couverture vaccinale
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211
(FIVE YEARS 44)

H-INDEX

11
(FIVE YEARS 1)

2021 ◽  
Vol 74 (4) ◽  
pp. 225-230
Author(s):  
Abdeldjalal Bouziri ◽  
Ali Sebai ◽  
Ahmed Kebir ◽  
Maamar Khames ◽  
Taha Moussadak Hamdi ◽  
...  

La fièvre aphteuse (FA) est une maladie infectieuse d’origine virale qui affecte les ruminants et les porcins. Une enquête séroépidémiologique a été menée chez les ruminants de la région ouest de l’Algérie afin d’estimer la séroprévalence de la FA et de déterminer les facteurs de risque susceptibles de favoriser l’atteinte des animaux par cette pathologie. Au total 420 sérums ont été collectés (210 de bovins et 210 de petits ruminants) et soumis au test Elisa NSP permettant la détection des anticorps dirigés contre le virus de la FA induits par les protéines non structurales, puis à des tests Elisa détectant les protéines structurales spécifiques des sérotypes A, O, SAT 1, SAT 2 et Asia 1. Les résultats ont montré une différence non significative (p > 0,05) de la séroprévalence entre les espèces avec 23,8 % chez les bovins et 27,1 % chez les petits ruminants. Le sérotype O était présent dans 95,3 % des sérums positifs. Il était présent seul chez 64,9 % des petits ruminants alors que les bovins étaient généralement infectés par plusieurs sérotypes simultanément, avec l’association prédominante des quatre sérotypes A, O, SAT 1 et Asia 1, qui représentait 36 % des infections. Le taux de couverture vaccinale a atteint 48,7 % du cheptel (bovins et petits ruminants) âgé de plus de six mois. Aucun lien statistique n’a été mis en évidence entre le mode d’élevage (extensif, semi-intensif ou intensif) et l’atteinte par la FA (p > 0,05). En revanche, une association significative (p < 0,05) a été établie entre la vaccination des animaux et l’infection, les animaux vaccinés ayant été moins infectés par la FA.


2021 ◽  
Vol 47 (12) ◽  
pp. 602-612
Author(s):  
Fatemeh Sabet ◽  
Barbara Gauthier ◽  
Muddassir Siddiqui ◽  
Amanda Wilmer ◽  
Natalie Prystajecky ◽  
...  

Contexte : En mars 2021, une éclosion de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) a été déclarée dans un grand établissement de soins de longue durée et de séjour de courte durée en Colombie-Britannique, au Canada, bien après l’introduction du programme de vaccination dans les établissements de soins de longue durée qui a entraîné une baisse spectaculaire du nombre d’éclosions dans ce type d’établissement. L’objectif de cette étude est de fournir l’épidémiologie descriptive de cette éclosion, dans le contexte de l’immunisation partielle des résidents et du personnel de l’établissement. Méthodes : Les renseignements sur les cas ont été extraits d’un système de renseignements provincial (Panorama). L’analyse descriptive a été réalisée à l’aide de Microsoft Excel et de SAS. Les contrôles de gestion de l’éclosion comprenaient, sans s’y limiter, des tests asymptomatiques et des efforts pour augmenter la vaccination. Résultats : Vingt-six cas parmi les 241 résidents et trois cas parmi les 418 membres du personnel (correspondant à des taux d’attaque de 10 % et moins de 1 %, respectivement) ont été trouvés. Le taux d’attaque chez les résidents était considérablement plus faible que le taux d’attaque moyen pour les éclosions de COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée avant le déploiement du vaccin. Dix-sept cas résidents étaient partiellement ou totalement immunisés. Quatre des huit cas hospitalisés et deux des trois cas décédés étaient partiellement immunisés. Dix-sept cas étaient des résidents en séjour temporaire. Les trois cas du personnel n’ont pas été vaccinés. Dix cas ont été trouvés avec des tests asymptomatiques. Conclusion : L’introduction de la vaccination dans les établissements a contribué à la baisse des taux d’attaque et à l’augmentation du nombre de cas asymptomatiques dans cette éclosion. Le dépistage des personnes asymptomatiques a permis de trouver des cas supplémentaires parmi les résidents vaccinés. Les résultats soulignent l’importance d’atteindre une couverture vaccinale élevée, y compris chez les résidents en séjour temporaire, afin de prévenir l’introduction du virus et les possibilités de transmission ultérieures non reconnues.


