antonine maillet
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2020 ◽  
Vol 55 (s2) ◽  
pp. 303-316
Author(s):  
Anna Żurawska

Abstract The aim of this article is to investigate the way in which tradition combines with modernity in Antonine Maillet’s novels Chronique d’une sorcière de vent (1999) and Pierre Bleu (2006). Having discussed the position and role of Maillet’s fiction in Acadian literature, and having presented the way this prose depends on local culture, language, and folklore, the author of the analysis focuses on the elements of the represented world which go beyond the national character of this literature and at the same time place it within contemporary world literature. At the thematic level, both novels deal with significant questions of time and memory, introducing a reflection on the concept of inheriting memory and re-presenting the past. Consequently, the novels reflect on the role and responsibility of the writer, who, as a character, constitutes a part of the represented world. In this context, writing appears as a weapon in the fight against time, death, and oblivion. At the level of composition, the analysis focuses on the novels’ complex narration, its multiple levels, numerous voices, fragmentation, and eclecticism.


Colloquium ◽  
2018 ◽  
Vol 9788879168564 ◽  
pp. 127-137
Author(s):  
Cristina Brancaglion
Keyword(s):  

2015 ◽  
pp. 173-201
Author(s):  
Monika Boehringer
Keyword(s):  

Trois moments forts de la littérature acadienne au féminin sont à l’étude dans cet article : Évangéline Deusse (1975) d’Antonine Maillet, écrit contre le mythe d’Évangéline de Longfellow, exhibe toute la verve pour laquelle son auteure est connue. Graines de fées (1980), premier recueil poétique de Dyane Léger, signale que la modernité de l’écriture des femmes est arrivée en Acadie : ses jeux de mots jusqu’alors inouïs sont sous-tendus par un vaste réseau intertextuel. Et le roman postmoderne Pour sûr (2011), de France Daigle, excelle dans sa réflexion soutenue sur les langues. Non seulement l’auteure continue-t-elle sa méditation sur la place du chiac au Nouveau-Brunswick, mais elle fait coexister le vernaculaire avec d’autres variantes du français et d’autres langues minoritaires, si bien que les préoccupations langagières de ses personnages prennent une ampleur qui risque même d’ébranler le statut de l’anglais : la défamiliarisation de cette langue quasi omnipotente est seulement un des effets de la virtuosité ludique du dernier roman de Daigle.


Author(s):  
Nicolas Nicaise

Par le biais de l’analyse du discours, nous proposons d’étudier comment Antonine Maillet a inscrit la figure de conteuse au sein de certains de ses textes et dans les propos qu’elle a tenus sur ceux-ci. En observant également le relais que cette figure a trouvé dans le discours de la critique, nous envisageons tout au long de cet article ce positionnement et la vision qu’il donne de l’entreprise de l’écrivaine. Plus généralement, il s’agit d’analyser un faisceau cohérent de discours (littéraire et métalittéraire) et l’impact de celui-ci sur la réception de l’oeuvre mailletienne en fonction des sphères littéraires dans lesquelles ces différents types de discours s’inscrivent.


2012 ◽  
Vol 9 (1) ◽  
pp. 5-18
Author(s):  
Denis Bourque

Le théâtre acadien contemporain est né de façon fulgurante avec une mise en scène à la fois tragique et comique de la pauvreté et de la marginalité sociale. Pour la première fois en Acadie, Antonine Maillet, dans Les Crasseux et La Sagouine : Pièce pour une femme seule, donnait, dans leur langage propre, la parole aux miséreux, aux exclus, aux parias de la société. Cette représentation de la pauvreté et de la marginalité comme étant à la fois tragique et comique s’est poursuivie dans le théâtre acadien. On la retrouve dans la pièce Le Djibou de Laval Goupil, par exemple, créée en 1975 et réécrite pour une nouvelle représentation en 1997 sous le titre de Le Djibou ou l’Ange déserteur. Dans les années 2000, Herménégilde Chiasson et Marcel-Romain Thériault reprendront ce thème de la pauvreté et de la marginalité en Acadie, Chiasson le fait de façon directe et comique dans Laurie ou la vie de galerie (2002), puis de façon tragique dans Le Christ est apparu au Gun Club (2005) ; Thériault, pour sa part, n’accorde la parole à ceux-ci que de façon indirecte et tragique dans Le filet : Une tragédie maritime (2009).


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