scholarly journals Amélioration génétique des arbres forestiers. Point de vue du pépiniériste

1986 ◽  
pp. 255
Author(s):  
V. NAUDET
1975 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 73 ◽  
Author(s):  
S Casu ◽  
R Carta ◽  
JC Flamant ◽  
Michèle Briend ◽  
G Ruda ◽  
...  

2002 ◽  
Vol 15 (4) ◽  
pp. 273-291 ◽  
Author(s):  
G. LIENARD ◽  
M. LHERM ◽  
M.C. PIZAINE ◽  
J.Y. LE MARECHAL ◽  
B. BOUSSANGE ◽  
...  

L’étude présente l’évolution adaptative d’un échantillon constant d’exploitations d’élevage de bovins allaitants en race Limousine, sur 10 années. Cette période est particulièrement mouvementée, car elle comprend les quatre dernières années précédant la première réforme de la PAC, les trois années de sa mise en place, la première crise de l’ESB et les deux années de rétablissement qui suivirent. Cinq situations sont représentées dans l’échantillon : i/ des élevages Naisseurs vendant leurs veaux en broutards de 7 à 9 mois, et pour certains des reproducteurs mâles et femelles, ceci dans deux régions différant par l’altitude et les potentialités agronomiques, le Plateau de Millevaches (700-800 m) et la Moyenne Corrèze (300-600 m) - ii/ des Naisseurs engraissant la totalité de leurs bovins, mâles, génisses et vaches, dans des zones se prêtant mieux aux cultures et au maïs fourrage. L’étude est réalisée dans une optique de références, pouvant servir de repères pour le futur, déjà engagé par la mise en place de la deuxième réforme de la PAC (Agenda 2000) et l’irruption de la deuxième crise de l’ESB en octobre 2000, qui se prolonge. L’analyse met en évidence l’excellente aptitude à la production de viande de la race, à la fois par sa bonne productivité en veaux et sa capacité à produire des bovins de boucherie d’âges très variés, dès 11 à 12 mois, ce qui permet des adaptations rapides aux changements de marché. L’étude montre aussi la grande diversité des systèmes de conduite possibles permettant la mise en valeur des territoires soit dans une optique d’occupation d’un espace menacé d’abandon - c’est le cas des zones d’altitude - soit dans un objectif de maintien d’un haut niveau d’emploi grâce à une intensification des troupeaux et des sols qui peut être menée avec des charges très contenues, sauvegardant une forte autonomie fourragère tout en restant éloigné des risques de pollution des eaux. La présentation des trajectoires d’évolution de chaque exploitation permet seule de mettre en lumière le rôle prépondérant des aspects humains et familiaux, notamment l’âge de l’éleveur et les perspectives de succession à plus ou moins long terme, pour les décisions de développement, la croissance des troupeaux, leur amélioration génétique, les investissements et l’endettement. L’adaptation au nouveau contexte créé par la deuxième réforme de la PAC et la deuxième crise de l’ESB est discutée, avec le maintien de l’installation des jeunes comme enjeu majeur pour l’avenir.


2004 ◽  
Vol 17 (3) ◽  
pp. 189-193
Author(s):  
P. FONTAINE

Le secteur de l’aquaculture continentale évolue dans un contexte socio-économique de plus en plus difficile. La diversification des activités, avec notamment la production de perche commune, Perca fluviatilis, représente une réelle alternative. Dans un premier temps, le comportement de l’espèce en milieu confiné et l’identification de points de blocage majeurs (sensibilité à la qualité de l’eau et à certains agents pathogènes, maturité sexuelle précoce) ont orienté le développement de cette perciculture vers un système d’élevage en monoculture hors-sol (circuit fermé). Dans un deuxième temps, les différentes étapes du cycle de production ont été optimisées : contrôle du cycle de reproduction, définition des conditions environnementales optimales à tous les stades de développement, détermination des besoins nutritionnels (effets sur la qualité des produits) et amélioration génétique des populations mises en élevage. Dans un troisième temps, des transferts de technologies ont permis la création des premières fermes pilotes.


2009 ◽  
Vol 18 (2) ◽  
pp. 262-269 ◽  
Author(s):  
Marc Vandeputte ◽  
Jean-François Baroiller ◽  
Pierrick Haffray ◽  
Edwige Quillet

2008 ◽  
Vol 17 (4) ◽  
pp. 401-406 ◽  
Author(s):  
Vincent Le Roux ◽  
Laurence Brunissen ◽  
Charles Vincent ◽  
Philippe Giordanengo

1992 ◽  
Vol 5 (HS) ◽  
pp. 219-221
Author(s):  
J. BOUGLER

Pour obtenir de bons résultats en amélioration génétique, il faut des objectifs clairs, des méthodes éprouvées, des hommes compétents et une organisation assurant la cohérence des actions entreprises par chacun des partenaires. La Loi sur l’Elevage mise en place en France en 1966 a apporté aux élevages français le cadre correspondant qui est ici brièvement décrit. Le Département de Génétique Animale de l’INRA a, depuis le début, joué un rôle essentiel pour concevoir, mettre en place et assurer le suivi de toute cette organisation.


1992 ◽  
Vol 45 (3-4) ◽  
pp. 329-333
Author(s):  
F.A. Ahmed ◽  
B.A. Babiker ◽  
T.M. Mohamed ◽  
T.E. Ali

Deux expériences ont été réalisées afin de déterminer l'effet du croisement de la race indigène Kenana avec 50 ou 75 % de race Frisonne sur la performance des veaux, la production et la composition du lait. Dans l'expérience I, la consommation de matière sèche, le gain de poids vif et l'indice de consommation ont été étudiés avant et après le sevrage. Concernant la consommation de matière sèche, aucune différence significative n'a pu être mise en évidence entre les deux groupes de génotypes. En revanche, durant la période de pré-sevrage, le poids vif est statistiquement plus élevé chez les croisés Frison à 75 % que chez les croisés Frison à 50 %, tandis que durant la période de post-sevrage, il est significativement plus élevé chez les croisés à 50 % que chez ceux à 75 %. En ce qui concerne l'indice de consommation, les croisés Frison à 50 % présentent des valeurs supérieures à celles des croisés à 75 % durant la période de pré-sevrage, tandis qu'il est plus élevé chez les croisés à 75 % que chez ceux à 50 % durant la période de post-sevrage. Dans l'expérience II, les vaches Kenana croisées avec 50 % de Frison ont produit significativement plus de lait que les croisés à 75 %, mais avec une teneur moins élevée en matières grasses et en protéines.


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