Identification of pests and assessment of their damage on Carapa procera and Lophira lanceolata in Burkina Faso, West Africa

2016 ◽  
Vol 28 (3) ◽  
pp. 585-591 ◽  
Author(s):  
Baslayi Tindano ◽  
Olivier Gnankine ◽  
Amadé Ouédraogo ◽  
Mamadou Traore ◽  
Jørgen Axelsen ◽  
...  
2015 ◽  
Vol 7 (6) ◽  
pp. 160-167 ◽  
Author(s):  
Lankoande Benjamin ◽  
Ouedraogo Amade ◽  
Issaka Boussim Joseph ◽  
Mette Lykke Anne

2016 ◽  
Vol 91 (1) ◽  
pp. 85-96 ◽  
Author(s):  
Benjamin Lankoandé ◽  
Amadé Ouédraogo ◽  
Joseph Issaka Boussim ◽  
Anne Mette Lykke

2018 ◽  
Vol 335 ◽  
pp. 71
Author(s):  
Fanta Reine Sheirita Tietiambou

Au Burkina Faso, il existe des arbres oléagineux locaux à fort potentiel mais sous-utilisées dont la promotion peut contribuer à générer des revenus substantiels pour les communautés rurales et urbaines. La présente étude vise à évaluer le potentiel des Chaînes de Valeur (CVA) des huiles d’arbres locaux pour l’amélioration de l’économie rurale et la gestion durable des ressources dans la province du Kénédougou (Ouest du Burkina Faso). Des enquêtes ethnobotaniques, un bilan de masse de la production des huiles et une étude de marché des huiles et produits oléagineux ont été conduits. Pour comprendre la disponibilité des ressources, une estimation de la production fruitière des arbres ainsi qu’une évaluation de la structure des peuplements ont été réalisées.Les résultats révèlent 11 plantes oléagineuses connues parmi lesquelles Carapa procera DC., Lophira lanceolata Van Tiegh. ex Keay et Pentadesma butyracea Sabine ont un grand potentiel de valorisation. Le procédé d’extraction traditionnelle de l’huile de C. procera est typiquement artisanal avec une efficacité permettant d’obtenir 65,49 % de la teneur en huile de la graine. Pour L. lanceolata et P. butyracea, l’extraction de l’huile est semi artisanale avec des efficacités respectives de 69,08 % et 75,21 % de la teneur en huile des graines. Les indices d’acidité et de paraanisidine des huiles extraites restent dans les limites de valeurs acceptables du Codex Alimentarius. Dans la filière des huiles de ces trois arbres oléagineux, sept CVA ont été identifiées dont trois sont incitatives pour la promotion. Ce sont le beurre brut de P. butyracea destiné à l’exportation avec 88,23 % de Chance de Contribution à la Croissance pro Pauvre du Burkina Faso (CCCP-BF), le savon médical artisanal de C. procera (79,41 % de CCCP-BF) et le savon médical industriel de C. procera (73,5 % de CCCP-BF). L’analyse de la CVA du savon médical artisanal montre qu’elle contribue à une croissance enrichissante globale d’un taux de 77,76 %. Soixante-dix pour-cent des opérateurs ont moins de 20 % du revenu total de la CVA qui est actuellement de 22 904,2 Euros/an. Ce revenu total augmenterait à au moins 51 929,1 Euros/an si les opérateurs s’engageaient dans la promotion de la CVA.  


2015 ◽  
Vol 327 (327) ◽  
pp. 39 ◽  
Author(s):  
Fanta Reine Sheirita Tiétiambou Tiétiambou ◽  
Anne Mette Lykke ◽  
Gabin Korbéogo ◽  
Adjima Thiombiano ◽  
Amadé Ouédraogo

Les plantes oléagineuses locales offrent des usages multiples et constituent une source de revenus pour les communau- tés rurales. L’objectif de notre étude est de comprendre les perceptions et les savoirs des populations de la province du Kénédougou (Burkina Faso) concer- nant ces plantes et leurs huiles. La mé- thodologie utilisée est une combinaison de l’approche participative sociale et d’enquêtes  ethnobotaniques.  Au total,336 personnes ont été interrogées au sein de quatre groupes communautaires (Toussian, Siamou, Bolon et Peulh) à tra- vers 14 villages.  Les  résultats  révèlent 11 plantes oléagineuses connues, parmi lesquelles quatre représentent 94 % de l’ensemble des citations. Le savoir  sur les espèces ne varie significativement que selon l’âge (Χ2 = 8,11 ; p = 0,0173). Ce sont les adultes et les aînés qui dis- posent plus de savoir sur ces espèces. Les femmes sont les principales déten- trices des savoirs sur les techniques d’ex- traction des huiles et leur transformation (Χ2 = 19,79 ; p < 0,001). Ces techniques sont connues pour sept espèces mais elles ne sont effectivement appliquées que pour l’extraction des huiles de quatre espèces : Vitellaria paradoxa, Elaeis guineensis, Carapa procera et Lophira lanceolata. Les huiles des 11 espèces citées sont principalement utilisées dans la médecine (47 %), l’alimentation (37 %) et la cosmétique (16 %). La préférence des communautés pour les huiles est influencée par leurs utilisations mais également par le savoir sur la technique d’extraction, la facilité de cette technique et le rendement en huile extractible de la graine. Les valeurs du Facteur consensus d’informateurs (68 %) révèlent que les espèces que les populations consentent  à préserver sont celles qui sont les plus utilitaires. La promotion de l’huile de ces plantes pourrait être un atout pour leur préservation.


2000 ◽  
Vol 22 (4) ◽  
pp. 24-28 ◽  
Author(s):  
Carla Roncoli ◽  
Keith Ingram ◽  
Paul Kirshen

In this article we bring anthropological reflections to bear on a recent event we participated in, whereby farmers and scientists came together to discuss the possibility of applying rainfall seasonal forecasts to improve agricultural production and livelihood security in West Africa. In so doing, We also report on the research findings from the project that organized this encounter and that we have been working with for the last three years. Our intent is to highlight the complexities and challenges inherent in this process of integrating scientific information and farmers' production decisions, while also pointing to practical issues to be considered in implementing such initiatives.


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