La danse, une thérapie pour la personne âgée. Revue de la littérature

2015 ◽  
Vol 7 (4) ◽  
pp. 177-187 ◽  
Author(s):  
A. Lelièvre ◽  
F. Tuchowski ◽  
Y. Rolland
2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 651-651
Author(s):  
E. Thibon ◽  
P. Doury ◽  
K. Parera ◽  
F. Olivier ◽  
R. Cance

Mme L., 90 ans, était traitée en 3e intention par rispéridone 0,5 mg puis 1 mg durant 7 jours dans le cadre d’un trouble anxieux généralisé décompensé avec agitation. Une rhabdomyolyse et une cytolyse hépatique ont été découvertes fortuitement, associées à des signes cliniques de syndrome malin des neuroleptiques (SMNL) débutant. Les anomalies cliniques et paracliniques ont été résolutives 7 jours après l’arrêt de la rispéridone.Nous avons réalisé une revue de la littérature sur le SMNL chez le sujet âgé de plus de 65 ans dans la base de données gratuite de Pubmed entre 1985 et 2014.Parmi les patients retrouvés, la majorité étaient des hommes âgés de plus de 80 ans. Les pathologies traitées étaient représentées pour moitié par des pathologies neurodégénératives. Les différentes classes d’antipsychotiques étaient représentées, avec notamment : halopéridol, dropéridol, chlorpromazine, trifluopérazine, méthotrimeprazine, loxapine, sulpiride ainsi que risperidone et olanzapine. L’augmentation récente des doses semblait être un facteur favorisant. Les délais d’apparition étaient immédiat (< 48 h), précoce (2 à 15 jours), ou tardif (> 15 jours) dans la plupart des cas. Les signes cardinaux du SMNL étaient présents dans la plupart des cas, associés à une augmentation systématique des CPK. On note 50 % de mortalité.La spécificité chez le sujet âgé semble être une mortalité plus élevée qu’en population générale. Les facteurs de risque tels les pathologies neurodégénératives sont analysés. Les auteurs interrogent le rapport bénéfice/risque de la prescription des antipsychotiques chez la personne âgée.


2014 ◽  
Vol 24 (11) ◽  
pp. 672-681 ◽  
Author(s):  
J. Kerdraon ◽  
G. Robain ◽  
C. Jeandel ◽  
P. Mongiat Artus ◽  
X. Gamé ◽  
...  

2010 ◽  
Vol 194 (4-5) ◽  
pp. 819-831
Author(s):  
Jean Doucet ◽  
Bernard Bauduceau ◽  
Patrice Queneau
Keyword(s):  

2007 ◽  
Vol 64 (8) ◽  
pp. 443-449
Author(s):  
Darioli ◽  
Perdrix

Les maladies cardiovasculaires (MCV) constituent dans tous les pays industrialisés une cause majeure de morbidité et de mortalité, y compris en Suisse où elles figurent en tête des maladies diagnostiquées au cabinet médical (12.4%) et des motifs d’hospitalisation (9.6%) en 2004/2005. Cependant, les données statistiques de l’incapacité de travail et d’invalidité consécutives aux MCV demeurent lacunaires. Basée sur une revue de la littérature médicale et sur les statistiques officielles, les MCV ne représentaient que 2.3% des motifs d’arrêt de travail > 6 jours délivrés par les médecins de 1ers recours pour les patients de moins de 65 ans. Par ailleurs, les MCV ne correspondaient qu’à 2.5% de l’ensemble des rentes d’invalidité accordées aux femmes, ce taux étant de 5.5% chez les hommes en 2006. Entre 1987 et 2006, la proportion de diagnostics de MCV établis au cabinet médical a régressé de 14.6 à 12.4% (–15%), et plus encore celle des rentes de l’Assurance invalidité (AI) pour MCV qui a passé de 9.6 à 4.1% (–57%). L’ampleur de ces changements soulignent la nécessité de pouvoir disposer de données statistiques plus détaillées pour mesurer l’adéquation entre les dépenses consacrées à la prévention et le traitement des MCV et leur répercussion économique sur l’incapacité de travail et l’invalidité.


Praxis ◽  
2002 ◽  
Vol 91 (4) ◽  
pp. 129-132 ◽  
Author(s):  
Sierro ◽  
Suter ◽  
Vetter

La pathogenèse de l'«adiposis dolorosa» (maladie de Dercum), décrite pour la première fois en 1892, demeure aujourd'hui encore énigmatique. Après description d'un cas souffrant de ce syndrome, une courte revue de la littérature est proposée, avec un accent particulier sur les hypothèses physiopathologiques, le diagnostic différentiel et le traitement chirurgical de cette lipomatose.


Swiss Surgery ◽  
2002 ◽  
Vol 8 (4) ◽  
pp. 193-196 ◽  
Author(s):  
Christodoulou ◽  
Garofalo ◽  
Echeverri ◽  
Pelet ◽  
Mouhsine

Le syndrome de loge sur positionnement prolongé en lithotomie ou en hémilithitomie, est une complication rare en chirurgie. Les dommages neurovasculaires sont souvent permanents. On reporte deux cas d'ostéosynthèse du fémur en position d'hemilithotomie, compliqués d'un syndrome de loge de la jambe controlatérale. Une revue de la littérature sur les 40 cas décrits, jusqu'à ce jour, nous démontre que cette complication est fortement liée au positionnement du patient et à la durée opératoire. Compte tenu du pronostic fonctionnel incertain, une limitation du temps de positionnement en lithotomie doit être recherchée. La surveillance postopératoire doit être rigoureuse et sans hésitation quant à une fasciotomie éventuelle sur simple examen clinique ou après la mesure de la pression dans les loges. Une technique de positionnement sur la table orthopédique est proposée.


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