Profamille, programme de psychoéducation pour les familles d’un proche souffrant de schizophrénie : étude de l’impact du programme sur l’humeur des participants

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S142-S142 ◽  
Author(s):  
P. Tavares ◽  
A. Montagne ◽  
P. Brazo
Keyword(s):  
Nous Avons ◽  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
List Type ◽  
Syndrome Dépressif

Profamille est un programme psychoéducatif destiné aux aidants naturels des patients souffrant de schizophrénie. Il est standardisé, évalué et l’un des plus utilisés dans la francophonie. Il s’appuie sur des recherches sur les interactions entre le milieu familial et le cours de la maladie. L’une de ses particularités est de considérer l’action ciblée sur l’humeur des aidants comme l’un des paramètres essentiels de ses résultats positifs. En effet, l’amélioration de l’humeur doit permettre l’amélioration du coping des aidants, du climat émotionnel au sein de la famille et de l’acquisition des nouvelles connaissances délivrées par le programme. À notre connaissance, une seule étude antérieure sur l’évolution de l’humeur des participants à Profamille a été publiée, et elle concernait une version ancienne du programme. L’objectif de notre étude a donc été d’évaluer l’impact de Profamille sur l’humeur de 57 aidants inclus lors de 4 sessions ayant eu lieu au CHU de Caen, entre 2010 et 2014, grâce à un auto-questionnaire rempli en début et fin de programme (Center for Epidemiologic Studies-Depression scale [CES-D]). Nous avons distingué pour la comparaison statistique des scores d’évaluation (test de Wilcoxon bilatéral sur les données appariées) 3 groupes :– les sujets à risque de syndrome dépressif (score initial à la CES-D > 16, n = 23) ;– les sujets très probablement dépressifs (score initial à la CES-D > 22, n = 18) ;– les sujets non déprimés (score initial à la CES-D ≤ 16, n = 31).Les résultats ont montré que l’humeur s’améliorait tant dans le groupe à risque de syndrome dépressif (p < 0,001) que dans le groupe très probablement dépressif (p < 0,001). La comparaison des scores de l’humeur dans le groupe des sujets non déprimés n’était pas statistiquement significative. Ces résultats confirment l’impact positif de Profamille sur l’humeur des participants et son intérêt fondamental dans le travail avec les familles de nos patients souffrant de schizophrénie.

The Effect of Alternative Scoring Procedures on the Measurement Properties of a Self-Administered Depression Scale

2019 ◽  
Vol 35 (1) ◽  
pp. 55-62 ◽  
Author(s):  
Noboru Iwata ◽  
Akizumi Tsutsumi ◽  
Takafumi Wakita ◽  
Ryuichi Kumagai ◽  
Hiroyuki Noguchi ◽  
...  
Keyword(s):  
Classical Test Theory ◽  
Depression Scale ◽  
Psychometric Testing ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
Test Theory ◽  
Measurement Properties ◽  
Irt Model ◽  
Response Alternatives ◽  
Polytomous Item Response ◽  
Θ Point

Abstract. To investigate the effect of response alternatives/scoring procedures on the measurement properties of the Center for Epidemiologic Studies Depression Scale (CES-D) which has the four response alternatives, a polytomous item response theory (IRT) model was applied to the responses of 2,061 workers and university students (1,640 males, 421 females). Test information functions derived from the polytomous IRT analyses on the CES-D data with various scoring procedures indicated that: (1) the CES-D with its standard (0-1-2-3) scoring procedure should be useful for screening to detect subjects with “at high-risk” of depression if the θ point showing the highest information corresponds to the cut-off point, because of its extremely higher information; (2) the CES-D with the 0-1-1-2 scoring procedure could cover wider range of depressive severity, suggesting that this scoring procedure might be useful in cases where more exhaustive discrimination in symptomatology is of interest; and (3) the revised version of CES-D with replacing original positive items into negatively revised items outperformed the original version. These findings have never been demonstrated by the classical test theory analyses, and thus the utility of this kind of psychometric testing should be warranted to further investigation for the standard measures of psychological assessment.

