scholarly journals Gestion intégrée de Maruca vitrata (FABRICIUS, 1787) et Megalurothrips sjostedti (TRYBOM, 1908), deux insectes ravageurs majeurs du niébé au Niger

2014 ◽  
Vol 7 (6) ◽  
pp. 2549 ◽  
Author(s):  
A Kadri ◽  
O Zakari Moussa ◽  
A Sido Yacouba ◽  
KK Hame Abdou ◽  
L Karimoune
2021 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 41-53
Author(s):  
A. Gougbe Semako ◽  
K. Aboudou ◽  
K.O. Chatigre ◽  
M.S.P. Noukpozounkou ◽  
M.M. Soumanou

La culture du niébé requiert de nos jours, une attention particulière à cause de sa sensibilité aux insectes ravageurs. La présente étude vise à déterminer, au laboratoire, les doses optimales de la combinaison des biopesticides (Topbio et virus MaviMNPV) à utiliser dans la lutte contre les principaux ravageurs du niébé notamment, Maruca vitrata, Aphis craccivora, et Megalurothrips sjostedti. A cet effet, les insectes ont été inoculés avec différentes doses des combinaisons de Topbio et du virus MaviMNPV variant respectivement de660 ml à 1000 ml et de 70 ml à 106 ml en utilisant la méthode des surfaces de réponses. La mortalité et la survie des insectes ont été évaluées et les doses optimales de la combinaison des biopesticides ont été déterminées. Les résultats ont montré que les effets linéaires et/ou quadratiques de la combinaison des biopesticides influencent significativement les taux de mortalité, d’émergence des larves et de mortalité des chrysalides. Ces taux ont varié de 63,33 à 85%, de 12,5 à 37,5%, et de 44,44 à 87,5% respectivement pour les taux de mortalité, d’émergence des larves et de mortalité des chrysalides de Maruca vitrata. Les taux de mortalité des formes adultes de Aphis craccivora, et Megalurothrips sjostedti, ont varié respectivement de 88,33 à 95% et de 85 à 95%. L’efficacité optimale des biopesticides est obtenue pour 1000 ml de Topbio et 106 ml du virus MaviMNPV avec un taux de désirabilité de 85%.Mots clés : Topbio, virus MaviMNPV, ravageurs, taux de mortalité, taux d’émergence


2012 ◽  
Vol 1 (2) ◽  
pp. 275 ◽  
Author(s):  
E. O. Egho ◽  
E. C. Enujeke

<p>Studies were conducted to test the effectiveness of native soap against cowpea insect pests during the late cowpea cropping season in two agro-ecological zones-Asaba and Abraka, Delta State. Four major insect pests, namely the cowpea aphid, <em>Aphis craccivora</em> Koch, the legume flower bud thrips, <em>Megalurothrips sjostedti </em>Tryb, the legume pod borer, <em>Maruca vitrata </em>Fab and pod sucking bugs were studied. The experiment was made up of five treatments-1, 2 and 3 percent concentrations of native soap, cypermethrin (as conventional chemical and check) and a control. Each treatment was replicated three times. The experiment was arranged into a randomised complete block design (RCBD). The results showed that all the major insect pests occurred in the study areas but were more at Asaba compared to Abraka. Native soap was effective against <em>A. craccivora </em>and flower bud thrips population at Asaba. <em>Maruca vitrata </em>was not affected by soap application. Grain yield was high at Abraka and significantly (P&lt;0.05) higher than Asaba. The use of native soap as non-conventional insecticide in cowpea insect pests management appears promising, more so as it is not expensive and safe to handle. Farmers may prefer it to synthetic chemical pesticides with their associated dangers.</p>


2019 ◽  
Vol 28 ◽  
pp. 25 ◽  
Author(s):  
Thierry Brévault ◽  
Djibril Badiane ◽  
Régis Goebel ◽  
Alain Renou ◽  
Idrissa Téréta ◽  
...  

Les insectes ravageurs représentent une contrainte majeure à l’augmentation du rendement en culture cotonnière en Afrique de l’Ouest. Les filières cotonnières se sont engagées, à des degrés divers, dans des démarches de gestion intégrée des ravageurs pour réduire l’utilisation des insecticides et limiter en amont les risques sanitaires et environnementaux. Toutefois, un changement fondamental des pratiques, au bénéfice de la stimulation des services de régulation naturelle des ravageurs, s’impose pour mettre au point des systèmes de production encore plus économes en pesticides et plus résilients. Les leviers permettant de stimuler les processus écologiques de régulation naturelle des ravageurs sont multiples et redevables d’actions à différentes échelles, du champ cultivé au territoire, mais nécessitent d’approfondir notre connaissance du système de vie des ravageurs et de leurs ennemis naturels. Ils nécessitent aussi une plus grande prise en compte de la perception et des pratiques des acteurs dans une approche participative de la gestion collective des ressources et des processus d’innovation. À terme, il s’agit de construire une organisation territorialisée d’actions individuelles et collectives de gestion des ravageurs et des services écosystémiques, incluant des dimensions écologiques, économiques et sociales.


2010 ◽  
pp. 39-50
Author(s):  
B. Hadj Kaddour ◽  
B. Remini ◽  
N. Messaoud Nacer ◽  
M. Habi ◽  
H. Pauc
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