Through a close reading of the 1976 artist’s book and exhibition catalogue “Celebration of the Body,” the N.E. Thing Co. Ltd.’s pioneering representations of the body’s “informationalization” are situated within the conceptual company’s creative reworking of Marshall McLuhan’s sensory media theories. In turn, McLuhan’s thought is located within a genealogy of physiological aesthetics that troubles conventional narratives of Conceptual art as a movement defined by its engagement with theories of cognition, language, and systems. Friedrich Kittler’s analysis of modernism as reflecting the decomposition of the body under a regime of psychophysical experimentation provides the framework for this article’s re-evaluation of the Toronto School theorist and his influence on the foundational Vancouver-based “critical company.”En utilisant une lecture attentive du livre d’artiste et catalogue d’exposition « Celebration of the Body », 1979, les représentations du corps numérisé de N.E. Thing Co. sont encadrées dans le remaniement créatif des théories médiatique de Marshall McLuhan entreprit par la compagnie. À leurs tours, les pensées de McLuhan sont placées dans une généalogie d’esthétique physiologique qui dérange les récits conventionnels de l’art conceptuel comme étant un mouvement défini par son engagement avec les théories de la cognition et du langage. L’analyse de Friedrich Kittler de modernisme comme réflexion de la décomposition du corps effectuée par des expériences psychophysique fournit le cadre pour cette réévaluation du théoricien de l’École de Toronto et son impact sur la « compagnie critique » fondatrice de Vancouver.