Popular Religion

Author(s):  
Robin Briggs

Popular religion, along with the wider field of popular culture, has only been a recognized subject for historical investigation for a relatively short time; the bibliography is virtually non-existent before 1970. Even so, a term that was at first accepted as comprehensible and useful has rapidly come to be seen as highly problematic. Among the multiple reasons for concern, two in particular stand out. Historians now recoil from any suggestion that there was a single or coherent phenomenon that could be labelled in this way, while detailed research has largely destroyed the notion of a clear frontier between “official” and “popular” beliefs and practices. These discussions have been particularly lively in the case of France, where the nature of religious change under the Ancien Régime raises important issues with wide relevance, and the documentation is unusually rich.

1990 ◽  
Vol 32 (4) ◽  
pp. 718-764 ◽  
Author(s):  
Daniel H. Levine

This paper examines the emergence and character of popular religious groups and considers their implications for long-term cultural change in Latin America. Particular attention is given to the link between religious change and the creation of a popular subject, a set of confident, articulate and capable men and women, from hitherto silent, unorganized, and dispirited populations. I argue here that creation of such a popular subject is nurtured by transformations in key expressions of popular religion, by the way these take form in new patterns of community organization and group solidarity, and by efforts to rework the ties that bind popular groups to dominant institutions.


Revista Trace ◽  
2018 ◽  
pp. 62
Author(s):  
Diego Carnevale

La intención con este artículo es describir el sistema de sepulturas urbanas en una de las ciudades más pobladas de la edad moderna, relacionando las tipologías sepulcrales tradicionales con el contexto político y socio-económico del siglo XVIII, época en la que se dio el nacimiento de un movimiento de reforma de las prácticas funerarias y los primeros intentos de llevar a cabo lo que los historiadores definen como “el exilio de los muertos”. La ciudad de Nápoles constituye un campo de observación privilegiado de los sistemas urbanos de sepultura en el Antiguo Régimen. La documentación disponible en la materia y la posibilidad de visitar algunas instalaciones, todavía visibles en algunas iglesias convertidas en monumentos, son fuentes preciosas para la investigación histórica. El objetivo es poner de manifiesto la pluralidad de elementos que participaron en la creación, transformación y eliminación de los sepulcros urbanos en las ciudades europeas de Antiguo Régimen, para proporcionar una visión más amplia y, tal vez, también más compleja del fenómeno.Abstract: This article aims to describe the burial system in one of the most populated cities in early modern era, relating the traditional burial typologies to the politics and socio-economics of the XVIIIth century, when a burial system reform took place along with the first attempts to realize what historians call “the exile of the dead”. The city of Naples provides a privileged observation point on urban burials in the Ancien Régime. Documents availability on the topic and the possibility to visit nowadays some of these graves, still visible in some churches converted to public monuments, have proven to be precious sources of historical investigation. Our aim is to highlight the variety of elements taking part in the creation, transformation, elimination of urban burials in Ancien Régime cities, so as to provide a wider and possibly more complex vision of the phenomenon.Résumé : Cet article a pour objectif de décrire le système des sépultures urbaines dans l’une des villes les plus peuplées de l’époque moderne, en établissant une relation entre les typologies sépulcrales traditionnelles et le contexte politique et socio-économique du XVIIIe siècle. C’est dans cette période en effet que naît un mouvement de réformes des pratiques funéraires et que sont menées à terme les premières tentatives de ce que les historiens qualifient d’“exil des morts”. La ville de Naples constitue un terrain d’observation privilégié des systèmes urbains de sépulture de l’Ancien Régime. La documentation disponible tout comme la possibilité de visiter quelques-unes de ces installations, encore visibles dans certaines églises monumentalisées, sont autant de sources de premier plan pour la recherche historique. Notre objectif est de mettre en évidence la pluralité des éléments qui ont contribué à la création, transformation et élimination des tombes urbaines dans les villes européennes d’Ancien Régime, afin d’offrir une vision plus large et, peut-être aussi, plus complexe du phénomène.


1968 ◽  
Vol 23 (1) ◽  
pp. 49-68 ◽  
Author(s):  
Guy Thuillier

La pollution des eaux n'est pas un phénomène récent : jusqu'au début du xxe siècle, et même après, l'usage d'eaux malsaines était quasi général, et la rareté de l'eau — dans les campagnes comme dans les villes — avait des conséquences sociales et médicales non négligeables. Certes cette histoire de l'eau est difficile à écrire, et elle tente peu les historiens, précisément parce qu'elle touche à cet « invisible quotidien » qui laisse peu de traces. Pourtant elle engage toute l'histoire des conditions matérielles de vie, l'histoire démographique et même l'histoire des mentalités : la révolution de l'eau a été trop diffuse pour qu'on en puisse aisément saisir toute l'étendue . Ne peut-on, cependant, pour une région limitée, tenter de dégager à grands traits les conditions de cet « ancien régime » de l'eau ?


1972 ◽  
Vol 27 (6) ◽  
pp. 1389-1399
Author(s):  
Jean Delumeau

« L'Anjou, écrivait un religieux à la fin du xvne siècle est une des plus petites provinces de la France, et il est très certain qu'un homme qui chemine bien peut aller en un jour d' Angers aux extrémités de la province, excepté vers Craon et La Roe. » A François Lebrun, auteur de l'admirable synthèse que viennent de publier les Éditions Mouton, il aura fallu une bonne dizaine d'années pour parcourir en tous sens les 9 362 km2, les 16 élections et les 541 paroisses de l' Anjou d' Ancien Régime, en connaître les terroirs, les contrastes', les misères et les espoirs. Le parti adopté est le même que ceux précédemment choisis par P. Goubert et E. Le Roy Ladurie pour le Beauvaisis et le Languedoc, plus récemment par R. Fossier pour la Picardie.


1959 ◽  
Vol 74 (6) ◽  
pp. 553
Author(s):  
Harcourt Brown ◽  
David T. Pottinger

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