scholarly journals Production du palmier a huile (elaeis guineensis Jacq.) et taux d’extraction dans des conditions climatiques marginales au Nord-Est de la Cote d’Ivoire

2011 ◽  
Vol 22 (2) ◽  
Author(s):  
RN Yao ◽  
DK Kamagate
2018 ◽  
Vol 6 (2) ◽  
pp. 934-946
Author(s):  
RosineMihia Brou ◽  
◽  
BettyMeuwiah Faulet ◽  
GbochoSergeElvis Ekissi ◽  
ThierryMartialFankroma Koné ◽  
...  

Afrika Focus ◽  
2009 ◽  
Vol 22 (2) ◽  
pp. 11-26
Author(s):  
Patrice Kouamé Assiri ◽  
Attaky Hortense Diallo ◽  
Andres Tschannen ◽  
Seuerin Ake

La sensibilité de Dioscorea alata var. bètè-bètè et de D. cayenensis-rotundata var. krenglè traitées avec du vin de palme extrait du palmier à huile (Elaeis guineensis Jacq.) à sept champignons isolés de tubercules d’igname pourris en post-récolte a été évaluée. Ces tubercules d’igname ont été collectés sur deux marchés de la ville d’Abidjan et sur les claies de stockage à Bringakro (à 180 km d’Abidjan, Côte d’Ivoire). A travers les tests de pathogénécité, Penicillium oxalicum s’est révélé le plus pathogénique de tous les champignons isolés. Krenglè s’est montrée plus sensible aux champignons inoculés que bètè-bètè. In vitro, le vin de palme fermenté a inhibé totalement la croissance mycélienne de tous les champignons à l’exception de P. oxalicum et d’Aspergillus niger. Les pourcentages d’inhibition de la croissance mycélienne des différents champignons sont plus élevés sur krenglè que sur bètè-bètè. In vivo, quelque soit l’espèce d’igname testée, le vin de palme fermenté s’est montré plus efficace que le vin non fermenté lorsqu’il est utilisé à titre préventif.


2018 ◽  
Vol 16 (5) ◽  
pp. 1-16
Author(s):  
Rosine Mihia Brou ◽  
Gbocho Serge Elvis Ekissi ◽  
Betty Meuwiah Faulet ◽  
Bedel Jean Fagbohoun ◽  
Patrice Lucien Kouamé

2019 ◽  
pp. 6757-6766

1 RESUME Objectif : Le palmier à huile, source d’huile végétale, est sujet aux attaques de ravageurs dont la mineuse des feuilles, Coelaenomenodera lameensis BERTI ET MARIAU (Coleoptera : Chrysomelidae, Hispinae). Ce ravageur cause d’importants dégâts dans les palmeraies en Côte d’Ivoire. Dans un contexte actuel d’agriculture durable et de préservation de l’environnement, l’on se tourne de plus en plus vers la lutte biologique en réduisant l’utilisation de produits chimiques. Cette étude a donc été initiée, avec pour objectif de contribuer à la lutte intégrée contre C. lameensis par l’utilisation d’un ennemi naturel, les fourmis Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera : Formicidae). Méthodologie et Résultats : L’étude a été conduite sur des parcelles d’âges différents (4 ans, 10 ans et 12 ans) à la station CNRA de la Mé où la dynamique des populations de C. lamensis a été suivie en relation avec la présence de O. longinoda. Les résultats révèlent qu’il existe une forte corrélation négative entre la densité des larves et des adultes de C. lameensis et le taux de présence de O. longinoda. Les populations de C. lameensis sont réduites avec la présence de O. longinoda sur les palmes. Conclusion : Les fourmis oecophylles sont donc de potentiels agents de lutte biologique pour le contrôle des populations de C. lameensis. Impact of red ants Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera: Formicidae) on the population dynamics of Coelaenomenodera lameensis Berti & Mariau (Coleoptera: Chrysomelidae), the main pest of the oil palm Elaeis guineensis JACQ. in Côte d'Ivoire. ABSTRACT Objective: Oil palm, a source of vegetable oil, is prone to pest attacks, including the leaf miner, Coelaenomenodera lameensis Berti And Mariau (Coleoptera: Chrysomelidae, Hispinae). This pest causes significant damage in the palm groves in Côte d’Ivoire. In a current context of sustainable agriculture and preservation of the environment, we are turning more and more towards biological control by reducing the use of chemicals. This Kouassi et al., 2019 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.41 (1): 6757-6766. https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v41-1.3 6758 study was therefore initiated, with the aim of contributing to the integrated control of C. lameensis by the use of the natural enemy, the ants Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera: Formicidae). Methodology and Results: The study was conducted on plots of different ages (4 years old, 10 years old and 12 years old) at the CNRA station in La Mé, where the population dynamics of C. lamensis were monitored in relation to the presence of O. longinoda. The results reveal that there is a strong negative correlation between larval and adult density of C. lameensis and the rate of occurrence of O. longinoda. The populations of C. lameensis are reduced with the presence of O. longinoda on the palms. Conclusion: Oecophyllous ants are therefore potential biological control agents for the control of C. lameensis populations.


2021 ◽  
Vol 347 ◽  
pp. 91-106
Author(s):  
Tiodionwa OUATTARA ◽  
Fernand KOUAMÉ ◽  
Casimir ZO-BI ◽  
Romuald VAUDRY ◽  
Clovis GRINAND

En Côte d’Ivoire, plus de la moitié du couvert forestier (57 %) a disparu en un quart de siècle (1990-2015) avec une perte importante de biodiversité. Pour mieux comprendre les dynamiques en cours et appuyer les politiques de réduction de la déforestation, des cartographies fines et régulières des changements d’occupation et d’usage des terres sont nécessaires. Cependant, ces études sont rarement conduites sur de grands territoires ou bien elles sont parfois obsolètes à cause de la rapidité des processus anthropiques sous-jacents. L’objectif de cette étude est d’évaluer les changements d’occupation et d’usage des terres, en particulier les dynamiques de déforestation et de dégradation forestière dans trois régions du Sud-Est de la Côte d’Ivoire, entre 2016 et 2019. La méthodologie est basée sur l’utilisation d’images Sentinel-2 à 10 et 20 m de résolution spatiale sur une zone d’étude de 22 014 km2. Des données d’apprentissage ont d’abord été délimitées en suivant une description de la zone en 16 catégories d’occupation et d’usage des terres. Celles-ci ont ensuite été utilisées avec l’algorithme Random Forests pour produire des cartes d’occupation et d’usage des terres en 2016 et 2019 avec une précision globale respective de 92 % et 87 %. Enfin, ces cartes ont été croisées pour décrire les transitions forestières de la zone étudiée. Les résultats révèlent que l’extension des cultures de rente (cacao-café, hévéa et palmier à huile), des cultures et jachères non différenciées ainsi que des infrastructures (habitations et routes) a conduit à un taux de déforestation de 4,95 % par an sur la période étudiée. Cette étude fournit ainsi une compréhension détaillée et actualisée des changements d’occupation et d’usage des terres, et contribue aux réflexions sur la mise en place d’un système national de surveillance des terres.


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