composition spécifique
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(FIVE YEARS 1)

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3
(FIVE YEARS 0)

2020 ◽  
Vol 100 (1) ◽  
pp. 5
Author(s):  
Aurélien Stirnemann ◽  
Annie-Ève Gagnon ◽  
Geneviève Labrie ◽  
Éric Lucas


2019 ◽  
Vol 42.1 ◽  
pp. 7139-7152
Author(s):  
Guiguindibaye MADJIMBE ◽  
Goy SARADOUM ◽  
Touroumgaye GOALBAYE ◽  
Esaïe WAYA ◽  
Jonathan POUNAKOUMNA

1 RÉSUMÉ La présente étude a pour but d’étude la dynamique des peuplements ligneux dans le Parc National de Manda. Elle vise à déterminer les caractéristiques structurales, la composition spécifique et la régénération des peuplements ligneux. Quatre sites ont été implantés depuis 2012. Nous avons procédé à la caractérisation des peuplements ligneux par des relevés dendrométriques. La flore ligneuse dans l’ensemble des sites est riche de 87 espèces reparties en 56 genres et 22 familles. Les sites 1 et 2 ont des effectifs plus élevés en 2019 comparativement en 2014 et en 2012. Une forte régénération s’est effectuée durant l’année 2019. Contrairement aux sites, 1 et 2, les sites 3 et 4 présentent pour l’année 2019 une forte baisse des effectifs de jeunes plants. Ces jeunes plants sont très sensibles non seulement à la disponibilité des ressources en eau pour franchir la saison sèche mais aussi à l’intensité et à la fréquence de passage des feux. Les résultats ont permis de noter que la densité moyenne entre 2012 et 2014 s’est accrue et à partir de 2014 elle s’est stabilisée. La surface terrière par hectare est, en moyenne de 10,12 m2/ha pour 2012 ; 11,16 m2/ha pour l’année 2014 et de 11, 65 m2/ha pour l’année 2019. Pour l’ensemble des sites expérimentaux, on évalue le volume moyen de bois sur pieds à 12,31 m3/ha en 2012, à 12,46 m3/ha en 2014 et 12,08 m3/ha en 2019. Ces valeurs indiquent que les variations de volume moyen de bois sur pieds sont très faibles pour les sites pris dans leur ensemble. Les résultats obtenus, montrent aussi que 8 espèces se situent dans un processus d’évolution régressive et 4 autres dans un processus d’évolution progressive. La structure des peuplements ligneux n’a pas beaucoup évolué en 8 ans mais, elle apparaît fortement tributaire de la topographie et de la pression anthropique. ABSTRACT Dynamic of the woody populations in the National Park of Manda, to the south of Chad The purpose of this study is to study the dynamics of woody stands in the Manda National Park. It aims to determine the structure, specific composition and regeneration of woody stands. Four sites have been established since 2012. We have characterized the woody stands by dendrometric surveys. The woody flora in all sites is rich in 87 species divided into 56 genera and 22 families. Sites 1 and 2 have higher numbers in 2019 compared to 2014 and 2012. Strong regeneration took place in 2019. Unlike sites 1 and 2, sites 3 and 4 present for the year 2019 a sharp decline in the number of young plants; these seedlings are very sensitive not only to the availability of water resources to cross the dry season but also to the intensity and frequency of fire. The results showed that the average density between 2012 and 2014 increased and from 2014 it stabilized. The basal area per hectare is, on average, 10.12 m2 / ha for 2012; 11.16 m2 / ha for the year 2014 and 11, 65 m2 / ha for the year 2019. For all the experimental sites, the average volume of standing timber is estimated at 12.31 m3/ ha in 2012, 12.46 m3 / ha in 2014 and 12.08 m3 / ha in 2019. These values indicate that variations in average volume of standing timber are very low for sites taken as a whole. The results obtained also show that 8 species are in a process of regressive evolution and 10 in a process of gradual evolution. The structure of woody stands has not changed much in 8 years, but it appears highly dependent on topography and anthropogenic pressure.



2018 ◽  
Vol 123 (1) ◽  
pp. 12363
Author(s):  
Christophe Roland Zinga Koumba ◽  
Franck Mounioko ◽  
Aubin Armel Koumba ◽  
Julien Zahouli Bi Zahouli ◽  
Audrey Pamela Maroundou ◽  
...  


2018 ◽  
Vol 27 (1) ◽  
pp. 15010 ◽  
Author(s):  
Mamadou Oumar Diawara ◽  
Pierre Hiernaux ◽  
Eric Mougin ◽  
Manuela Grippa ◽  
Claire Delon ◽  
...  