Center for Epidemiologic Studies Depression Scale - Short Form

2006 ◽  
Author(s):  
Matthew P. Martens ◽  
Jerry C. Parker ◽  
Karen L. Smarr ◽  
James E. James E. Hewett ◽  
Bin Ge ◽  
...  
Keyword(s):  
Short Form ◽  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies

The Center for Epidemiologic Studies Depression Scale--Revised: Indonesian Version

2019 ◽  
Author(s):  
Thach Duc Tran ◽  
Fransiska Kaligis ◽  
Tjhin Wiguna ◽  
Lisa Willenberg ◽  
Hau Thi Minh Nguyen ◽  
...  
Keyword(s):  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies

Center for Epidemiologic Studies Depression Scale--Modified Version

2013 ◽  
Author(s):  
Valerie A. Earnshaw ◽  
Diane M. Quinn ◽  
Seth C. Kalichman ◽  
Crystal L. Park
Keyword(s):  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies

Center for Epidemiologic Studies Depression Scale--Revised; Chinese Version

2019 ◽  
Author(s):  
Jie Li ◽  
Fengling Zhao ◽  
Huayu Bai ◽  
Pingzhen Lin ◽  
Di Shao ◽  
...  
Keyword(s):  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
Chinese Version

Dépression et anxiété chez des patients tunisiens atteints de cancers colorectaux : spécificités et ampleur

2019 ◽  
Vol 13 (2) ◽  
pp. 105-111 ◽  
Author(s):  
R. Bouriga ◽  
M. Mahjoub ◽  
MA Chaouch ◽  
M. Hochlef ◽  
Y. El Kissi ◽  
...  
Keyword(s):  
Nous Avons ◽  
Cancer Colorectal ◽  
Depression Scale ◽  
Prise En Charge ◽  
Anxiety And Depression ◽  
Parcours De Soins ◽  
Effets Indésirables ◽  
Cancers Colorectaux ◽  
Dossier Médical ◽  
Patients Atteints De Cancer

Introduction : Le cancer est à l’origine de détresse psychologique alourdissant les morbidités des patients. Le cancer colorectal constitue un problème de santé publique de par son ampleur et sa gravité, en plus de son retentissement psychologique chez les patients et chez leur entourage. Notre objectif est de déterminer la prévalence de la dépression et de l’anxiété chez un groupe de patients tunisiens atteints de cancer colorectal et d’en rechercher les éventuelles relations avec les données cliniques. Patients et méthodes : Nous avons mené une étude observationnelle longitudinale prospective durant six mois (de mars à août 2017) colligeant tous les patients présentant un cancer colorectal et suivis à la consultation d’oncologie médicale au CHU Farhat-Hached à Sousse (Tunisie). En plus d’une grille à remplir par l’enquêteur se rapportant aux données épidémiologiques et cliniques du patient après l’entretien et la consultation du dossier médical, la mesure de l’anxiété et de la dépression a été faite à l’aide d’un autoquestionnaire validé en langue arabe : l’Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS). La saisie et l’analyse des données ont été faites par le logiciel SPSS V20.0. Résultats : Cinquante-deux patients ont accepté de répondre à notre questionnaire. Ils étaient répartis en 28 femmes et 24 hommes ; l’âge moyen était de 57 ± 13 ans, la durée moyenne de la maladie était de 3,2 ± 1 ans. Les patients inclus dans l’étude étaient au stade métastatique (stade IV) de leur maladie dans 27%des cas. Nos patients ont bénéficié d’un traitement curatif dans 54 % des cas, d’une chirurgie de la tumeur primitive dans 88,6 %, d’une chimiothérapie dans 94,3 %, d’une radiothérapie dans 34,6 %, et 15,5 % ont reçu le cetuximab. La dépression détectée auprès de nos patients était douteuse dans 17,3 %et certaine dans 13,5 %. L’anxiété était douteuse chez 13,5 % et certaine dans 7,5 %. Une corrélation positive significative a été mise en évidence entre d’une part la symptomatologie dépressive et d’autre part le stade métastatique de la maladie (r = 0,741, p = 0,042), la présence de stomie (r = 0,811 ; p = 0,005), la fatigue (r = 0,720 ; p = 0,005) et les effets indésirables à type de nausée et vomissement (r = 0,653 ; p = 0,045). Conclusion : Il existe une forte prévalence de la dépression et de l’anxiété chez les patients atteints de cancer colorectal dans notre travail. Ces troubles psychiques devraient être systématiquement recherchés afin de préconiser une prise en charge adéquate de ces patients dans leur parcours de soins.

Measurement invariance of the Center for Epidemiologic Studies Depression Scale in parents of individuals with disabilities

2019 ◽  
Vol 47 (10) ◽  
pp. 1-9
Author(s):  
Eun-Young Park ◽  
Joungmin Kim
Keyword(s):  
South Korea ◽  
Measurement Invariance ◽  
Factor Model ◽  
Panel Study ◽  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
Fit Indices ◽  
Chi Square ◽  
Using Data ◽  
Invariance Model

