stade ii
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(FIVE YEARS 7)

H-INDEX

2
(FIVE YEARS 0)

2020 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 186-188
Author(s):  
Redha Lakehal ◽  
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Soumaia Bendjaballah ◽  
Farid Aimer ◽  
Rabeh Bouharagua ◽  
...  

Introduction. Les anévrismes de la crosse aortique distale sont plus rares que ceux de l’aorte ascendante. Ils sont le plus souvent découverts à l'occasion d'une radiographie pulmonaire effectuée systématiquement ou pour une autre pathologie. Plus rarement, c'est une complication qui le révèle : soit compression, soit fissuration ou rupture. Le scanner et l'imagerie par résonance magnétique sont les examens de choix dans le diagnostic des anévrismes de la crosse aortique. Le traitement est chirurgical. Le but de ce travail est de monter un cas d’anévrisme de la crosse aortique distale englobant l’origine de l’artère sous clavière. Observation. Nous rapportons l’observation d’un patient âgé de 50 ans sans antécédents hospitalisé dans notre service à la suite de découvert fortuite lors d’un bilan d’une dysphonie d’un anévrisme de la crosse aortique. Préopératoire : Il était au stade II de la NYHA présentant une dysphonie depuis quelques mois. Radiographie pulmonaire : ICT à 0 ,60. ECG : RRS. Échocardiographie : Anévrisme de la drosse distale, insuffisance aortique grade II à valve souple. Per opératoire : Volumineux anévrisme de la crosse aortique distale prenant l’origine de l’artère sous clavière gauche. Angio-TDM thoracique : Anévrisme de la crosse 82/72 mm. Coronarographie : Fistule coronaro- auriculaire gauche. Le geste : Mise à plat de l’anévrisme, rétablissement de la continuité aortique par un tube en Dacron numéro 28 implanté en terminoterminale en hypothermie profonde et arrêt circulatoire et réimplantation de l’artère sous clavière dans la prothèse par l’intermédiaire d’un tube en dacron numéro 10. Les suites post opératoires étaient défavorables avec décès du patient en J 3 par défaillance circulatoire. Conclusion. Les anévrismes de la crosse aortique sont rares, d’étiologies diverses et posent des problèmes de technique chirurgicale très spécifiques. L’abord chirurgical de la crosse est très difficile.


2020 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 27-33
Author(s):  
Y Bouare ◽  
I Guindo ◽  
S Dao ◽  
II Yattara ◽  
F Bougoudogo

Introduction Le diagnostic de primo-infection reste insuffisamment évoqué compte tenu des moyens de diagnostic limités dans le contexte des pays à ressources limitées. Ce travail a pour but d'identifier les cas d'infection aigüe à VIH dans le district de Bamako au Mali. Méthodologie Il s'agit d'une étude prospective transversale et descriptive réalisée chez les tout-venants en consultation dans 12 centres de santé, de conseil et de dépistage volontaire de Bamako. La démarche du diagnostic consistait à utiliser une approche clinique combinée à un counseling permettant d'obtenir les symptômes et les comportements à risque et une approche biologique consistant à réaliser les tests de diagnostic du VIH. Les marqueurs biologiques recherchés et la détermination des stades de l'infection aigüe ont été faits comme décrits par Fiebig et al. Résultats Sur 29130 sujets dépistés dans les 12 centres tous cas confondus, 19 avaient une infection aigue avec une anomalie hématologique associée (thrombopénie, lymphopénie ou neutropénie). La charge virale médiane était de 58108 copies/ml (4,8Log10), le CD4 médian de 339 cellules/mm3 et le CD8 médian de 772 cellules/mm3. Les stades d'infection aigues étaient les suivants : stade 1 (5 cas), stade II (1 cas), stade III (6 cas) et stade IV (7 cas). Le facteur d'exposition le plus fréquent était le rapport sexuel non protégé retrouvé dans 14 cas. Conclusion Dans le renforcement du dépistage, un accent particulier devrait être mis sur l'identification des infections aigues avec un renforcement du counseling dans les groupes à risque d'exposition élevé


2020 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 50-52
Author(s):  
Redha Lakehal ◽  
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Soumaia Bendjaballah ◽  
Radouane Boukarroucha ◽  
Farid Aimer ◽  
...  

