scholarly journals Nombre de cas de diabète de type 1 et 2 diagnostiqués à Amapá entre 2007 et 2012

Author(s):  
Kauê de Melo Souza ◽  
Lucas Facco ◽  
Amanda Alves Fecury ◽  
Maria Helena Mendonça de Araújo ◽  
Euzébio de Oliveira ◽  
...  

Diabète sucré est une succession de différents types de troubles dans le métabolisme qui se caractérisent par la cause d’un taux élevé de sucre dans le sang. Parce qu’il s’agit d’une maladie avec des facteurs génétiques de type 1 diabète a comme principal facteur de risque hérédité, tandis que le diabète de type 2 en plus de ces facteurs, comprend l’obésité, l’hypertension artérielle, une mauvaise éducation alimentaire et l’âge avancé. Cette étude vise à montrer le nombre de cas de diabète de type 1 et 2 diagnostiqués en Amapá avec les variables sexe, groupe d’âge, mode de vie sédentaire, surpoids, tabagisme, entre 2007 et 2012. Les données de la recherche ont été prises auprès du département informatique de SUS, DATASUS (http://datasus.saude.gov.br). Les diabètes sucrés de type 1 et 2 (DM1 et DM2) sont des maladies liées à des perturbations de la production ou à l’utilisation efficace de l’insuline. Le tabagisme, ainsi que le mode de vie sédentaire et l’embonpoint sont des facteurs de risque importants pour le développement du DM2. Le diabète sucré de type 2 fournit le développement de diverses lésions nerveuses organiques. En outre, le DM2, par sa chronicité, permet le développement des rétinopathies, des néphropathies et d’autres conditions négatives à la santé de l’individu.

Praxis ◽  
2003 ◽  
Vol 92 (13) ◽  
pp. 591-596
Author(s):  
Wunder ◽  
Dürig

Il existe deux groupes principaux de diabète de la grossesse: 1. Le diabète de la grossesse (diabète de type 1 ou 2 préexistant avec tendance à la péjoration durant la grossesse ou apparition primaire d'un diabète de type 1 ou 2 qui persiste après la grossesse). 2. Le diabète de gestation = tolérance diminuée au glucose = IGT (diagnostic d'une intolérance au glucose durant la grossesse). Le but du screening est de diminuer les complications chez la mère et l'enfant. Il n'existe pas d'opinion unique dans le monde en ce qui concerne le screening du diabète pendant la grossesse. Chez les femmes enceintes sans facteur de risque, on mesure le glucose plasmatique à jeun durant la 24ème et la 28ème semaine. En cas de valeurs > 4.8 mmol/l, on pratique un test oral de tolérance au glucose (75 g OGTT). L'alternative est un test de glucose de 50 g. Chez les femmes enceintes avec des facteurs de risque, on pratique déjà durant le premier trimestre un test de tolérance avec 75 g de glucose, en cas de valeurs normales on répète ce test entre la 24ème et la 28ème semaine. Les pierres d'angle du traitement sont la diète et l'exercice. En cas de diabète de gestation, il faut commencer un traitement par insuline si les valeurs cibles sont dépassées, ou si la croissance mesurée par sonographie est anormale ou en cas de développement d'un polyhydramnion. Les antidiabétiques oraux sont contre-indiqués durant la grossesse. En cas de diabète de la grossesse ou de diabète de la gestation, il s'agit d'une grossesse à risque qui doit être contrôlée de façon fréquente. La délivrance est idéalement au terme ou en cas de maturation prouvée des poumons. En cas de diagnostic d'une intolérance au glucose durant la grossesse, on doit effectuer un test de tolérance au glucose avec 75 g OGTT six semaines après l'accouchement ainsi qu'une mesure annuelle du glucose à cause du risque élevé de développer un diabète de type 2.