Au Sahel, la végétation se compose d’une strate herbacée principalement composée de plantes annuelles et d’une strate ligneuse peu dense dominée par des épineux. Dans cette région, l’essentiel de la production fourragère a lieu entre juillet et septembre. Le disponible fourrager constitué au cours de cette courte période décroît durant les neuf mois de la saison sèche sous l’effet de plusieurs facteurs, dont la pâture des ruminants domestiques. Les effets de la pâture sur la dynamique saisonnière de la phytomasse herbacée ont fait l’objet de peu d’études au Sahel. La dynamique de saison sèche de la phytomasse herbacée sous l’effet de la pâture est simulée à l’aide du module « Patsec » du modèle STEP. Une étude de sensibilité du module Patsec à la composition spécifique, l’intensité et la saisonnalité de la charge compare les sorties du module aux observations faites en 2010–2011 sur trois sites pastoraux proches de Hombori à l’Est du Sahel malien. Les résultats montrent que le prélèvement fourrager par le bétail ne contribue que de façon secondaire à la « dégradation » saisonnière de la phytomasse herbacée. Par contre, les effets de la pâture sur le transfert des pailles dressées à la litière et l’enfouissement dans le sol de cette dernière sont nets. L’étude montre également qu’à charge égale exprimée en poids vif, la pâture par les bovins contribue moins au transfert paille-litière et à l’enfouissement de la litière que la pâture de petits ruminants, malgré l’importance du fourrage ligneux dans la ration des chèvres. Le modèle testé reproduit de façon satisfaisante la dynamique saisonnière de la phytomasse herbacée et peut servir d’outil de prévention des crises pastorales liées aux pénuries de fourrage en région sahélienne à travers un suivi de la charge animale et du disponible fourrager de saison sèche.



VertigO ◽  
2016 ◽  
Author(s):  
Ouango Maurice Savadogo ◽  
Korodjouma Ouattara ◽  
Souleymane Pare ◽  
Issa Ouedraogo ◽  
Séraphine Sawadogo-Kaboré ◽  
...  


2009 ◽  
Vol 300 (300) ◽  
pp. 57
Author(s):  
Indra Prasad Sapkota ◽  
Mulualem Tigabu ◽  
Per Christer Oden

Cette étude a porté sur la diversité et la régénération d¿essences forestières dans deux forêts communautaires à Sal (Shorea robusta) au centre du Népal, la forêt de plaine de Bhabar (LEF) et une forêt d¿altitude (HEF). Les essences de plus de 30 cm de hauteur ont été dénombrées sur 16 quadrats systématiquement délimités. La densité, la dominance et la fréquence ainsi que l¿indice des valeurs d¿importance (IVI) des essences ont été calculés afin de caractériser la composition floristique. La densité des peuplements, la surface terrière et des mesures de diversité ont été calculées afin d¿analyser la structure et l¿hétérogénéité des peuplements de chaque communauté forestière. Au total, 17 familles, 19 genres et 21 espèces étaient représentées dans la LEF. Pour la HEF, le total recensé est de 13, 18 et 21, respectivement. Les résultats de l¿étude indiquent que Shorea robusta est l¿essence la plus abondante aussi bien pour la LEF (IVI = 174,4%) que la HEF (IVI = 206,9%). Il ressort nettement de l¿étude une association de Shorea robusta, Schima wallichi et Syzygium operculatum dans la forêt LEF et de Shorea robusta, Pinus roxburghii et Eugenia jambolana dans la HEF. La densité des peuplements et la surface terrière de la LEF (13 231 tiges/ha, 34,30 m2/ha) est plus élevée que pour la HEF (7 787 tiges/ha, 20,69 m2/ha). Les indices de Shannon-Weiner et Simpson ont tout deux fait ressortir une densité plus importante pour la HEF (H¿= 2,42, 1 D = 0,64) que pour la LEF (H¿= 1,38, 1 D = 0,35). L¿état de régénération des deux forêts à Sal semble globalement satisfaisant, avec 38% et 33% de l¿ensemble des espèces de la LEF et la HEF, respectivement, représentées aux stades du plant et de la régénération avancée. L¿étude conclut que les variations en termes de composition spécifique, de diversité et de régénération s¿expliquent en partie par l¿altitude. (Résumé d'auteur)



2009 ◽  
Vol 300 (300) ◽  
pp. 15
Author(s):  
Pierre Soloviev ◽  
Guibien Cléophas Zerbo ◽  
Djingdia Lompo ◽  
Lucien Bakré Yoda ◽  
Dominique Jacques

