Relationship Between the para-Homologous Sodium Channel Point Mutation (g → c at Nucleotide 2979) and Knockdown Resistance in the German Cockroach Using Multiplex Polymerase Chain Reaction to Discern Genotype

2003 ◽  
Vol 96 (3) ◽  
pp. 885-891 ◽  
Author(s):  
Steven M. Valles ◽  
Omaththage P. Perera ◽  
Charles A. Strong
2018 ◽  
Vol 27 (3) ◽  
pp. 217-227
Author(s):  
P. Loubet ◽  
G. Voiriot ◽  
M. Neuville ◽  
B. Visseaux ◽  
J.-F. Timsit

Les pneumonies acquises à l’hôpital (PAH) sont fréquentes. À l’ère des techniques diagnostiques de biologie moléculaire (multiplex polymerase chain reaction), les rares données disponibles estiment que les virus respiratoires sont impliqués dans 22 à 32 % des épisodes. Les patients immunodéprimés constituent probablement la population la plus à risque. La présentation clinique et radiologique ne diffère pas entre pneumonies bactériennes, virales et mixtes (virus–bactérie). L’excrétion prolongée de virus respiratoires dans les voies aériennes a été rapportée chez les patients immunodéprimés. Elle pourrait promouvoir la co-infection bactérienne, associée à des durées d’hospitalisation prolongées. L’acquisition intrahospitalière a été démontrée chez tous les virus respiratoires. Elle encourage la mise en œuvre et le respect des mesures d’hygiène et de confinement, dans l’objectif de protéger soignants, visiteurs et patients. De nombreux points restent largement méconnus, relatifs aux interactions entre virus respiratoires et pathogènes non viraux, aux périodes d’incubation, ou encore aux durées d’excrétion virale. L’amélioration des techniques diagnostiques et l’accumulation de données épidémiologiques et cliniques devraient permettre de mieux appréhender le rôle des virus respiratoires dans les PAH. Cette meilleure connaissance aidera à rationaliser l’utilisation des tests de détection et facilitera l’interprétation de leurs résultats. Elle guidera aussi le clinicien dans l’utilisation future des nombreuses molécules antivirales actuellement en développement clinique chez l’homme.


2019 ◽  
Vol 19 (3) ◽  
pp. 322-326 ◽  
Author(s):  
Hassan Valadbeigi ◽  
Elham Esmaeeli ◽  
Sobhan Ghafourian ◽  
Abbas Maleki ◽  
Nourkhoda Sadeghifard

Introduction: The aim of the current study was to investigate the prevalence of virulence genes in uropathogenic Escherichia coli (UPEC) isolates in Ilam. Materials and Methods: For this purpose, a total of 80 UPEC isolates were collected for patients with UTIs during a 6 months period. The multiplex polymerase chain reaction (multiplex PCR) was used to detect the papEF, fimH, iucD, hlyA, fyuA, and ompT genes. Results: The prevalence of fimH, papEF, iucD, fyuA, hlyA, hlyA, and ompT genes were 87.5%, 47.5%, 60%, 67.5%, 27.5%, 47.5% and 71.2%, respectively. Among all of the isolates, 27 profiles were obtained. Conclusion: Our findings demonstrated that the most prevalence was found for fimH, and different distribution of virulence genes suggested different ability of pathogenicity.


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