2008 ◽  
Vol 33 (6) ◽  
pp. 1257-1258
Author(s):  
Jean-Philippe Chaput

La mondialisation des marchés impose une pression accrue envers la performance, la productivité et la profitabilité des entreprises. Cette nouvelle réalité se traduit, entre autres, par une accentuation du travail du savoir ainsi que par une diminution du temps passé au lit. De plus, l’activité physique peut être considérée à juste titre comme une composante du mode de vie qui a été malheureusement laissée de côté et qui doit être minimalement réinsérée dans les activités de tous les jours. En effet, l’activité physique est porteuse d’une stimulation corporelle qui affecte significativement le bilan d’énergie et qui favorise sa bonne régulation. De leur côté, le travail mental et le manque de sommeil ont le potentiel de favoriser le surpoids. En effet, les résultats présentés dans cette thèse montrent que le manque de sommeil est prédicteur du surpoids et du gain de poids à long terme et est associé au diabète de type 2 chez les adultes. De plus, nous avons observé que le travail mental est déstabilisant pour l’homéostasie hormonale et peut être considéré comme un stimulus aux propriétés hyperphagiantes. Or, le manque de sommeil et le travail du savoir, deux modalités qui sont l’apanage du monde moderne, soulèvent de nombreuses questions face à notre compréhension de l’étiologie de l’obésité. En effet, leurs caractéristiques biologiques propres nous amènent non seulement à redéfinir la notion de sédentarité, mais à reconsidérer nos valeurs sociétales dans un contexte où l’aspect pécunier a primauté sur la santé. En outre, nos recherches ont montré que la perte pondérale dépassant 10 % du poids initial a le potentiel d’affecter négativement la santé mentale, compliquant ainsi la prise en charge de l’obésité. À la lumière de ces recherches doctorales, il apparaît évident que l’obésité est une condition complexe de par son caractère multifactoriel qui complique sa prévention et son traitement. De plus, la notion « d’équilibre » semble être une des clefs du succès, alors qu’une dominance de facteurs « obésogènes » caractérise le quotidien des individus, altérant ainsi la bonne régulation du bilan d’énergie. Cette nouvelle réalité peut également faire en sorte que le gain de graisse devienne nécessaire afin de maintenir l’homéostasie psychobiologique dans pareil contexte, considérant que le gain de graisse a le potentiel de restaurer l’équilibre hormonal qui a été déstabilisé par les stimuli de l’ère moderne.


Author(s):  
Samir Ait Abderrahmane ◽  
◽  
Nacer Sobhi ◽  
Sihem Hatri ◽  
Ghani Chalal ◽  
...  

Introduction : La prévalence élevée de l’hypovitaminose D au cours du diabète de type 2 fondée sur les données de la littérature nous a conduit à engager une enquête transversale pour apprécier l’ampleur de cette relation. Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective, intéressant 290 patients diabétiques de type 2 âgés de 40 à 80 ans, recrutés au niveau du service de diabétologie de notre hôpital entre le mois de septembre et mars. Nous avons étudié et comparé les paramètres cliniques et biologiques de l’hypovitaminose D dans cette population de diabétiques type 2. Non nous sommes également intéressés aux caractéristiques de l’exposition solaire et de la consommation d’aliment riche en vitamine D. Résultats : Notre travail nous a permis de constater une forte prévalence de l’hypovitaminose D à 87,2 % de nos diabétiques, en considérant le seuil de 25OHD3 < 30ng/ml, plus élevée chez les femmes à 90,7%, que chez les hommes à 85,2%. La concentration moyenne de la vitamine D chez les 290 patients diabétiques type 2 est de 13,93 ng/ml. Nous avons retenu comme facteurs de risque de l’hypovitaminose D (<30ng/ml) : le sexe féminin, l’âge avancé supérieur à 60 ans, l’indice de masse corporel (IMC) supérieur à 25 kg/m2, l’absence d’une exposition adéquate au soleil d’une surface corporelle suffisante entre 10 H et 15H de la journée et le port d’un vêtement couvrant. La pratique d’une activité physique en plein air, le bronzage, la consommation du poisson et d’oeufs plusieurs fois dans la semaine sont des facteurs protecteurs contre l’hypovitaminose D. Conclusion : L’hypovitaminose D est très fréquente dans la population des diabétiques de type 2, particulièrement chez les femmes âgées de plus de 60 ans et en surpoids ou obèses, d’où l’intérêt de la prévention des carences nutritionnelles chez les patients diabétiques type 2.


