scholarly journals Consensus statement on the multidisciplinary management of patients with recurrent and primary rectal cancer beyond total mesorectal excision planes

2013 ◽  
Vol 100 (8) ◽  
pp. 1009-1014 ◽  
Author(s):  
2013 ◽  
Vol 02 (04) ◽  
pp. 227-231 ◽  
Author(s):  
Shabeer Ahmed Mir ◽  
Nisar A. Chowdri ◽  
Fazl Q. Parray ◽  
Parvez Ahmed Mir ◽  
Yasir Bashir ◽  
...  

Abstract Summary and Background Data: The goals in the treatment of rectal cancer are cure, local control, and preservation of sphincter, bladder and sexual function. Surgical resection using sharp mesorectal dissection is important for achieving these goals. Objectives: The current treatment of choice for carcinoma rectum is sphincter saving procedures, which have practically replaced the previously done abdominoperineal resection. We performed a study in our institute to evaluate the surgical outcome and complications of rectal cancer. Materials and Methods: This prospectivestudy included 117 patients, treated for primary rectal cancer by low anterior resection (LAR) from May 2007 to December 2010. All patients underwent standard total mesorectal excision (TME) followed by restoration of continuity. Results: The peri-operative mortality rate was 2.5% (3/117). Post-operative complications occurred in 32% of the patients. After a median follow up of 42 months, local recurrences developed in 6 (5%) patients and distant metastasis in 5 (4.2%). The survival rate was 93%. Conclusion: The concept of total mesorectal excision (TME), advances in stapling technology and neoadjuvant therapy have made it possible to preserve the anal sphincter in most of the patients. Rectal cancer needs to be managed especially in a specialized unit for better results.


2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 155-158
Author(s):  
M. Aubert ◽  
Y. Panis

Contexte : L’exérèse totale du mésorectum par voie transanale (TaTME) pour la prise en charge du cancer du rectum est récemment apparue comme alternative à l’exérèse totale du mésorectum par voie abdominale. Cependant, certaines inquiétudes à propos des résultats oncologiques de cette technique chirurgicale ont émergé. Le but de cette étude était d’évaluer le taux de récidives locales après TaTME. Les objectifs secondaires s’intéressaient à la mortalité postopératoire, au taux de fistule anastomotique et au taux de stomie définitive. Méthodes : Les données de tous les patients opérés par TaTME ont été rapportées et comparées aux données issues des registres nationaux norvégiens de cancers colorectaux (NCCR) et de chirurgie gastro-intestinale (NoRGast). Les taux de récidive locale étaient estimés selon Kaplan-Meier. Résultats : En Norvège, 157 patients ont été opérés par TaTME pour un cancer du rectum entre octobre 2014 et octobre 2018. Trois des sept centres hospitaliers participants ont abandonné la réalisation de cette intervention après cinq procédures. Le taux de récidive locale était de 12 sur 157 patients (7,6 %) ; huit récidives locales étaient multifocales ou étendues. Le taux de récidive locale après un suivi de à 2,4 ans était estimé à 11,6 % (IC 95 % : [6,6‒19,9]) après TaTME contre 2,4 % (IC 95 % : [1,4‒4,4]) dans le registre NCCR (p < 0,001). Le hasard ratio était estimé à 6,71 (IC 95 % : [2,94‒15,32]). Le taux de fistule anastomotique nécessitant une réintervention était de 8,4 % dans le groupe TaTME contre 4,5 % dans le registre NoRGast (p = 0,047). Cinquante-six patients (35,7 %) étaient porteurs d’une stomie à la fin du suivi, dont 39 (24,8 %) étaient définitives. Conclusion : Le taux de fistule anastomotique était plus élevé après TaTME en comparaison aux données des registres nationaux norvégiens. Le taux de récidive locale ainsi que les caractéristiques de cette récidive après TaTME étaient défavorables.


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