We aimed to verify the factor model and measurement invariance of the abbreviated Center for Epidemiologic Studies Depression Scale by conducting a confirmatory factor analysis using data from 761 parents of individuals with intellectual disabilities who completed the scale as part of the 2011 Survey on the Actual Conditions of Individuals with Developmental Disabilities, South Korea, and 7,301 participants from the general population who completed the scale as part of the 2011 Welfare Panel Study and Survey by the Ministry of Health and Welfare, South Korea. We used fit indices to assess data reliability and Amos 22.0 for data analysis. According to the results, the 4-factor model had an appropriate fit to the data and the regression coefficients were significant. However, the chi-square difference test result was nonsignificant; therefore, the metric invariance model was the most appropriate measurement invariance model for the data. Implications of the findings are discussed.

scholarly journals Validation of the Japanese Version of the Center for Epidemiologic Studies Depression Scale—Revised: A Preliminary Analysis

2021 ◽  
Vol 11 (8) ◽  
pp. 107
Author(s):  
Hirohito Tsuboi ◽  
Yui Takakura ◽  
Hiromasa Tsujiguchi ◽  
Sakae Miyagi ◽  
Keita Suzuki ◽  
...  
Keyword(s):  
Factor Analysis ◽  
Depressive Symptoms ◽  
Native Speakers ◽  
Depression Scale ◽  
Japanese Version ◽  
Population Based ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
Community Dwelling ◽  
Two Factors ◽  
Study Population

To make the Japanese version of the CESD-R—a revised version of the Center for Epidemiologic Studies depression scale (CES-D)—in the assessment of depressive symptoms in a general population. The English version of CESD-R was translated into Japanese, and back-translated into English by three native speakers of Japanese and English; then, we selected the version most completely consistent with the original items. The CESD-R was applied to 398 community-dwelling people (191 men: 48.0%, and 207 women: 52.0%) who were over 40 years old. The Japanese version of the CES-D was also carried out in the same population. Factor analysis was performed. Additionally, the correlations between the CESD-R and CES-D results were identified. The CESD-R scores showed a significantly positive correlation with CES-D scores (r = 0.74, p < 0.0005). Analysis of the CESD-R yielded a Cronbach’s alpha result of 0.90. Factor analysis revealed one principal factor in the CESD-R, whereas the original CES-D had two factors because of reversed items. The Japanese version of the CESD-R appears to have the reliability to be applicable for assessing depressive symptoms in population-based samples. However, because the Japanese expressions for some items might be unusual, our study population was also limited; further studies on other populations and on incorporating improved Japanese terminology will be needed.

scholarly journals Mental health crisis in healthcare providers in the COVID-19 pandemic: a cross-sectional facility-based survey

BMJ Open ◽  
2021 ◽  
Vol 11 (7) ◽  
pp. e052184
Author(s):  
Chih-Wei Sung ◽  
Chi-Hsin Chen ◽  
Cheng-Yi Fan ◽  
Jia-How Chang ◽  
Chia Chun Hung ◽  
...  
Keyword(s):  
Anxiety Disorder ◽  
Depressive Disorder ◽  
Acute Stress ◽  
Healthcare Providers ◽  
Depression Scale ◽  
Epidemiologic Studies ◽  
Mental Health Crisis ◽  
Cross Sectional ◽  
Health Crisis ◽  
Levels Of Care

ObjectivesDuring a pandemic, healthcare providers experience increased mental and physical burden. Burnout can lead to treatment errors, patient mortality, increased suicidal ideation and substance abuse as well as medical malpractice suits among medical staff. This study aimed to investigate the occurrence of burnout, acute stress disorder, anxiety disorder and depressive disorder among healthcare providers at the third month of the COVID-19 pandemic.DesignA cross-sectional facility-based survey.SettingHospitals around the country with different levels of care.ParticipantsA total of 1795 respondents, including 360 men and 1435 women who participated in the survey.Primary outcome measuresBurnout was assessed using the Physician Work Life Study. A score of ≥3 implied burnout.ResultsOf the 1795 respondents, 723 (40.3%) reported burnout, and 669 (37.3%) cared for patients with COVID-19. Anxiety levels were mild in 185 (10.3%) respondents, moderate in 209 (11.6%) and severe in 1401 (78.1%). The mean Center for Epidemiologic Studies Depression Scale-10 score was 9.5±6.3, and 817 (45.5%) respondents were classified as having depression. Factors associated with burnout were working in acute and critical care (ACC) divisions (adjusted OR (aOR)=1.84, 95% CI 1.20 to 3.39, p=0.019), caring for patients with COVID-19 (aOR=3.90, 95% CI 1.14 to 13.37, p=0.031) and having depressive disorder (aOR=9.44, 95% CI 7.44 to 11.97, p<0.001).ConclusionsPhysicians and nurses are vulnerable to burnout during a pandemic, especially those working in ACC divisions. Anxiety disorder, depressive disorder and care of patients with COVID-19 may be factors that influence the occurrence of burnout among healthcare providers.

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