Méthodologie des tests de provocation orale standardisés à double insu pour le diagnostic de l'allergie alimentaire. Revue de la littérature et expérience du service de médecine interne, immunologie clinique et allergologie de Nancy

2000 ◽  
Vol 40 (2) ◽  
pp. 237-250 ◽  
Author(s):  
D.A. Moneret-Vautrin ◽  
G. Kanny ◽  
E. Beaudouin ◽  
M. Morisset
2007 ◽  
Vol 74 (10-11) ◽  
pp. 1203-1204
Author(s):  
M. Lahlou ◽  
T. Harzy ◽  
R. Berrady ◽  
L. Lamchacht ◽  
I. Benyaich ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 61 (6) ◽  
pp. 269-272
Author(s):  
S. Bellakhal ◽  
L. Ben Hassine ◽  
E. Cherif ◽  
I. Boukhris ◽  
S. Azzabi ◽  
...  

2021 ◽  
Author(s):  
S. Salas ◽  
M. Bruge-Ansel

Introduction : La douleur est un symptôme commun chez 30 à 40 % des patients atteints d’un cancer, tous stades confondus de la maladie ; 15 à 30 % d’entre eux souffrent d’une douleur dite réfractaire aux opioïdes. La littérature de ces dernières années a décrit la kétamine, à dose subanesthésique, comme un intéressant adjuvant aux opioïdes, pour la prise en charge des douleurs cancéreuses réfractaires. L’objectif de cette revue de la littérature est d’évaluer l’état actuel des connaissances sur l’efficacité et la tolérance de la kétamine dans la gestion de la douleur chronique liée au cancer. Méthode : Nous avons analysé 12 articles publiés entre 1999 et 2019, traitant de l’utilisation de la kétamine pour la gestion des douleurs cancéreuses. Résultats : Parmi les articles sélectionnés, quatre remplissaient des critères méthodologiques scientifiquement validés. Trois de ces essais cliniques randomisés, en double insu, contrôlés par placebo, concluaient à une absence d’efficacité de la kétamine. Les populations analysées et les protocoles d’administration de la kétamine étaient très hétérogènes. Les bénéfices suggérés concerneraient principalement l’épargne morphinique, dans une certaine population de patients, apparaissant comme bons répondeurs, mais dont les caractéristiques semblent imprécises. La kétamine paraît plutôt bien tolérée dans la plupart de ces études, avec des effets secondaires légers, réversibles à l’arrêt du traitement. Conclusion : Il subsiste de nombreuses questions sans réponse, quant à l’efficacité de la kétamine dans la gestion de la douleur cancéreuse. Des études supplémentaires doivent être menées dans les prochaines années afin d’y répondre et d’apporter un bénéfice en pratique clinique.


2019 ◽  
Vol 32 (1) ◽  
pp. 47-53 ◽  
Author(s):  
E. Treillet

La kétamine est utilisée à visée antalgique dans la prise en charge de la douleur chronique depuis de nombreuses années. Dans la spécificité de la douleur cancéreuse, peu d’études soutenant son intérêt existent. Les récentes lettres aux professionnels de santé de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) nous poussent à la prudence quant à l’utilisation de la kétamine à visée antalgique. Cette revue de la littérature identifie le peu de données au sujet de l’intérêt de la kétamine pour la douleur du cancer. Celles-ci sont contradictoires tant pour les prises per os, sous-cutanées ou intraveineuses. De récentes études, d’assez bonne qualité méthodologique, exposent des efficacités similaires à celle du placebo. Des sept études qui ont été identifiées (quatre prospectives en double insu, une randomisée et deux études prospectives ouvertes), trois concluent à une inefficacité de la kétamine, trois à son efficacité et la dernière à une efficacité mitigée. Et pour autant, les revues de la littérature exposant ces articles se positionnent plutôt en faveur de son utilisation. Celle-ci se révèle nécessaire dans certaines situations complexes en fonction de la physiopathologie de la douleur du cancer.


2007 ◽  
Vol 64 (8) ◽  
pp. 443-449
Author(s):  
Darioli ◽  
Perdrix

Les maladies cardiovasculaires (MCV) constituent dans tous les pays industrialisés une cause majeure de morbidité et de mortalité, y compris en Suisse où elles figurent en tête des maladies diagnostiquées au cabinet médical (12.4%) et des motifs d’hospitalisation (9.6%) en 2004/2005. Cependant, les données statistiques de l’incapacité de travail et d’invalidité consécutives aux MCV demeurent lacunaires. Basée sur une revue de la littérature médicale et sur les statistiques officielles, les MCV ne représentaient que 2.3% des motifs d’arrêt de travail > 6 jours délivrés par les médecins de 1ers recours pour les patients de moins de 65 ans. Par ailleurs, les MCV ne correspondaient qu’à 2.5% de l’ensemble des rentes d’invalidité accordées aux femmes, ce taux étant de 5.5% chez les hommes en 2006. Entre 1987 et 2006, la proportion de diagnostics de MCV établis au cabinet médical a régressé de 14.6 à 12.4% (–15%), et plus encore celle des rentes de l’Assurance invalidité (AI) pour MCV qui a passé de 9.6 à 4.1% (–57%). L’ampleur de ces changements soulignent la nécessité de pouvoir disposer de données statistiques plus détaillées pour mesurer l’adéquation entre les dépenses consacrées à la prévention et le traitement des MCV et leur répercussion économique sur l’incapacité de travail et l’invalidité.


Praxis ◽  
2002 ◽  
Vol 91 (4) ◽  
pp. 129-132 ◽  
Author(s):  
Sierro ◽  
Suter ◽  
Vetter

La pathogenèse de l'«adiposis dolorosa» (maladie de Dercum), décrite pour la première fois en 1892, demeure aujourd'hui encore énigmatique. Après description d'un cas souffrant de ce syndrome, une courte revue de la littérature est proposée, avec un accent particulier sur les hypothèses physiopathologiques, le diagnostic différentiel et le traitement chirurgical de cette lipomatose.


Swiss Surgery ◽  
2002 ◽  
Vol 8 (4) ◽  
pp. 193-196 ◽  
Author(s):  
Christodoulou ◽  
Garofalo ◽  
Echeverri ◽  
Pelet ◽  
Mouhsine

Le syndrome de loge sur positionnement prolongé en lithotomie ou en hémilithitomie, est une complication rare en chirurgie. Les dommages neurovasculaires sont souvent permanents. On reporte deux cas d'ostéosynthèse du fémur en position d'hemilithotomie, compliqués d'un syndrome de loge de la jambe controlatérale. Une revue de la littérature sur les 40 cas décrits, jusqu'à ce jour, nous démontre que cette complication est fortement liée au positionnement du patient et à la durée opératoire. Compte tenu du pronostic fonctionnel incertain, une limitation du temps de positionnement en lithotomie doit être recherchée. La surveillance postopératoire doit être rigoureuse et sans hésitation quant à une fasciotomie éventuelle sur simple examen clinique ou après la mesure de la pression dans les loges. Une technique de positionnement sur la table orthopédique est proposée.


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