Directive clinique no 422a : Ménopause : symptômes vasomoteurs, agents thérapeutiques d'ordonnance, médecines douces et complémentaires, nutrition et mode de vie

2021 ◽  
Vol 43 (10) ◽  
pp. 1205-1223.e1
Author(s):  
Nese Yuksel ◽  
Debra Evaniuk ◽  
Lina Huang ◽  
Unjali Malhotra ◽  
Jennifer Blake ◽  
...  
Keyword(s):  
2006 ◽  
Vol 42 (2) ◽  
pp. 82-90
Author(s):  
S. Ennigrou ◽  
F. Ben Slama ◽  
N. Achour ◽  
A. Achour ◽  
B. Zouari

2020 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 80-87
Author(s):  
R. Enaud ◽  
C. Tétard ◽  
T. Lamireau

Même si la physiopathologie des maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) fait encore l’objet de nombreuses études, il est admis qu’elle implique une interaction inadaptée entre le microbiote intestinal et le système immunitaire digestif. L’incidence croissante des MICI durant les dernières décennies, en lien avec l’occidentalisation du mode de vie, souligne le rôle des facteurs environnementaux dans cette interaction. Ces facteurs seraient notamment impliqués dans les perturbations du microbiote intestinal ou dysbioses, maintenant bien décrites dans les MICI. Parmi ces facteurs, l’alimentation suscite beaucoup d’intérêt. Symbole de nos changements de mode de vie, elle a un impact bien démontré sur la composition du microbiote, dès la naissance puis tout au long de la vie. Des études épidémiologiques ont permis de montrer des associations entre l’alimentation et le risque de survenue de MICI. Certains de ces liens ont également pu être mis en évidence chez l’animal ou en culture cellulaire, renforçant l’hypothèse d’une relation étroite entre l’alimentation, le microbiote et l’inflammation intestinale. L’alimentation bénéficie également d’une attention croissante ces dernières années dans la prise en charge des MICI. Au-delà de l’utilisation de la nutrition entérale exclusive dans la maladie de Crohn pédiatrique, dont l’efficacité est maintenant bien démontrée, de nouvelles approches émergent. Parmi elles, des régimes d’exclusion spécifiques pourraient constituer les prochaines avancées majeures dans la prise en charge de MICI au cours des prochaines années.


1966 ◽  
Vol 21 (1) ◽  
pp. 159-177 ◽  
Author(s):  
Mario Gongora

A. Vexliard indiquait récemment qu'il n'existe pas de définition tout à fait exhaustive du vagabondage. Le vagabondage est un phénomène qui présente des formes très diverses suivant les structures historiques dominantes, sans parler du vagabondage élémentaire, simple répercussion de catastrophes naturelles ou humaines. Le caractère qui paraît essentiel dans ce mode de vie est moins le déplacement en soi que l'irrégularité, le retreatism au sens défini par R. Merton, la déviation face aux finalités et institutions sociales. Il existe un vagabondage agressif, qui tend à coïncider avec le banditisme, et il en existe un autre, pacifique, proche de la mendicité. Mais, au fond, le vagabondage ne s'identifie jamais pleinement avec ces formes fixes et comme institutionnalisées elles aussi. Dans son âge d'or, au Moyen Age, le vagabondage fut en relation avec des phénomènes culturels aussi importants que les pèlerinages, les croisades, le métier de jongleur.


