scholarly journals Comparison of Multiplex Polymerase Chain Reaction and Culture for Diagnosis of Acute Bacterial Meningitis

Author(s):  
Sanjana Upadhyay Anil Kumar Bilolikar ◽  
Sukrutha Gopal Reddy
2010 ◽  
Vol 38 (2) ◽  
pp. 225-230 ◽  
Author(s):  
Wasiulla Rafi ◽  
Akepati Chandramuki ◽  
Reeta Mani ◽  
Parthasarathy Satishchandra ◽  
Sursarla Krishna Shankar

2021 ◽  
Vol 13 (1) ◽  
pp. 173-180
Author(s):  
Supriya Sharma ◽  
Jyoti Acharya ◽  
Dominique A. Caugant ◽  
Megha Raj Banjara ◽  
Prakash Ghimire ◽  
...  

The rapid identification of bacteria causing meningitis is crucial as delays in the treatment increase mortality rate. Though considered as the gold standard for the laboratory diagnosis of bacterial meningitis, culture might give false negative results in a case of patients under antibiotics prior to lumbar puncture. This study aimed to detect Streptococcus pneumoniae, Neisseria meningitidis and Haemophilus influenzae by a multiplex polymerase chain reaction (PCR) in culture-negative cerebrospinal fluid samples collected from clinically suspected meningitis cases attending different hospitals in Kathmandu, Nepal from January 2017 to December 2019. S. pneumoniae, N. meningitidis and H. influenzae were detected in 8.59% (33/384) of the specimens by PCR and 7.55% (29/384) of the specimens by culture. Correlation between culture and PCR of the same sample was good (Spearman’s rho correlation coefficient = 0.932). However, the difference in positivity between culture and PCR was statistically not significant (p value > 0.05). In four specimens, culture could not detect any of the targeted bacteria whereas PCR could detect presence of H. influenzae. PCR increases the diagnostic yield for bacterial meningitis. PCR may be considered as an adjunctive test for establishing the cause of infection in culture negative clinically suspected meningitis cases.


2018 ◽  
Vol 27 (3) ◽  
pp. 217-227
Author(s):  
P. Loubet ◽  
G. Voiriot ◽  
M. Neuville ◽  
B. Visseaux ◽  
J.-F. Timsit

Les pneumonies acquises à l’hôpital (PAH) sont fréquentes. À l’ère des techniques diagnostiques de biologie moléculaire (multiplex polymerase chain reaction), les rares données disponibles estiment que les virus respiratoires sont impliqués dans 22 à 32 % des épisodes. Les patients immunodéprimés constituent probablement la population la plus à risque. La présentation clinique et radiologique ne diffère pas entre pneumonies bactériennes, virales et mixtes (virus–bactérie). L’excrétion prolongée de virus respiratoires dans les voies aériennes a été rapportée chez les patients immunodéprimés. Elle pourrait promouvoir la co-infection bactérienne, associée à des durées d’hospitalisation prolongées. L’acquisition intrahospitalière a été démontrée chez tous les virus respiratoires. Elle encourage la mise en œuvre et le respect des mesures d’hygiène et de confinement, dans l’objectif de protéger soignants, visiteurs et patients. De nombreux points restent largement méconnus, relatifs aux interactions entre virus respiratoires et pathogènes non viraux, aux périodes d’incubation, ou encore aux durées d’excrétion virale. L’amélioration des techniques diagnostiques et l’accumulation de données épidémiologiques et cliniques devraient permettre de mieux appréhender le rôle des virus respiratoires dans les PAH. Cette meilleure connaissance aidera à rationaliser l’utilisation des tests de détection et facilitera l’interprétation de leurs résultats. Elle guidera aussi le clinicien dans l’utilisation future des nombreuses molécules antivirales actuellement en développement clinique chez l’homme.


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