Une forme inhabituelle d’allergie aux protéines de lait de vache IgE médiée avec œdèmes des extrémités

2021 ◽  
Vol 61 (5) ◽  
pp. 341-342
Author(s):  
S. Bonjour ◽  
T. Bourrier
Keyword(s):  
2019 ◽  
Vol 42.2 ◽  
pp. 7198-7206
Author(s):  
Mensah Serge Egide Paulin ◽  
Sessou Philippe ◽  
Nata Christie ◽  
Adjahoutonon Koomlan Yélindo Kadjinou Brice ◽  
Lahamy Olivier ◽  
...  

Une enquête transversale a été faite pour évaluer l’utilisation des antibiotiques dans les élevages de production de lait de vache des communes de Natitingou, Kérou, Pehunco, Kouandé et Djougou au nord-ouest du Bénin. Sur 452 éleveurs enquêtés, 347 (76,7%) utilisaient des antibiotiques sans assistance vétérinaire pour le traitement des affections respiratoires (19,0%), les entérites néo natales (19,0%), les dermatoses (18,0%), les plaies (17,0%), les mammites (17,0%) ou d’autres maladies (10,0%). Les tétracyclines (100,0%), les pénicillines (100,0%), les sulfamides (47,1%) et les macrolides (16,8%) étaient les familles d’antibiotiques les plus utilisées. 35,6% des éleveurs achetait les antibiotiques au marché contre 84,4% chez un vétérinaire et 35,1% les achetait sans le conseil d’un vétérinaire. Plus de 50% des éleveurs ne consulte pas un vétérinaire pour l’administration des antibiotiques ou n’adapte jamais la posologie selon le poids des bovins traités. Enfin, 83,6% des éleveurs faisaient traire les vaches sous traitement antibiotiques tout comme les vaches sans traitement. Les services vétérinaires du Bénin devraient mieux contrôler de l’utilisation des antibiotiques en production de lait de vache et sensibiliser les éleveurs sur le risque représenté par la présence de résidus d’antibiotiques dans le lait de vache consommé. ABSTRACT A cross sectional survey was conducted to assess the use of antibiotic in dairy farms in the municipalities of Natitingou, Kérou, Pehunco, Kouandé and Djougou in northwestern Benin. Three hundred and Forty seven 347 (76.7%) of the 452 surveyed farmers used antibiotics without veterinary assistance against neonatal enteritis (19.0%), dermatitis (18.0%), wounds (17.0%), mastitis (17.0%) or others diseases (10.0%). Tetracyclines (100.0%), penicillins (100.0%), sulfonamides (47.1%) and macrolides (16.8 %) and were the most used families of antibiotics. 35.6% of breeders bought antibiotics at the market against 84.4% at a veterinarian and 35.1% bought them without the advice of a veterinarian. More than 50% of breeders do not consult a veterinarian for the administration of antibiotics or never adapt the dosage according to the weight of the treated cattle. Finally, 83.6% of breeders milked cows under antibiotic treatment as cows without treatment. Benin veterinary services should more control the use of antibiotics in dairy farms and inform the farmer about the risk associated with the presence of antibiotics residues in consumed cow milk.


2020 ◽  
Vol 60 (4) ◽  
pp. 323
Author(s):  
A.C. De Ménibus ◽  
T. Guiddir ◽  
C. Billard ◽  
P. Poncet ◽  
M.A. Selva ◽  
...  
Keyword(s):  

2007 ◽  
Vol 14 (4) ◽  
pp. 410-412 ◽  
Author(s):  
D. de Boissieu ◽  
C. Dupont
Keyword(s):  

2012 ◽  
Vol 8 (32) ◽  
pp. 20-29
Author(s):  
Aurélie Lafitedupont ◽  
Aurélie Lafitedupont
Keyword(s):  

2005 ◽  
Vol 45 (5) ◽  
pp. 389-394
Author(s):  
L. Michaud ◽  
A. El Hassani ◽  
R. Sfeir ◽  
C. Santos ◽  
D. Turck ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 20 (6) ◽  
pp. 692-693 ◽  
Author(s):  
T. Aboudiab ◽  
S. Al Hawarï ◽  
E. Agla ◽  
Y. Moussa ◽  
L. Léké
Keyword(s):  

2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
Author(s):  
Élise VANBERGUE ◽  
Jean-Louis POULET ◽  
Jean-Louis PEYRAUD ◽  
Catherine HURTAUD
Keyword(s):  

La lipolyse est une réaction enzymatique qui influence négativement les qualités organoleptiques et technologiques du lait. Dans certaines régions de France, la lipolyse est un critère de paiement du lait. La susceptibilité des vaches à la lipolyse conditionne les fluctuations de la lipolyse dans le tank. Les vaches dites « non susceptibles » présentent un taux de lipolyse individuel faible et stable pendant leur carrière alors que les vaches dites « susceptibles » présentent un taux de lipolyse fluctuant de faible à très élevé, en fonction des facteurs d’élevage, de l’installation de traite et du stockage. Selon les systèmes d’élevage, plusieurs leviers sont disponibles pour minimiser la lipolyse : sélection de vaches « non susceptibles » à la lipolyse parmi les vaches Holstein ou recours à d’autres races de vaches moins « susceptibles » telles que les vaches de race Normande ou Tarentaise à titre d’exemple, tarissement à 6 mois de gestation pour les vaches « susceptibles », maintien de la fréquence de traite à deux traites par jour. Une attention particulière doit être accordée à l’équilibre des rations (énergie, azote) et à la complémentation (lipides) surtout chez les vaches fortes productrices en début de lactation. Le pâturage semble être associé à des niveaux de lipolyse faibles. Un bon entretien des installations de traite doit être réalisé car la présence de dysfonctionnements multiplie l’impact du circuit de traite sur la lipolyse. Avec les robots de traite, la lipolyse est en moyenne plus élevée qu’en traite conventionnelle, cependant l’amélioration des matériels est continue. Les mécanismes biochimiques, explicatifs de la lipolyse sont toujours à l’étude.)


2020 ◽  
Vol 6 (3) ◽  
pp. 213-223
Author(s):  
C. AGABRIEL ◽  
J.B. COULON ◽  
G. MARTY ◽  
B. BONAÏTI ◽  
P. BONIFACE

Soixante-trois exploitations laitières du Massif Central adhérentes au Contrôle Laitier et élevant des vaches Holstein ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés (y compris leur composition chimique), les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). L’état corporel et le tour thoracique des animaux ont par ailleurs été mesurés. Ces données ont permis d’analyser conjointement les variations de la production et de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre, et de préciser certains facteurs du milieu responsables de ces variations. La production moyenne par vache et par an a varié de 5040 à 8330 kg, le taux butyreux de 36,5 à 42,9 g/kg et le taux protéique de 28,1 à 32,4 g/kg. Ces écarts sont principalement liés aux facteurs du milieu. Les performances les plus faibles sont rencontrées dans les exploitations où les pratiques alimentaires sont les moins favorables : une alimentation énergétique insuffisante chez les génisses puis chez les vaches en production, se traduisant par un état corporel médiocre et un faible développement corporel des animaux est associée aux productions laitières et aux taux protéiques les plus faibles. L’absence de liaison significative entre les effets troupeau taux protéique et lait, qui conduit à observer les taux protéiques les plus élevés dans des exploitations où la production laitière est moyenne est discutée. En particulier, le rôle de la nature des aliments (valeur laitière de la ration), de l’état corporel des animaux et de leur état sanitaire est mis en évidence. Les variations du taux butyreux du lait sont d’abord liées à la nature de la ration de base (présence ou non d’ensilage de maïs).


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