alces americanus
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(FIVE YEARS 5)

H-INDEX

5
(FIVE YEARS 1)

2021 ◽  
Vol 52 (2) ◽  
Author(s):  
Benjamin Lamglait ◽  
Marion Jalenques ◽  
Vincent Brodeur ◽  
Stéphane Lair

2021 ◽  
Vol 57 (2) ◽  
Author(s):  
Kathy Burek-Huntington ◽  
Myrna M. Miller ◽  
Kimberlee Beckmen

2021 ◽  
Vol 134 (4) ◽  
pp. 361-374
Author(s):  
Carolyn Brianna Brochez ◽  
Roy V. Rea ◽  
Shannon M. Crowley ◽  
Dexter P. Hodder

Natural mineral licks are important to the physiological ecology of several species of ungulates in North America and abroad. Information on year-round patterns of mineral lick use by ungulates in Canada is poorly understood. We used camera traps to record patterns of mineral lick use by four ungulate species visiting five naturally occurring mineral licks located within the John Prince Research Forest and surrounding area, near Fort St. James, British Columbia, Canada. Our cameras detected over 1800 mineral lick visits by ungulates from February 2017 to January 2018. Mineral licks were visited year-round, however, most visits were made between May and September during morning hours. We observed variable lick visitations among sites, species, and sex and age classes. The species observed in descending number of lick visits included Moose (Alces americanus), White-tailed Deer (Odocoileus virginianus), Elk (Cervus canadensis), and Mule Deer (Odocoileus hemionus). Some licks were visited by all four species, while others were visited by fewer. Female ungulates were recorded at licks more frequently than males or juveniles, which likely reflected the underlying sex and age structure of the population. Elk spent more time at licks than Moose and deer and there was no difference in visit durations between Moose and deer. Most visits were made by single animals, but group visits were also observed. Our findings provide evidence that mineral licks are used year-round by ungulates and appear to be important habitat features on the landscape.


2021 ◽  
Vol 57 (1) ◽  
Author(s):  
Tiffany M. Wolf ◽  
Yvette M. Chenaux-Ibrahim ◽  
Edmund J. Isaac ◽  
Arno Wünschmann ◽  
Seth A. Moore

2020 ◽  
Vol 133 (4) ◽  
pp. 329-331 ◽  
Author(s):  
Jason W.B. Power ◽  
Michael J. Boudreau ◽  
Erich M. Muntz ◽  
Soren Bondrup-Nielsen

Eastern Coyote (Canis latrans var.) scats were collected along transects in Cape Breton Highlands National Park, Nova Scotia, Canada, from May 2012 to August 2013 to determine diet. Based on 294 scats, Moose (Alces americanus) remains made up the highest percentage by volume in scats during fall, winter, and spring. During the summer, Moose remains were found in over 30% of scats (18% by volume), although fruit and berries were more commonly found. No other study has documented such high annual use of Moose. As there was no evidence that the consumed Moose were killed by Coyotes, presumably Coyotes scavenged Moose that had died of natural causes.


2018 ◽  
Vol 143 (1) ◽  
pp. 40-47 ◽  
Author(s):  
Jérôme Laliberté ◽  
Martin-Hugues St-Laurent

Une stratégie efficace d’atténuation des collisions routières impliquant la faune requiert de bonnes connaissances des facteurs pouvant expliquer pourquoi, où et quand celles-ci se produisent, afin d’améliorer la sécurité routière. Les collisions routières impliquant des cervidés sont reconnues pour être influencées notamment par des caractéristiques temporelles (phase du jour, saison, période biologique) et spatiales (topographie, couvert forestier). Ces facteurs peuvent influencer le comportement des cervidés, la capacité des conducteurs à détecter les animaux sur la chaussée et leur temps de réaction. Nous avons évalué l’effet des différentes caractéristiques spatiotemporelles sur le risque de collisions avec l’orignal (Alces americanus) et le cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) sur l’autoroute Claude-Béchard (axe routier 85/185) reliant Rivière-du-Loup (Québec) au Nouveau-Brunswick, pour la période de 1990 à 2015. Notre capacité à identifier les principaux facteurs expliquant la distribution spatiotemporelle des collisions différait entre les espèces, et était meilleure pour l’orignal que pour le cerf. Les facteurs identifiés dans notre étude peuvent contribuer au développement d’une stratégie d’atténuation pour l’autoroute Claude-Béchard et à limiter le risque de collision, principalement avec l’orignal, tout en apportant de plus amples connaissances sur la répartition des collisions routières avec les cervidés dans un paysage agroforestier habité supportant de fortes densités de cervidés.


2018 ◽  
Vol 143 (1) ◽  
pp. 48-54 ◽  
Author(s):  
Martin Lafrance ◽  
Éric Alain

À environ 70 km à l’est de la ville de Québec, la route 138 traverse les municipalités de Saint-Tite-des-Caps et de Petite-Rivière-Saint-François. Ce territoire offre des habitats exceptionnels pour l’orignal (Alces americanus), ce qui favorise l’occurrence de collisions entre véhicules et orignaux annuellement. Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a inventorié les pistes et localisé les collisions avant d’aménager, en 2007, des clôtures anticervidés afin de sécuriser le tronçon routier le plus problématique (6,3 km). Au cours des années suivantes, le nombre d’accidents avec l’orignal s’est accru significativement à l’extérieur de la section clôturée. En 2014, le MTQ a prolongé les clôtures dans les deux directions, corrigé les extrémités de celles-ci, puis aménagé deux passages inférieurs pour la grande faune caractérisés par un faible indice d’ouverture. Le MTQ émettait l’hypothèse que malgré des dimensions inférieures à celles suggérées dans la littérature, l’orignal utiliserait ces passages. Depuis, une réduction importante des collisions avec l’orignal a été observée dans ce tronçon routier et les deux passages inférieurs sont régulièrement traversés par des orignaux.


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