Results After Rectal Cancer Resection With In-Continuity Partial Vaginectomy and Total Mesorectal Excision

2003 ◽  
Vol 10 (6) ◽  
pp. 664-668 ◽  
Author(s):  
L. Ruo ◽  
P. B. Paty ◽  
B. D. Minsky ◽  
W. D. Wong ◽  
A. M. Cohen ◽  
...  
2018 ◽  
Vol 84 (12) ◽  
pp. 1876-1881
Author(s):  
Adam Truong ◽  
Nicole Lopez ◽  
Phillip Fleshner ◽  
Karen Zaghiyan

Open resection remains the standard of care in the surgical management of rectal cancer with recent studies unable to prove noninferiority of laparoscopic resection. Few studies directly compare robotic versus open techniques. This is a retrospective chart review of all consecutive patients undergoing robotic or open rectal cancer resection during a three-year period. The primary endpoint was a composite of complete mesorectal excision, circumferential resection margin <1 mm, and distal resection margin <1 mm. The study cohort included 64 patients undergoing robotic (n = 28) or open (n = 36) resection. Successful surgical resection was similar between the robotic (75%) and open (76%) approaches. Robotic resection was associated with significantly lower blood loss ( P = 0.02) and significantly longer operative times ( P = 0.009) compared with open resection. Length of hospital stay and complications were similar between groups. Both male gender ( P = 0.03) and shorter tumor distance from the anal verge ( P = 0.01) were predictors for unsuccessful surgical resection in open, but not robotic, surgery. Pathologic outcomes are similar between robotic and open rectal cancer resection, even early in the learning curve. Tumor distance from the anal verge complicates open total mesorectal excision; however, robotic surgery is less impacted. Robotic resection may be a promising minimally invasive approach for rectal cancer resection.


2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 155-158
Author(s):  
M. Aubert ◽  
Y. Panis

Contexte : L’exérèse totale du mésorectum par voie transanale (TaTME) pour la prise en charge du cancer du rectum est récemment apparue comme alternative à l’exérèse totale du mésorectum par voie abdominale. Cependant, certaines inquiétudes à propos des résultats oncologiques de cette technique chirurgicale ont émergé. Le but de cette étude était d’évaluer le taux de récidives locales après TaTME. Les objectifs secondaires s’intéressaient à la mortalité postopératoire, au taux de fistule anastomotique et au taux de stomie définitive. Méthodes : Les données de tous les patients opérés par TaTME ont été rapportées et comparées aux données issues des registres nationaux norvégiens de cancers colorectaux (NCCR) et de chirurgie gastro-intestinale (NoRGast). Les taux de récidive locale étaient estimés selon Kaplan-Meier. Résultats : En Norvège, 157 patients ont été opérés par TaTME pour un cancer du rectum entre octobre 2014 et octobre 2018. Trois des sept centres hospitaliers participants ont abandonné la réalisation de cette intervention après cinq procédures. Le taux de récidive locale était de 12 sur 157 patients (7,6 %) ; huit récidives locales étaient multifocales ou étendues. Le taux de récidive locale après un suivi de à 2,4 ans était estimé à 11,6 % (IC 95 % : [6,6‒19,9]) après TaTME contre 2,4 % (IC 95 % : [1,4‒4,4]) dans le registre NCCR (p < 0,001). Le hasard ratio était estimé à 6,71 (IC 95 % : [2,94‒15,32]). Le taux de fistule anastomotique nécessitant une réintervention était de 8,4 % dans le groupe TaTME contre 4,5 % dans le registre NoRGast (p = 0,047). Cinquante-six patients (35,7 %) étaient porteurs d’une stomie à la fin du suivi, dont 39 (24,8 %) étaient définitives. Conclusion : Le taux de fistule anastomotique était plus élevé après TaTME en comparaison aux données des registres nationaux norvégiens. Le taux de récidive locale ainsi que les caractéristiques de cette récidive après TaTME étaient défavorables.


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