Acacia senegal est une espèce largement répandue dans les zones sèches d¿Afrique. Elle constitue la principale source de production de gomme arabique, un hydrocolloïde utilisé localement ainsi que pour de nombreuses applications industrielles alimentaires ou non. Un inventaire réalisé en 1997 au Burkina Faso a établi une superficie en peuplements naturels de 286 000 ha. Des travaux ultérieurs ont démontré la présence dans ces peuplements d¿espèces apparentées, du sous-genre Aculeiferum (Acacia dudgeoni, Acacia gourmaensis et Acacia laeta). Une actualisation de l¿état des peuplements naturels et artificiels est apparue nécessaire dans le cadre de l¿adaptation de la stratégie de développement de la filière de la gomme arabique. La méthodologie mise en oeuvre a comporté deux phases, la première consistant à identifier les peuplements naturels et artificiels, la seconde à réaliser un inventaire par placettes d¿échantillonnage en vue de caractériser la composition spécifique et la densité des peuplements naturels. L¿étude a abouti à identifier des superficies fort limitées en peuplements naturels et artificiels de A. senegal, ainsi qu¿à constater l¿importance des peuplements naturels de A. laeta et des peuplements mélangés des espèces du sous-genre Aculeiferum. L¿aire naturelle de distribution de A. senegal au Burkina Faso a été précisée et les stations ont été caractérisées. Le potentiel de production de gomme arabique issue de A. senegal s¿établit à environ 25 tonnes/an. En conclusion, l¿accroissement de la production de gomme arabique de A. senegal au Burkina Faso implique l¿établissement de gommeraies artificielles. Un potentiel de production de gommes issues de A. seyal et A. laeta existe. (Résumé d'auteur)



2009 ◽  
Vol 300 (300) ◽  
pp. 29 ◽  
Author(s):  
Fidèle Bognounou ◽  
Adjima Thiombiano ◽  
Patrice Savadogo ◽  
Joseph Issaka Boussim ◽  
Per Christer Oden ◽  
...  

Comprendre la distribution de la végétation ligneuse et les facteurs qui la soustendent est une étape cruciale pour la conservation et la gestion des communautés végétales de l¿écosystème des savanes boisées. Cet article présente la composition spécifique, la structure et la diversité des essences ligneuses de quatre sites sur un gradient latitu - dinal dans les secteurs nord-sahélien, sud-sahélien, nord-soudanien et sud-soudanien du Burkina Faso occidental. Toutes les essences ligneuses ont été systématiquement identifiées et mesurées sur 82 placettes de 50 × 20 m2. La densité, la dominance, la fréquence, les espèces et les valeurs d¿importance ont été calculées pour caractériser la composition spécifique. Des mesures de diversité ont été calculées pour analyser l¿hétérogénéité de chacun des sites. Au total, 74 espèces représentant 26 familles et 53 genres ont été recensées, parmi lesquelles les familles des Combrétacées, Mimosacées et Caesalpiniacées s¿avèrent dominantes. Les caractéristiques structurelles font apparaître des différences significatives (p < 0,001) entre sites et espèces. Pour certains sites, les distributions par classe de dimension font apparaître une courbe en J'inversé, indiquant une végétation dominée par des arbres juvéniles. La composition spécifique fait apparaître une faible similitude entre sites, indiquant une diversité bêta élevée qui reflète des différences au niveau des conditions du milieu, de la topographie et de distance entre sites. Les différences spécifiques entre sites mettent en lumière l¿importance des approches à l¿échelle du paysage pour comprendre les distributions, la composition, la structure et la diversité spécifiques, dans une optique de mise en oeuvre de mesures de restauration et de conservation favorisant la surface terrière totale et la diversité de ces écosystèmes. (Résumé d'auteur)



2005 ◽  
Vol 16 (1) ◽  
pp. 55-77 ◽  
Author(s):  
I. Lavoie ◽  
F. V. Warwick ◽  
P. Reinhard ◽  
J. Painchaud

Le périphyton de la rivière Boyer Nord, une rivière affectée par les activités agricoles dans le sud du Québec (Canada), a été échantillonné toutes les deux semaines de la mi-mai à la fin septembre 1999 afin d'évaluer son évolution temporelle et d'identifier les variables potentielles qui le contrôlent. Les résultats montrent la grande variabilité temporelle de la biomasse périphytique (poids sec organique et chlorophylle a) et de la structure de la communauté de diatomées. La communauté d'algues benthiques dans la rivière Boyer était principalement composée de diatomées (Nitzschia, Cocconeis, Cymbella, Cyclotella), d'algues vertes (Scenedesmus, Pediastrum, Cosmarium, Closterium) et de cyanobactéries (Phormidium, Oscillatoria, Merismopedia). La pointe de débit observée durant la semaine précédant l'échantillonnage était fortement corrélée à plusieurs variables physico-chimiques (N-total, NH3-N, NO3-N, P-total, turbidité) et était le plus fortement corrélée aux changements temporels de la biomasse. La biomasse (chlorophylle a et poids sec organique) était négativement corrélée au phosphore total, ce qui reflète la relation avec le débit. Les changements temporels dans la composition spécifique des diatomées étaient régis par différentes variables physico-chimiques, selon les limites de tolérances et la valence écologique des espèces. Les algues périphytiques de cette communauté ont réagi aux variations de l'environnement à l'intérieur d'une période de 2 semaines puisque des changements majeurs dans la structure de l'assemblage de diatomées ont été observés lors de chaque échantillonnage. Ces observations montrent la forte variabilité de la biomasse et de la structure de la communauté périphytique dans les rivières enrichies par les éléments nutritifs et souligne l'influence majeure du débit dans ce type d'environnement.



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