Introduction. La localisation cardiaque de la maladie hydatique est rare (< 3%) même dans les pays endémiques. C’est une affection caractérisée par une longue tolérance fonctionnelle et un grand polymorphisme clinique et para clinique. L’hydatitose cardiaque est grave à cause du risque de rupture imposant une chirurgie semi urgente. Le diagnostic repose sur la sérologie et l’échocardiographie. Le but de cette observation est de montrer un cas de rupture d’un kyste hydatique du ventricule gauche dans le péricarde donnant un tableau de tamponnade. Observation. Nous rapportons l’observation un homme âgé de 22 ans présentant un tableau de tamponnade avec turgescence des veines jugulaires et orthopnée suite à la rupture brutale du kyste hydatique du VG dans le péricarde. En préopératoire : dyspnée stade II de la NYHA. Radiographie pulmonaire : ICT : 0,65. ECG : RRS. Echocardiographie : épanchement péricardique compressif avec collapsus de l’OD, compression du VD, présence d’image kystique de la paroi postéro-inferieur du VG rompu dans le péricarde avec images écho gènes intra péricardique VG : 59/37 mm, VD : 18 mm, FE : 75%. TDM thoracique : KHC rompu dans le péricarde. Le patient a subi une ponction évacuatrice avant l’intervention chirurgicale. L’exploration per opératoire : épanchement péricardique de grande abondance avec liquide eau de roche, membrane kystique flottant en intra péricardique ainsi que les vésicules filles. Le geste : prélèvement péricardique, ablation de la membrane et les vésicules filles, stérilisation par du sérum salé hypertonique de la cavité péricardique et la cavité kystique résiduelle et enfin résection d’une partie du péri kyste et capitonnage de la cavité résiduelle. Les suites post opératoires étaient simples. Conclusion. Les progrès de l’imagerie font de l’échographie l’examen de choix dans la détection du kyste hydatique du cœur. L’indication opératoire est formelle dans tous les cas du kyste du cœur car l’évolution spontanée est mortelle a plus ou moins brève échéance. En fait le véritable traitement de la maladie parasitaire et sa prophylaxie la lutte contre l’échinococcose repose sur des mesures de prévention.


2019 ◽  
Vol 6 (2) ◽  
pp. 139-141
Author(s):  
Rédha Lakehal ◽  
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Soumaia Bendjaballah ◽  
Farid Aimer ◽  
Rabeh Bouharagua ◽  
...  

Introduction. La localisation cardiaque de la maladie hydatique est rare (< 3%) même dans les pays endémiques. C’est une affection caractérisée par une longue tolérance fonctionnelle et un grand polymorphisme clinique et paraclinique. L’hydatidose cardiaque est grave à cause du risque de rupture imposant une chirurgie semi urgente. Le diagnostic repose sur la sérologie hydatique et l’échocardiographie. Le but de ce travail est de montrer une localisation cardiaque rare au niveau du septum interventriculaire de cette affection. Observation. Nous rapportons l’observation d’un homme âgé de 48 ans asthmatique présentant un kyste hydatique cardiaque de découverte fortuite lors d’une TDM thoracique demandée pour un bilan de pneumopathie. En préopératoire : dyspnée stade II de la NYHA. Radiographie pulmonaire : ICT : 0,60. ECG : RRS. Echocardiographie : Masse kystique intra septale grossièrement arrondie homogène mesurant 30,4 sur23, 5, VG : 50 /34 mm, VD : 26mm, FE : 60 %. Sérologie hydatique positive. TDM thoracique : nodules pseudo-kystiques des 2 pyramides basales avec nodule kystique en projection du VD. L’exploration peropératoire par voie transtricuspide montre un bombement du SIV sous la valve tricuspide septale. Le geste a consisté en une ponction du kyste a ramené liquide eau de roche puis la septotomie a permis de retirer la membrane et les vésicules filles et enfin stérilisation par du SSH a 30 % et le capitonnage de la cavité résiduelle. Les suites post opératoires étaient simples. Conclusion : Les progrès de l’imagerie font de l’échographie l’examen de choix dans la détection du kyste hydatique du coeur. L’indication opératoire est formelle dans tous les cas de kyste du coeur car l’évolution spontanée est mortelle à plus ou moins brève échéance. En fait, le véritable traitement de la maladie parasitaire et sa prophylaxie, la lutte contre l’échinococcose, repose sur des mesures de prévention qui visent à interrompre le cycle biologique à l’intérieur des hôtes et entre l’hôte définitif et l’hôte intermédiaire, sur une éducation sanitaire et sur une législation.