2020 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
Author(s):  
Sabah HANACHI ◽  
Karima SIFI ◽  
Khalida BOUDAOUD ◽  
Salima ZEKRI ◽  
Sara HOUCHE ◽  
...  

Introduction - La néphropathie diabétique est la principale cause de la maladie rénale chronique et représente la complication la plus fréquente et la plus grave du diabète. Sa pathogénie exacte est complexe et noncomplètement élucidée. Plusieurs facteurs et mécanismes contribuent au développement et à l’issue de cette pathologie. Les objectifs de notre travail sont de déterminer la fréquence du polymorphisme Insertion(I)/Délétion (D) du gène ACE (angiotensin-converting enzyme) chez des patients diabétiques avec et sans néphropathie et d’établir la relation entre ce polymorphisme et la néphropathie diabétique dans une population de l’Est algérien. Matériel et Méthodes - Nous avons recruté à cet effet, vingt neuf sujets diabétiques avec néphropathie et trente témoins diabétiques sans néphropathie. L’extraction de l’ADN a été réalisée sur du sang frais par la méthode au NaCl et le polymorphisme I/D du gène ACE a été déterminé par PCR (polymérase Chaine Réaction). Un consentement éclairé a été obtenu de l’ensemble des participants. Résultats - La durée moyenne du diabète chez noscas est de 19,21 ± 9,31ans ; celle des témoins est de 10,67 ± 7,66 ans. Le diabète de type 1 est plus fréquent chez les néphropathes (72,41%), chez les témoins la fréquence du diabète de type 2 est plus importante (73.33%). Les complications macro-angiopathiques sont plus prévalentes chez les néphropathes. De plus l’association de deux ou plusieurs complications est fréquemment retrouvée. Les fréquences des allèles I et D sont respectivement 13,79 % et 86,21 % chez les sujets témoins alors que les fréquences alléliques chez les sujets avec néphropathie sont respectivement 19,64 % et 80,36 %. Conclusion - Aucune association significative entre ce polymorphisme et la néphropathie diabétique n’a été démontrée.


2009 ◽  
Vol 35 ◽  
pp. A38
Author(s):  
F. Hamdaoui ◽  
K. Benharrats ◽  
W. Zahdour ◽  
S. Benchaoulia ◽  
M. Hamdaoui ◽  
...  

2018 ◽  
Vol 34 (6-7) ◽  
pp. 563-570 ◽  
Author(s):  
Alexandre Lugat ◽  
Michael Joubert ◽  
Bertrand Cariou ◽  
Xavier Prieur

Le diabète de type 2 (DT2) est un facteur de risque indépendant de l’insuffisance cardiaque. Ces anomalies sont cependant associées à une lipotoxicité et à une glucotoxicité cardiaques. Pourtant, les mécanismes exacts de ces toxicités cardiaques demeurent inconnus. Récemment, le phénotype cardiaque d’un modèle unique de DT2, les souris lipodystrophiques invalidées pour le gène codant la seipine (SKO), a révélé l’importance de la glucotoxicité dans le développement des anomalies cardiaques. En effet, les souris SKO présentent une cardiomyopathie associée à une surcharge en glucose, qui est corrigée par l’utilisation d’un agent hypoglycémiant, un inhibiteur du co-transporteur sodium-glucose de type 2 (SGLT2). Dans ce modèle, la glucotoxicité peut ainsi, à elle seule, générer les dysfonctions cardiaques associées au diabète.


2013 ◽  
Vol 39 ◽  
pp. A57
Author(s):  
E. Larger ◽  
A.Y. Lemoine ◽  
C. Gonfroy-Leymarie ◽  
C. Borie-Swinburne ◽  
H. Wucher ◽  
...  

Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document