive locale ainsi que les caractéristiques de cette récidive après TaTME étaient défavorables.


2020 ◽  
Vol 36 (2) ◽  
pp. 37-43
Author(s):  
M. Brière ◽  
M. Cermolacce ◽  
X. Flecher ◽  
R.-A. Rochwerger ◽  
J.-C. Mattei

Introduction : Les fractures du calcanéus sont des fractures fréquentes, touchant l’homme jeune à la suite d’un mécanisme à haute énergie. Les complications en sont le pied plat valgus et l’arthrose sous-talienne. Différents traitements sont possibles. L’ostéosynthèse par plaque verrouillée permet de restaurer l’architecture du calcanéus. L’objectif principal de ce travail était d’étudier les complications cutanées et infectieuses de l’ostéosynthèse par plaque des fractures du calcanéus. Les objectifs secondaires étaient d’évaluer les résultats fonctionnels ainsi que la survenue d’arthrose sous-talienne. Notre hypothèse était que le taux de complications était peu élevé. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude monocentrique rétrospective incluant les ostéosynthèses par plaque verrouillée du calcanéus (février 2008 à mars 2015) à l’exclusion des patients atteints d’une comorbidité sévère. Résultats : La série comprend 26 ostéosynthèses : 23 patients majoritairement masculins (82,6 %) et jeunes (âge moyen : 39 ans), avec un recul moyen de 32 mois. Vingt-trois fractures ont été analysées. Nous avons relevé cinq complications cutanées ou infectieuses, dont trois ont nécessité une reprise chirurgicale. Elles étaient corrélées au tabagisme (p < 0,05). Le score AOFAS moyen était de 74,2 : [33–95]. Les résultats fonctionnels étaient excellents dans 22 % et bons dans 44 % des cas. L’accident du travail, le tabagisme, les fractures de type Duparc V, et les variantes propagées étaient des facteurs de mauvais pronostic. Il y avait dix cas d’arthrose soustalienne au dernier recul. Six cas de grades quatre étaient corrélés à des scores fonctionnels péjoratifs. Cinq patients ont dû subir une arthrodèse sous-talienne. Discussion : Nous avons retrouvé un taux de complications légèrement moins élevé que dans la littérature corrélées au tabagisme. Les scores fonctionnels étaient légèrement inférieurs. Les dysesthésies du nerf sural sont une complication relativement fréquente. L’arthrose sous-talienne survient dans près d’un cas sur deux. Un taux élevé de complications et des résultats parfois modestes poussent à réfléchir sur la technique chirurgicale et son indication. Les abords miniinvasifs ou la chirurgie percutanée pourraient être une alternative. Conclusion : La prise en charge des fractures du calcanéus doit être une chirurgie à la carte, tenant compte des lésions associées, de l’état cutané et du patient, car les complications liées à une chirurgie à foyer ouvert ne sont pas négligeables.


Obésité ◽  
2019 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 103-110
Author(s):  
M. Gout ◽  
M. Ast ◽  
N. Lagoutte ◽  
F. Abo Alhassan ◽  
L. Jonval ◽  
...  

Introduction : La sleeve gastrectomie (SG) est devenue la technique de chirurgie bariatrique la plus réalisée en France. Cependant, les causes d’échec sont peu connues, et le volume gastrique (VG) pourrait y avoir un rôle. Le but de cette étude est donc d’analyser le lien entre le volume gastrique à un an et le succès pondéral. Patients et méthodes : Tous les patients obèses ayant bénéficié d’une SG entre septembre 2015 et juin 2017 ont bénéficié d’une volumétrie gastrique scanographique un an après la chirurgie. Le pourcentage d’excès de poids perdu à un an était mesuré pour évaluer le résultat pondéral et rechercher un lien avec le VG résiduel. Résultats : Cent soixante-huit patients consécutifs ont été inclus avec seulement sept perdus de vue (4,17 %). Le taux de succès de la SG à un an s’élevait à 73,9 %. Le sexe féminin et l’IMC préopératoire inférieur à 50 kg/m2 étaient des facteurs prédictifs de succès puisqu’il y avait 85,7 % de femmes dans le groupe succès contre 66,7 % dans le groupe échec (p = 0,007), et l’IMC moyen était de 43,7 ± 5,3 kg/m2 en cas de succès contre 46,7 ± 6,1 kg/m2 en cas d’échec (p = 0,003). Le VG était significativement plus petit chez les femmes (185,92 ± 95,83 cm3 vs 244,75 ± 134,06 cm3, p = 0,005) et chez les patients de moins de 40 ans (177,0 ± 85 cm3 vs 215 ± 119,8 cm3, p = 0,02). Le VG résiduel moyen était de 186,42 cm3 dans le groupe ayant un bon résultat pondéral et de 226,43 cm3 dans le groupe en échec de perte pondérale (p = 0,17). Conclusion : Le résultat pondéral à un an après sleeve gastrectomie n’est pas statistiquement lié au volume gastrique résiduel.


2021 ◽  
Vol 35 (1) ◽  
pp. 34
Author(s):  
F. Boukhayatia ◽  
F. Mahjoub ◽  
N. Ben Amor ◽  
A. Amri ◽  
O. Berriche ◽  
...  
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