1981 ◽  
Vol 17 (1) ◽  
pp. 39-42
Author(s):  
J.F. Bernard-Becharies
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 35 (1) ◽  
pp. 38
Author(s):  
M. Dridi ◽  
I. Sebai ◽  
S. Zribi ◽  
K. Ounaissa ◽  
K. Ben Naceur ◽  
...  
Keyword(s):  

1990 ◽  
Vol 5 (6) ◽  
pp. 363-373
Author(s):  
D Bailly ◽  
JY Alexandre ◽  
C Collinet ◽  
R Beuscart ◽  
Ph J Parquet

RésuméAfin d'évaluer la fréquence et les manifestations de la dépression à l'adolescence, une enquête a été réalisée auprès de 744 lycéens (439 garçons et 305 filles), âgés de 14 à 23 ans, et appartenant à 15 établissements d'enseignement du second degré du département du Nord. La première partie de l'enquête a consisté en la passation de deux autoquestionnaires: la version française de l'échelle CES-D (Center for Epidemiologic Studies-Depression Scale); et un questionnaire destiné à recueillir un certain nombre de renseignements concernant la situation sociodémographique du sujet, son état de santé et celui de ses parents, son mode de vie, ses relations familiales, son degré d'insertion scolaire et sociale. La deuxième partie a consisté en un examen clinique semi-standardisé visant à repérer les adolescents présentant un épisode dépressif majeur selon les critères diagnostiques du DSMIII-R. Sur les 728 lycéens examinés, 32 (18 garçons et 14 filles) présentaient un épisode dépressif majeur (soit une prévalence de 4,4%). Les critères diagnostiques du DSMIII-R les plus discriminants pour l'identification des adolescents déprimés ont été, par ordre d'importance décroissante: l'humeur dépressive, la diminution de l'intérêt ou du plaisir, l'agitation ou le ralentissement psychomoteur, la diminution de la capacité à réfléchir ou à se concentrer, et les idées récurrentes de mort. Le score moyen obtenu à la CES-D chez les adolescents déprimés apparaît très significativement supérieur à celui obtenu chez les adolescents non déprimés (28,9 ±8 vs 13,5 ± 8,2). Enfin, parmi les variables étudiées, certaines apparaissent significativement associées à la dépression; difficultés scolaires, problèmes de santé multiples et variés, attitudes particulières vis-à-vis du poids et de l'alimentation, problèmes de sommeil, conduites antisociales. Des problèmes de santé, en particulier d'ordre psychiatrique, sont aussi plus fréquemment retrouvés chez les parents des adolescents déprimés. En conclusion, cette étude montre que la dépression, dans sa forme typique, n'est pas rare à l'adolescence mais qu'elle est aussi souvent méconnue. C'est dire la nécessité de là rechercher devant tout problème psychopathologique survenant à l'adolescence. C'est dire aussi l'intérêt des études épidémiologiques visant à préciser la phénoménologie de la dépression à cet âge de la vie.


2002 ◽  
Vol 69 (4) ◽  
pp. 218-228 ◽  
Author(s):  
Ginette Aubin ◽  
Raymonde Hachey ◽  
Céline Mercier
Keyword(s):  

Les troubles mentaux graves affectent les occupations quotidiennes et le mode de vie des personnes qui en souffrent. Une étude descriptive a été menée ayant pour but d'étudier quelle signification les personnes souffrant de troubles mentaux graves donnent à leurs activités quotidiennes. Dans cette étude, la signification des activités a été définie à partir du Modèle de l'occupation humaine de Kielhofner, et ce, par trois déterminants, soient: le sentiment de compétence, l'importance et le plaisir. Ceux-ci ont été mesurés pour chaque activité quotidienne à l'aide du Questionnaire occupationnel lors d'une entrevue semi-structurée effectuée auprès de 45 personnes souffrant de troubles mentaux graves. De façon générale, les activités incluses dans les catégories de l'hygiène et des soins, des repas et du sommeil ont obtenu les moyennes les plus élevées pour chaque déterminant, soit le sentiment de compétence, l'importance et le plaisir. Toutefois, le travail se distingue quant à l'importance accordée à l'activité tandis que les activités sociales sont mises en valeur par leur association au plaisir. L'analyse des résultats souligne l'importance pour les ergothérapeutes de mieux connaître le sens accordé aux activités quotidiennes par les personnes souffrant de troubles mentaux graves afin de soutenir les efforts de ces personnes à développer une perception plus positive de leur occupation du temps.


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