pollution atmosphérique
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2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 23-24
Author(s):  
P. Leriche ◽  
D. Basille ◽  
P. Desmettres ◽  
N. Benoit ◽  
N. Storme ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 17 (43) ◽  
pp. 116
Author(s):  
N’Guessan Bi Vami Hermann ◽  
Lazile Stephanie ◽  
Loukou Jerome André ◽  
Saley Mahaman Bachir ◽  
Kouadio Affian

En Côte d’Ivoire, la gestion et la sécurité sanitaire liée à la pollution atmosphérique revet un grand interêt . Dans ce même élan de gestion de la qualité de l’air l’OMS a fixé un seuil d’émission que les pays doivent intégrer dans leur mode de gestion. Cependant, dans les villes de grandes concentrations comme Abidjan il est parfois difficile de maitriser les paramètres d’émissions. L’objectif de cette étude est donc d’estimer les concentrations des polluants atmospreriques particulaires PM2.5 et ensuite cartographier la dynamique de ces polluants de 2015 à 2020. Pour atteindre cet objectif , les données de l’imagerie satellitaire LANDSAT ont été utilisées. Il a s’agit de calculer les réflectances de surfaces et les réflectances au sommet de l’atmosphère. Le but de ces calculs était de déduire les réflectances atmosphériques. En considérant la relation étroite existence entre les PM2.5 et la réflectance atmosphérique un modèle de régression linéaire a été conidéré pour déduire les PM2.5. Les résultats ont montré que les concentrations des PM2.5 sont de façon générale au-dessus du seuil de l’OMS. Ces valeurs sont de 31 μg/m3 en janvier 2015 , de 36 μg/m3 en janvier 2016 , de 32 μg/m3 en décembre 2016, de 33 μg/m3 en janvier 2019 et de 33 μg/m3 en janvier 2020. Cela donne une concentration moyenne de 33 μg/m3. Les communes de Yopougon Nord, Abobo Ouest, Cocody ouest et Port-Bouet Est sont les zones les plus pollués avec des concentrations allant de 26 à 49 μg/m3. In Côte d'Ivoire, management and health security related to air pollution are of great interest. In this same approach to air quality management, WHO has set an emission threshold that countries must integrate into their management method. However, in cities with a high concentration like Abidjan, it is sometimes difficult to control the emission parameters. The objective of this study is therefore to estimate the concentrations of particulate air pollutants PM2.5 and then to map the dynamics of these pollutants from 2015 to 2020. To achieve this objective, data from LANDSAT satellite imagery were used. . This involves calculating the surface reflectances and the reflectances at the top of the atmosphere. The purpose of these calculations was to deduce atmospheric reflectances. Given the close relationship between PM2.5 and atmospheric reflectance, a linear regression model was considered to derive PM2.5. The results showed that PM2.5 concentrations are generally above the WHO threshold. These values are 31μg /m3 in January 2015, 36 μg / m3 in January 2016, 32 μg / m3 in December 2016, 33 μg / m3 in January 2019 and 33 μg / m3 in January 2020. This gives an average concentration of 33 μg / m3. The cities of Yopougon noth part, Abobo west part, Cocody west part and Port-Bouet east part are the most polluted areas with concentrations ranging from 26 to 49 μg / m3.


2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 77-80
Author(s):  
Samia Aissani ◽  
◽  
Ali Zitouni

Il est connu depuis longtemps que l’environnement influence l’asthme par effets des allergènes, des irritants et de la pollution atmosphérique sur l’arbre bronchique. De nouveaux facteurs sont de plus en plus décrits dans l’apparition ou l’aggravation de l’asthme mais peu rechercher en pratique. L’environnement interne domestique ou professionnel, dont lequel nous passons plus de temps peut contribuer à l’apparition ou l’aggravation d’un asthme. Cet environnement est complexe. Il est composé d’allergènes, de produits chimiques, de gaz, d’animaux et de produits électriques. Ces facteurs peuvent majorer l’inflammation bronchique et entrainant ainsi un non contrôle de l’asthme. Par ailleurs, en raison du changement du mode de vie, on est moins exposé au soleil ; Ce qui favorise le déficit en vitamine D, qui va majorer l’inflammation bronchique et le risque d’infections respiratoires. La conséquence sera l’augmentation de la fréquence des exacerbations et du non contrôle de l’asthme. Tout récemment, les chercheurs ont démontré l’implication de tous ces facteurs environnementaux dans la perturbation du microbiome respiratoire nécessaire dans la régulation de l’inflammation bronchique. Mots clés : asthme, environnement interne, produits chimiques, vitamine D, microbiome.


2021 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
pp. C20A18-1-C20A18-8
Author(s):  
Matar Sène ◽  
◽  
Maurice Ndeye ◽  
Alpha Oumar Diallo ◽  

Le comportement de notre environnement dépend de l’équilibre radiatif de son atmosphère et donc, de l’abondance des polluants comme les gaz à effet de serre. Ces gaz anthropogéniques sont dus, en grande partie, aux activités de l’homme depuis l’époque moderne à travers la combustion des combustibles fossiles. Celle-ci libère du dioxyde de carbone fossile (CO2) ff, pauvre en 14C car la demi-vie de ce radioélément (5730ans) est beaucoup plus courte que l’âge des combustibles fossiles. En revanche, le dioxyde de carbone biogénique (CO2) bio et le dioxyde de carbone naturel de fond ou background (CO2) bg sont enrichis en 14C issus des rayonnements cosmogéniques (Production naturel du 14C dans la haute couche atmosphérique) et des essais d’armements nucléaires. Le carbone 14 peut donc, être un marqueur isotopique artificiel utilisé pour distinguer les différentes sources de CO2, car chaque source possède sa propre et spécifique valeur de Δ14C ou empreinte isotopique. Ce travail a pour but principal de faire une évaluation temporelle et spatiale du dioxyde de carbone fossile dans une zone fortement urbanisée et industrialisée. Nous avons alors choisi la région de Dakar avec quelques sites d’échantillonnages très exposés à cette forme de pollution anthropique. Les résultats obtenus ont montré une hausse de la concentration du CO2 fossile au fil du temps et une concordance acceptable de nos valeurs avec celles de la Banque Mondiale pour le Sénégal. Les concentrations en 14C fossiles (Δ14C) ou empreintes isotopiques trouvées, montrent une nette baisse par rapport aussi à un niveau naturel d’air propre supposé non pollué (Zone propre).


2021 ◽  
pp. 035
Author(s):  
Jean-François Doussin

La pollution de l'air demeure l'un des principaux fléaux des temps modernes. Outre la pollution atmosphérique dite « primaire » se développe aussi une pollution atmosphérique plus pernicieuse, appellée « secondaire », produite dans l'environnement atmosphérique. Elle est le fruit d'une chimie atmosphérique multiphasique, impliquant des composés organiques et radicalaires, rendue complexe à la fois par le grand nombre de composants de l'air et par la multiplicité de leurs voies d'évolution chimique. En mettant en perspective cette complexité, cet article se propose de donner quelques clefs pour l'appréhender et de présenter les stratégies de la recherche qui permettront de réduire cette pollution secondaire. Air pollution remains one of the main plagues of modern times. In addition to so-called "primary" air pollution, a more pernicious air pollution is also developing, termed "secondary", i.e. produced in the atmospheric environment. It is the result of an atmospheric multiphase chemistry involving organic and radical compounds, made complex both by the large number of components in the air and the multiplicity of their chemical pathways. Putting this complexity into perspective, this article provides some keys to understand it and to present research strategies that will reduce this secondary pollution.


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