Option/Bio ◽  
2021 ◽  
Vol 32 (641-642) ◽  
pp. 8-9
Author(s):  
Yann-Mickael Dalmat
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 47 (09) ◽  
pp. 401-409
Author(s):  
Mireille Desroches ◽  
Liza Lee ◽  
Shamir Mukhi ◽  
Christina Bancej

Contexte : Le programme ÉpiGrippe est le système de surveillance national du Canada chargé de suivre la propagation de la grippe. Son volet de surveillance syndromique surveille la propagation du syndrome d’allure grippale en temps quasi réel pour détecter les signaux d’une activité inhabituelle ou accrue. Les données de surveillance syndromique sont recueillies à partir de deux sources principales : le Programme de surveillance des praticiens sentinelles et le programme ActionGrippe. Nous avons évalué la représentativité de la population participante la plus récente afin de comprendre les variations du taux de représentation depuis 2015, de cerner les écarts démographiques et géographiques ainsi que les corrélats ou déterminants de la participation pour caractériser un participant type. Méthodes : Dans cette étude transversale en série, les caractéristiques des participants au cours de quatre saisons grippales consécutives (2015–2016, 2016–2017, 2017–2018 et 2018–2019) ont été comparées à celles du Recensement canadien de 2016 et des enquêtes nationales sur la couverture vaccinale contre la grippe saisonnière de 2015–2016, de 2016–2017, de 2017–2018 et de 2018–2019. Les associations entre les facteurs démographiques et le niveau de participation des utilisateurs ont également été analysées parmi la population participant au programme ActionGrippe en 2018–2019. Résultats : Les enfants en bas âge (0 à 4 ans) et les personnes âgées (65 ans et plus) étaient sous-représentés dans le programme ActionGrippe au cours des quatre saisons grippales. Les femmes et les participants urbains étaient largement surreprésentés. La couverture vaccinale est restée considérablement plus élevée parmi les populations participant au programme ActionGrippe au cours des quatre dernières saisons grippales dans tous les groupes d’âge. Le niveau de participation au programme ActionGrippe était associé à l’âge et au statut d’immunisation, mais pas au sexe ni à la géographie. Au cours des quatre années de mise en œuvre, la population participant au programme ActionGrippe est devenue plus représentative de la population canadienne en ce qui concerne l’âge et la géographie (urbaine/rurale et provinciale/territoriale). Conclusion : Les participants au programme ActionGrippe sous-représentent les enfants en bas âge et les personnes âgées du Canada et surreprésentent ceux et celles qui adoptent des comportements favorables à la santé, comme l’indique la couverture vaccinale élevée contre la grippe, ce qui correspond aux biais de réponse typiques des enquêtes volontaires. La représentativité serait probablement améliorée par un recrutement ciblé des groupes sous-représentés, tels que les hommes, les personnes âgées et les Canadiens vivant dans les régions rurales.


2021 ◽  
Vol 51 (5) ◽  
pp. S144
Author(s):  
A. Gronnwald ◽  
V. Gerber ◽  
C. Hommel ◽  
D. Eckenfelder ◽  
O. Meunier ◽  
...  
Keyword(s):  

Author(s):  
Gautier Attanasi ◽  
Arno Baurin ◽  
Vincent Bodart ◽  
François Courtoy ◽  
Guillaume Dallemagne ◽  
...  
Keyword(s):  
Il Y A ◽  

Après avoir connu un coup d’arrêt au dernier trimestre 2020, la reprise de l’économie belge apparaît à nouveau bien enclenchée depuis le début de l’année en cours.  Entre décembre 2020 et mars 2021, l’économie belge a progressé de 1 % et, selon nos prévisions, sa progression fut de 1,3 % au deuxième trimestre.   La croissance de l’économie belge devrait encore se renforcer durant la seconde partie de l’année.  L’environnement économique international est à nouveau dynamique, tandis que la couverture vaccinale a fortement augmenté en Belgique, autorisant la réouverture de la plupart des activités économiques qui, il y a peu, étaient encore sous le coup des restrictions sanitaires. Dans ce contexte, la confiance des ménages et des entreprises belges a connu un rebond spectaculaire au cours des derniers mois.  Pour autant que la situation sanitaire demeure sous contrôle, le redressement de l’économie belge se poursuivrait en 2022, mais à un rythme plus modéré.    Selon ces perspectives, l’économie belge progresserait de 5,8 % en 2021 et de 3,6 % en 2022.  Elle retrouverait son niveau d’avant crise au dernier trimestre 2021 mais, fin 2022, le niveau du PIB serait encore inférieur d’environ 1,5 % par rapport au niveau auquel il se serait situé sans l’éclatement de la crise économique et sanitaire. Des créations d’emplois significatives sont attendues sur la période de projection mais l’amélioration du chômage serait plus modeste. Résumé des prévisions pour la Belgique  L'économie belge devrait croître de 5,8% en 2021 et 3,6% en 2022.  L'emploi augmenterait d'environ 32.000 unités en 2021 et 18.000 unités en 2022.  Le nombre de demandeurs d'emploi diminuerait de 10.000 unités en 2021, mais il augmenterait de 9.000 unités en 2022.  L'inflation générale des prix à la consommation s'élèverait de 1,6% en 2021 et 2,0% en 2022.  Le déficit budgétaire des administrations publiques atteindrait 6,8% en 2021 et 3,8% en 2022. 


