indice de masse corporelle
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45
(FIVE YEARS 14)

H-INDEX

2
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 8 (2) ◽  
pp. 176-178
Author(s):  
Aicha Lakhdar Fouatih ◽  
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Amine Hamma ◽  

Décrite pour la première fois par Quicke en 1897, l’Hypertension intracrânienne (HTIC) bénigne, appelée également HTIC idiopathique ou pseudotumeur cérébrale, est une augmentation de la pression du liquide céphalorachidien (LCR), sans arguments cliniques, biologiques ou radiologiques en faveur d’une pathologie intracrânienne, elle est plus fréquente chez la femme adulte obèse. Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 18ans, célibataire, avec un Indice de masse corporelle 29 kg/m2, sans antécédents ophtalmologiques particuliers et généraux, Admise à notre niveau par le biais de l’urgence pour prise en charge de trouble visuel bilatérale avec limitation de l'abduction de l'œil gauche et un œdème papillaire bilatéral. Au terme du bilan clinique et paraclinique, le diagnostic d’hypertension intracrânienne idiopathique est posé, notre patiente a reçu un traitement par acétazolamide et un bolus de corticoïdes pendant 3jours entamé 48h après l'introduction de l’azithromycine, puis un relais par voie oral avec une dégression progressive par palier. Ce qui a permis l'amélioration de l'acuité visuelle à 06/10ème à droite et à 1/10ème à gauche 04 semaines plus tard avec une pâleur modérée de la papille gauche. Devant ce tableau trompeur de neurorétinite bilatérale posant un problème de diagnostic différentiel, le diagnostic positif de l’hypertension intracrânienne repose non seulement sur l’IRM encéphalique et orbitaire qui élimine un éventuel processus expansif intracrânien ou une thrombophlébite cérébrale et montre des signes spécifiques au niveau orbitaire mais aussi sur la négativité de toute une panoplie d’examens biologiques et cliniques.


2021 ◽  
Vol 9 (07) ◽  
pp. 237-244
Author(s):  
Errifaiy Hayate ◽  
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Boukoub Naila ◽  
Tajellijiti Nissrine ◽  
Elouradi Youssef ◽  
...  

Introduction: La pandemie a COVI-19 a constitue un probleme de sante mondiale. Si toutes les categories de la population peuvent être touchees par linfection au nouveau coronavirus SARS-CoV-2, certaines developpent plus frequemment de formes graves. Les facteurs predits independants associes aux issues fatales varient dune population a une autre. Le but de cette etude est didentifier les facteurs epidemiologiques cliniques et dparacliniques predictifs de mortalite liee au COVID-19. Materiels Et Methodes: Etude retrospective observationnelle realisee au service de reanimation de lhôpital IBN TOFEIL de MARRAKECH sur une periode de deux mois. Nous avons inclus tous les patients hospitalises durant cette periode ayant une pneumonie a COVID-19 confirmee biologiquement (PCR positif) ou radiologiquement (lesions scannographiques compatibles). Les renseignements cliniques et paracliniques ont ete obtenus avec des formulaires normalises de collecte des donnees a partir des dossiers medicaux. Le critere de jugement etait la survie ou le deces du patient. Pour lanalyse statistique, nous avons utilise le test Chi-2 ou test de Fischer pour comparer les variables qualitatives, les variables quantitatives ont ete exprimees en moyenne (± ecart-type) ou en mediane(Percentile), et comparees par t-test de Student ou Mann-Whitney. Pour lanalyse multi- variee, nous avons utilise la regression logistique multiple a laide de SPSS version10 pour Windows. Un p<0,05 est considere comme significatif. Resultatas: cent-deux dossiers repondant au criteres dinclusion ont ete collectes durant cette periode detude. Lâge moyen etait 61,83±11 avec une nette predominance masculine (65,7%). Le diabete est la comorbidite la plus frequente avec une prevalence de 59,8% suivie par lobesite (45,4% des patients avaient un indice de masse corporelle> 30kg/m²) et lHTA dans 40,2% des cas. Le taux de mortalite etait de 45,1%. Lanalyse multivariee a objective une association significative entre lHTA OR7.69 IC a 95%(1.24-47.62), la dyspnee stade III-IV OR 84.547 IC (3.296-4547,3), la survenue dinsuffisance renale OR 114.897 IC (2.902-4547.3) et la mortalite. Conclusions: Dans cette etude la mortalite etait surtout associe aux comorbidites tels que lhypertension arterielle, le diabete, la presence de dyspnee stade III-IV a ladmission et la survenue dinsuffisance renale ainsi que des taux eleves de ferritine et de D-Dimere.


2021 ◽  
Vol 42 ◽  
pp. A63
Author(s):  
M. Metzelard ◽  
A. Ullmer ◽  
J. Schmidt ◽  
V. Salle ◽  
A. Smail ◽  
...  

