syndrome dépressif
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2020 ◽  
Vol 41 ◽  
pp. A160-A161
Author(s):  
P. Laffont-Lozes ◽  
H. Baaziz ◽  
J. Litovski ◽  
M. Berger ◽  
E. Castille ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
pp. 197-201
Author(s):  
Sarah Tebeka ◽  
Caroline Dubertret
Keyword(s):  

2017 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 42-43
Author(s):  
Eric Hazouard ◽  
Gilles Aspe ◽  
Patrick Viaud ◽  
Isabelle Ramage ◽  
Didier Masbernat ◽  
...  
Keyword(s):  

2016 ◽  
Vol 174 (7) ◽  
pp. 557-563
Author(s):  
Aïcha Brahem ◽  
Sarra Ilahi ◽  
Maher Maoua ◽  
Houda Kalboussi ◽  
Olfa El Maalel ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 42 ◽  
pp. A56
Author(s):  
M. Gourine ◽  
K. Bentadj ◽  
S. Kara-Mostefa ◽  
A. Cherrak ◽  
S. Halimi ◽  
...  
Keyword(s):  

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S64-S64
Author(s):  
J.C. Seznec ◽  
S. Darbéda ◽  
S. Rouighi

ContexteLes arrêts maladie prolongés constituent un risque majeur de quitter le monde du travail et la dépression est la première cause de mise en invalidité en France. De nouvelles thérapies issues de la troisième vague des TCC comme la thérapie d’engagement et d’acceptation (ACT) pourraient être intéressantes pour favoriser la reprise du travail.ObjectifsDéterminer les facteurs prédictifs de retour à l’emploi après un arrêt pour syndrome dépressif.Matériel et méthodesL’étude est descriptive, prospective et multicentrique. Le recrutement des médecins investigateurs a été réalisé par la diffusion d’un article dans une revue française destinée aux médecins du travail. Chaque investigateur recrute les patients lors de la visite de reprise pour syndrome dépressif. Des éléments socio-démographiques, professionnels, médicaux et psychologiques (en particulier en lien avec l’ACT) sont évalués lors de l’inclusion, puis à 3 mois de visu ou par téléphone.RésultatsVingt-neuf patients ont été initialement inclus dans l’étude mais 2 ont été perdus de vue à 3 mois et 27 ont donc été analysés. À 3 mois, 22 patients ont repris le travail. Ceux qui reprennent le travail présentent des scores plus faible d’anxiété (p = 0,036), de dépression (p = 0,016), d’évitement expérientiel (p = 0,0083) et d’importance de la valeur de la vie professionnelle (p = 0,032).ConclusionL’ACT, via son action sur la diminution de l’évitement expérientiel et la redéfinition des valeurs de vie pourrait permettre un retour plus rapide au travail après un arrêt pour syndrome dépressif.


2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S142-S142 ◽  
Author(s):  
P. Tavares ◽  
A. Montagne ◽  
P. Brazo

Profamille est un programme psychoéducatif destiné aux aidants naturels des patients souffrant de schizophrénie. Il est standardisé, évalué et l’un des plus utilisés dans la francophonie. Il s’appuie sur des recherches sur les interactions entre le milieu familial et le cours de la maladie. L’une de ses particularités est de considérer l’action ciblée sur l’humeur des aidants comme l’un des paramètres essentiels de ses résultats positifs. En effet, l’amélioration de l’humeur doit permettre l’amélioration du coping des aidants, du climat émotionnel au sein de la famille et de l’acquisition des nouvelles connaissances délivrées par le programme. À notre connaissance, une seule étude antérieure sur l’évolution de l’humeur des participants à Profamille a été publiée, et elle concernait une version ancienne du programme. L’objectif de notre étude a donc été d’évaluer l’impact de Profamille sur l’humeur de 57 aidants inclus lors de 4 sessions ayant eu lieu au CHU de Caen, entre 2010 et 2014, grâce à un auto-questionnaire rempli en début et fin de programme (Center for Epidemiologic Studies-Depression scale [CES-D]). Nous avons distingué pour la comparaison statistique des scores d’évaluation (test de Wilcoxon bilatéral sur les données appariées) 3 groupes :– les sujets à risque de syndrome dépressif (score initial à la CES-D > 16, n = 23) ;– les sujets très probablement dépressifs (score initial à la CES-D > 22, n = 18) ;– les sujets non déprimés (score initial à la CES-D ≤ 16, n = 31).Les résultats ont montré que l’humeur s’améliorait tant dans le groupe à risque de syndrome dépressif (p < 0,001) que dans le groupe très probablement dépressif (p < 0,001). La comparaison des scores de l’humeur dans le groupe des sujets non déprimés n’était pas statistiquement significative. Ces résultats confirment l’impact positif de Profamille sur l’humeur des participants et son intérêt fondamental dans le travail avec les familles de nos patients souffrant de schizophrénie.


