3.1 Die Triplizität von Raum bei Henri Lefebvre

2021 ◽  
pp. 62-67
Keyword(s):  
1989 ◽  
Vol 89 (1) ◽  
pp. 55-56 ◽  
Author(s):  
Henri Lefebvre
Keyword(s):  

1992 ◽  
Vol 102 (1) ◽  
pp. 109-113
Author(s):  
Alain Bihr ◽  
Jean-marie Heinrich
Keyword(s):  

GEOgraphia ◽  
2017 ◽  
Vol 19 (39) ◽  
pp. 29
Author(s):  
Álvaro Heidrich
Keyword(s):  

Coloca-se em discussão no artigo o conceito de vínculos territoriais, trabalhado com o objetivo de compreender as situações nas quais comunidades e seus atores estabelecem ligações com espaços em processo ou situação de apropriação por eles mesmos. O estudo baseia-se na formulação dede Henri Lefebvre (2000) sobre apropriação do espaço, mas também considera o uso dessa expressão-conceito em outros estudos que também a discutem em seu aspecto de tensão com o espaço social. São discutidos aspectos analíticos e resultados dos estudos realizados como foco em vínculos territoriais, são feitas considerações sobre o conceito de espaço social em relação à apropriação do espaço e as implicações territoriais. Em seguida são tratados aspectos relacionados à construção de vínculos que revelam tensão ou conflito territorial e ao final do artigo, com base nas observações alcançadas, reflete-se sobre aspectos metodológicos para o estudo das territorialidades locais a fim de verificar nelas a reprodução do espaço social hegemônico e/ou práticas de apropriação em tensão com ele.  


Author(s):  
Lexi Eikelboom

This chapter proposes a framework for approaching the theological significance of rhythm through phenomenology, prosody, and the social sciences. In accordance with the general categories of phenomenology established by Merleau-Ponty and the “rhythmanalysis” of Henri Lefebvre, the chapter investigates two experiences of rhythm: approaches to analysing the human encounter with rhythm in the reading of poetry and the role of rhythm in social interactions introduced through commonalities between rhythm in conversation and in jazz performance. These explorations establish two features of rhythm that are of analytical importance for the chapters that follow: (1) the synchronic and the diachronic as two necessary but distinct theoretical perspectives on rhythm, each of which emphasizes different features of rhythm and (2) the importance of interruption for understanding rhythm’s significance.


2005 ◽  
Vol 6 (1) ◽  
pp. 9-22 ◽  
Author(s):  
Fernand Dumont

Dans une étude récente, Henri Lefebvre propose de distinguer la conscience, le psychisme et Y idéologie de classe. La spécificité de l'idéologie par rapport aux deux autres composantes apparaît aisément. D'une part, ses fabricateurs sont généralement extérieurs aux classes impliquées. D'autre part, l'idéologie se fonde avant tout sur le besoin de donner cohérence à des situations. D'où vient cette exigence de cohérence ? D'abord, sans doute, du souci de fournir une représentation quelconque des rapports de la conscience de classe et du psychisme de classe. Mais aussi de la nécessité de mettre en relations le système de classes et la société globale. Insistons sur cette dernière proposition : elle indique le cadre de l'analyse qui va suivre. On peut postuler qu'il est particulièrement important, pour la société globale, de ramener les classes à une quelconque systématisation fonctionnelle, car leur existence est, pour elle, le défi le plus grand. Songeons, par exemple, à la nation. Se représenter la collectivité en termes ethniques ou en termes de classes : n'est-ce point une des questions, un des problèmes les plus décisifs qui tourmentent l'Occident depuis des siècles et qui ont gagné maintenant les pays en voie de développement ? Le conflit mérite d'autant plus de nous retenir que la distinction des trois éléments des classes que nous avons évoqués paraît être tout aussi valable et même nécessaire pour la société globale elle-même. Ici encore on pourrait parler de conscience, de psychisme et d'idéologie de la nation. De même, la fonction intégratrice des idéologies est primordiale. Car on ne saurait rendre compte de la cohésion qu'implique la nation en évoquant seulement un vague sentiment d'appartenance. Par ailleurs, les facteurs dits « objectifs » (comme la langue, la religion, l'organisation politique) varient d'une nation à l'autre, et même, pour une nation donnée, selon les phases historiques. Et les groupements, à l'intérieur d'une nation, ne sont pas toujours d'accord sur les mêmes facteurs d'intégration : on pense, par exemple, aux perpétuelles discussions sur la nation canadienne-française et sur la nation canadienne. D'où la fonction déterminante des idéologies qui réunissent, dans une sorte de « théorie », des conditions préalables comme la communauté de langue, de religion, etc., tout en se nourrissant de la conscience diffuse de traits distinctifs et d'une relative opposition à des autrui (c'est-à-dire, à d'autres nations). Le problème ainsi posé est particulièrement passionnant si on le traduit dans le contexte canadien-français. Nous sommes devant une nation qui s'est donné ses premières définitions idéologiques d'elle-même au moment où elle était encore une « société paysanne ». Elle a subi ensuite, à un rythme extrêmement rapide, l'impact de l'industrialisation. Si on ajoute à cela un angoissant voisinage avec l'Anglais et l'Américain, beaucoup plus riches et maîtres du pouvoir économique, on admettra qu'il s'agit d'un très beau cas où devraient nous apparaître certains mécanismes exemplaires de syncrétisme dans les définitions idéologiques des classes et de la société globale. Durant un siècle — en gros, des années 1840 aux lendemains de la dernière guerre — une idéologie très organique a régné ici presque sans conteste. Nous ne reprendrons pas ici la démonstration du caractère unitaire de cette idéologie ; nous l'avons esquissée dans d'autres travaux et, d'ailleurs, il existe à ce sujet une certaine unanimité des chercheurs canadiens-français. Nous nous attacherons plutôt, dans une première partie, à éclairer la constitution de cette idéologie et à repérer ses définiteurs en tâchant de déceler leur allégeance de classe. Nous analyserons brièvement, dans une deuxième partie, les grands thèmes de cette idéologie, en dégageant naturellement surtout la représentation des classes. Nous tâcherons enfin, dans une brève section finale, de formuler quelques hypothèses sur les remaniements impliqués par la crise profonde que traverse actuellement le Canada français. Nous nous imposerons ainsi un long détour historique, mais celui-ci est suggéré par la nature même du phénomène qui nous intéresse.


2018 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 492-512
Author(s):  
Ana Maria Isar dos Santos Gomes

Resumo O artigo propõe um conceito jurídico de direito à cidade sob uma perspectiva jurídico-sociológica. O conceito de cidade “justa e sustentável” é desenvolvido a partir da concepção do direito à cidade como utopia, proposta por Henri Lefebvre, e dos estudos sobre práticas urbanas de mobilização social, realizados por Manuel Castells. Com base no método do humanismo dialético apresentado por Roberto Lyra Filho, a legitimidade do Direito é construída dialeticamente a partir do processo de libertação do indivíduo à medida em que ele afirma histórica e socialmente novos direitos em contradição com as liberdades já estabelecidas. Assim, o conteúdo jurídico do direito à cidade é definido a partir das lutas dos movimentos sociais urbanos que buscam afirmar seus direitos em cada etapa histórica. O direito a uma cidade justa é concebido, neste momento histórico, como o direito político de interferir nas decisões acerca do uso do território e de participar da produção do espaço urbano no sistema capitalista de produção.


Author(s):  
Amélia Luisa Damiani ◽  
Odette Carvalho de Lima Seabra
Keyword(s):  

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