2021 ◽  
Author(s):  
A. Ouédraogo ◽  
D. Jean Simon

Il y a peu d’études sur les fréquences d’accouchements gémellaires (taux de gémellité) à Haïti. Pourtant, les statistiques sur ces naissances sont très utiles en termes de santé publique, puisque les enfants jumeaux sont connus pour être sujets à des risques de mortalité plus importants que les non-jumeaux. C’est pourquoi ce présent article analyse les fréquences d’accouchements gémellaires, ses évolutions ainsi que ses facteurs de variation à Haïti de 1985 à 2015. Pour ce faire, nous avons mobilisé les données des cinq enquêtes démographiques et de santé que le pays a réalisées. Les résultats indiquent un taux de gémellité de 17 ‰ (IC 95 % = 15,3-18,7) pour la période 2005-2015, ce qui constitue l’un des taux de gémellité les plus élevés de la région Amérique latine et Caraïbes. Toutefois, mentionnons que ce taux a peu évolué entre 1985 et 2015. Nos résultats montrent par ailleurs qu’un âge maternel avancé, un rang d’accouchement élevé et un indice de masse corporelle moyen (comparé à un indice faible) sont des facteurs associés à des chances d’accouchements gémellaires plus importantes à Haïti.


Author(s):  
Nour Hammami ◽  
Ashok Chaurasia ◽  
Philip Bigelow ◽  
Scott T. Leatherdale

Introduction Peu d’études ont évalué la relation entre des comportements à risque associés aux maladies chroniques et l’indice de masse corporelle (IMC) dans un contexte longitudinal sexospécifique. Cette étude s’appuie sur des analyses sexospécifiques pour évaluer dans quelle mesure des classes latentes de comportements à risque associés aux maladies chroniques fixées au départ sont liées à l’IMC et au statut pondéral lors du suivi. Méthodologie Des données longitudinales provenant de 4 510 élèves de la 9e à la 12e année, suivis de 2013 à 2015 dans le cadre de l’étude COMPASS, ont servi à évaluer les différences entre les sexes dans l’association décalée entre des classes latentes déterminées au départ (d’activité physique et de consommation de substances) et l’IMC lors des phases ultérieures au moyen de modèles multiniveaux à effets mixtes. Nos modèles de régression multiniveaux ont permis d’évaluer l’association entre deux classes latentes, les jeunes expérimentateurs actifs et les jeunes inactifs qui ne consomment pas, et l’IMC, lorsque les données sont stratifiées selon le sexe. Résultats Les garçons inactifs qui ne consomment pas ont été associés à un IMC continu plus élevé de 0,29 (IC à 95 % : 0,057 à 0,53) ainsi qu’à une probabilité d’embonpoint ou d’obésité supérieure de 72 % (RC = 1,72; IC à 95 % : 1,2 à 2,4) pour l’IMC binaire lors du suivi par rapport aux garçons actifs qui expérimentent la consommation de substances. Aucune association significative n’a été décelée chez les filles. Conclusion Au fil du temps, l’activité physique joue un rôle protecteur relativement à l’IMC chez les garçons. La consommation de substances et l’inactivité physique devraient toutes deux être ciblées par les efforts de prévention de l’obésité. La stratification selon le sexe dans les analyses est également importante, car l’augmentation de l’IMC dépend de facteurs différents chez les garçons et chez les filles.


2020 ◽  
Vol 34 (1) ◽  
pp. 71
Author(s):  
C. Fayemendy ◽  
P. Jésus ◽  
P. Fayemendy ◽  
J. Mollard ◽  
S. Léobon ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 16 (2) ◽  
pp. 97-104
Author(s):  
Martin Herbas Ekat ◽  
Cheikh Tidiane Ndour ◽  
Roland Bienvenue Ossibi Ibara ◽  
Merlin Diafouka ◽  
Paul Boumandoki ◽  
...  

Obésité ◽  
2020 ◽  
Vol 15 (1-2) ◽  
pp. 47-51
Author(s):  
T. Poghosyan

Le by-pass duodéno-iléal à anastomose unique avec gastrectomie longitudinale calibrée (SADI-S) est une intervention bariatrique complexe en cours d’évaluation. Son efficacité (85–90 % de perte d’excès pondéral) est fondée sur trois mécanismes : restrictif, malabsorptif et hormonal. Les risques chirurgicaux principaux sont la plaie du cholédoque, la fistule duodénale suite à la dévascularisation et la plaie de l’artère gastroduodénale. Compte tenu de son effet malabsorptif important ; en première intention, elle s’adresse surtout aux patients en obésité extrême (indice de masse corporelle : IMC ≥ à 50 kg/m2), mais peut être aussi proposée comme intervention de recours en cas d’échec après sleeve gastrectomie.


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