2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S157-S157
Author(s):  
E. Heitzmann ◽  
H. Javelot

L’aripiprazole peut être considéré comme un antipsychotique de 3e génération et présente théoriquement un faible risque d’induire des symptômes extrapyramidaux. Cependant, des cas de dyskinésies tardives et de dystonies induites par l’aripiprazole sont désormais rapportés assez fréquemment dans la littérature. Nous décrivons ici le cas d’un patient ayant présenté une dyskinésie d’évolution dramatique. À l’automne 2011, alors âgé de 74 ans, M X., qui n’a pas d’antécédent psychiatrique connu, présente un syndrome dépressif majeur pris en charge initialement par une association aripiprazole/escitalopram. En 2012, l’apparition progressive de dyskinésies bucco-linguo-faciales et de mouvements choréiques des membres inférieurs conduisent à l’arrêt de l’aripiprazole. Une IRM ne révèle aucune lésion des noyaux gris ou du tronc cérébral, notamment. Courant 2013 les symptômes sont amandés par l’utilisation de la tétrabénazine. Au cours de l’année suivante, on note successivement l’apparition d’une dyspnée d’effort bruyante sur spasmes diaphragmatiques, puis d’un stridor permanent sur spasme laryngé. La tétrabénazine est arrêtée en novembre 2014 dans un contexte d’aggravation de la symptomatologie dépressive. Le spasme laryngé est amélioré début 2015 par l’injection de toxine botulique, mais l’effet bénéfique s’estompe rapidement. Une nouvelle IRM réalisée en décembre 2014 ne révèle pas d’élément pour une étiologie alternative à l’hypothèse d’une dyskinésie iatrogène. En mars, la tétrabénazine est finalement réintroduite face aux dyskinésies qui persistent et deviennent de plus en plus sévères dans leur intensité. Mr X décède début juillet 2015 suite à un arrêt cardiaque dans un contexte d’insuffisance respiratoire terminale. Ce cas rappelle la prudence indispensable qu’il convient d’adopter dans l’utilisation de l’aripiprazole perçu comme un traitement antipsychotique avec un bon profil de sécurité clinique. Notre patient présentait plusieurs facteurs de risque de dyskinésie tardive incluant un âge avancé, la présence d’un trouble de l’humeur et une exposition à l’antipsychotique sur une durée supérieure à 6 mois.


2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S4-S4
Author(s):  
G. Bertschy

La dépression mixte correspond à un syndrome dépressif avec des éléments d’activation psychomotrice de la lignée hypomaniaque. Cette situation pathologique reste mal connue des cliniciens alors qu’elle est présente chez 10 à 20 % des patients dépressifs. Sa faible reconnaissance a été probablement liée à l’absence de ce concept dans les classifications internationales. Le DSM-5 a proposé une refonte de la définition des états mixtes, dépassant une conception particulièrement restrictive dans le DSM-IV. Des « caractéristiques mixtes » peuvent servir de spécificateur pour un épisode de trouble de l’humeur, dépressif ou maniaque. La dépression avec caractéristique mixte est définie par la présence de trois symptômes de la lignée maniaque associée à la dépression, hors agitation, distractibilité ou irritabilité. L’approche proposée par le DSM-5 manque de cohérence clinique et est finalement assez difficile à appliquer. Surtout elle ne permet pas d’identifier la majorité des dépressions mixtes. En effet les formes les plus fréquentes bien décrites dans les travaux de Koukopoulos ou Bennazzi se caractérisent par des symptômes hypomanes peu spécifiques comme l’irritabilité et l’agitation psychomotrice (ou parfois surtout l’absence de ralentissement psychomoteur) et des symptômes hypomanes limités à l’activation psychique qui s’exprime notamment à travers la tachypsychie subjective (avec des caractéristiques phénoménologiques différentes de celle de l’hypomanie) et la pression du discours. Les patients avec une dépression mixte sont particulièrement à risque de conduites suicidaires, d’abus de substances mais surtout de résistance thérapeutique car, même si on manque d’essais cliniques à leur sujet, ces patients non seulement nécessitent la prescription de thymorégulateurs mais aussi le plus souvent un arrêt des antidépresseurs qui ont souvent induit le caractère mixte de la dépression.


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