2019 ◽  
Author(s):  
S Maria ◽  
A Maulard ◽  
C Genestie ◽  
P Pautier ◽  
E Bentivegna ◽  
...  

2019 ◽  
pp. 45-48
Author(s):  
AST Kane ◽  
O Diawara ◽  
O Sangho ◽  
B Diallo ◽  
BLA Sita-cresp ◽  
...  

Il s'agissait d'une étude transversale, descriptive portant sur les lésions bucco-dentaires chez les personnes vivant avec le VIH/SIDA suivi dans le district sanitaire de Koro durant deux (2) mois. Cette étude portait sur 50 patients dont 31 femmes et 19 hommes. La majorité des patients venaient de l'aire du camp, 45 patients étaient mariés, 62% des cas étaient non alphabétisés, 96% avaient une sérologie de type I, 90 % avaient des tartres et de plaques dentaires, 34% avaient au moins 3 dents cariées. Les types de lésions buccales les plus fréquents étaient la candidose et les aphtes avec 24%, les sièges les plus touches étaient le parodonte et la joue avec 24% et les besoins en soins bucco-dentaires étaient l'odontologie conservatrice endodontique avec 94% suivi de soins parodontaux (détartrages) avec 90%. Les affections bucco-dentaires rencontrées chez les PV/VIH/SIDA étaient fréquentes et très variées. Ces affections bucco-dentaires survenaient à un stade avancé (stade II et III selon l'OMS), représentées en majeure partie par des candidoses surtout chez les patients aux traitements ARV sans les médicaments des infections opportunistes.


2019 ◽  
Vol 3 (1) ◽  
Author(s):  
Nadia LAREDJ ◽  
Farouk BOUKERCHE ◽  
Lilia ZOULI ◽  
Leila HAMMOU

Introduction - Les cardiopathies valvulaires demeurent fréquentes malgré l’améliorationdes conditions sanitaires qui ont permis la réduction de l’incidence du rhumatismearticulaire aigu (RAA). Les indications chirurgicales et interventionnellesse sont élargies et nous opérons aujourd’hui à des stades précoces voire asymptomatiques.Une réintervention chirurgicale valvulaire est nécessaire dans environ15% des cas au cours de l’évolution d’une valvulopathie opérée. L’objectif de notreétude est de déterminer la fréquence des réinterventions valvulaires et d’identifierles principales indications de ces réinterventions.Méthodes - Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur 45 patients,admis au service de cardiologie du Centre Hospitalo-Universitaire (CHU) d’Oran, dejanvier 2011 à juillet 2013, et présentant une valvulopathie déjà opérée nécessitantune autre réintervention chirurgicale valvulaire.Résultats - La moyenne d’âge est de 41 ans, 73% des patients sont des femmes et27% des hommes (Sex ratio de 0,37). La plupart de nos patients sont symptomatiques(dyspnée stade II de la NYHA). Les réinterventions intéressent la valve mitraledans 69% des cas, la valve aortique dans 37% des cas et la valve tricuspide dans35%. Nous avons constaté l’importance des insuffisances aortiques et tricuspidesnégligées lors de la première intervention (31% et 62% respectivement). Le délaimoyen entre les deux interventions, tout type confondu, est de 21 ans.Conclusion - Les réinterventions cardiaques peuvent survenir au cours de l’évolutiond’une valvulopathie. Une bonne évaluation cardiaque initiale des valvulopathieslors d’une chirurgie portant sur la valve mitrale ou aortique est indispensablepour pallier au problème d’une réintervention pour des valvulopathies négligées.


2017 ◽  
Vol 63 (1) ◽  
pp. 40-41
Author(s):  
L. Boublata ◽  
M. Benlahrache ◽  
N. Hamrouche ◽  
N. Ioualalen
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