2021 ◽  
Vol 16 (2) ◽  
pp. 20-25
Author(s):  
LD Bawe ◽  
F Agbéko ◽  
A Kotosso ◽  
KD Némi ◽  
B Abaltou ◽  
...  

Objectifs: Décrire les connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant du Centre Hospitalier Régional Lomé Commune par rapport au risque de contamination etcomplications de l’hépatite viral B. Patients et méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale, descriptive à visée analytique de type Connaissances, Attitudes et Pratiques qui s’est déroulée au Centre Hospitalier Régional Lomé Commune. Résultats : Le taux de participation à cette enquête était de 76% avec une prédominance masculine 50,68%). Les catégories professionnelles les plus représentées étaient les techniciens supérieurs de santé (32,2%), les infirmiers (28,1%) et les sages-femmes (17,8%) avec une moyenne d’âge de 36 ans (25-59 ans). L’étiologie virale de l’hépatite B était connue dans 96,6% des cas et les voies de transmission sanguine, sexuelle et mère-enfant ont été citées dans respectivement 94,52%, 78,08% et 74,66%. Les médecins maîtrisaient de façon significative les signes évocateurs de l’hépatite virale B que les sages-femmes et les infirmiers (p = 0,019). Le ténofovir était connu dans 52,7% comme molécule utilisée dans le traitement de l’hépatite B et la vaccination a été évoquée comme moyen de prévention dans 98,63%. Seulement un tiers des enquêtés (36,99%) demandaient la sérologie de l’hépatite virale Ben cas d’accident d’exposition au sang. Le taux de couverture vaccinale du personnel soignant était de 65,10%. Les niveaux de connaissances, d’attitudes et de pratiques étaient significativement meilleurs chez les sages-femmes (p<0,005). Conclusion : La faible couverture vaccinale du personnel soignant impose des actions de formations continues et de sensibilisation couplées d’une subvention de vaccination.


2021 ◽  
Vol 17 (17) ◽  
Author(s):  
M. Dilé Diallo

La couverture vaccinale des enfants demeure faible et ne progresse qu’assez lentement en Guinée. En effet, les résultats de l’enquête démographique et de santé (EDS) 2018 indiquent que seulement 24 % des enfants de 12-23 mois avaient reçu tous les vaccins de base recommandés par le programme élargi de vaccination (PEV) avant d’atteindre leur premier anniversaire. Environ 51 % des enfants ont été partiellement vaccinés, et 22 % des enfants de 12-23 mois n’ont reçu aucun vaccin. Les variations selon les régions de résidence sont importantes et mettent en évidence la faiblesse de la couverture vaccinale en milieu rural et dans les régions de Labé, Mamou et Kindia. L'objectif de cette étude était de déterminer les facteurs associés à la vaccination complète chez les enfants 12-23 mois. Avec les données de l’EDS 2018, on a constaté que les principaux déterminants de la vaccination chez les enfants étaient le niveau d’instruction de la mère et du père, l'accouchement dans un établissement de santé, davantage de consultations prénatales, le fait d’appartenir à un ménage de taille plus réduite, la région de résidence et le niveau de vie du ménage. Les résultats obtenus peuvent servir à l’amélioration des stratégies de mobilisation sociale pour l’augmentation de la couverture vaccinale des enfants, notamment par la sensibilisation des communautés sur l’intérêt de la vaccination des enfants, la formation du personnel de santé en counseling afin de réduire les déperditions et favoriser le respect du calendrier de vaccination.


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