Résultats de la prothèse trapézo-métacarpienne ISIS® dans le traitement de la rhizarthrose: à propos de 77 cas à 107,5 mois de recul moyen (60-162)

2021 ◽  
Vol 40 (6) ◽  
pp. 894-895
Author(s):  
Pierre Jean Fauquette ◽  
Marc Saab ◽  
Christophe Chantelot
Keyword(s):  
2020 ◽  
Vol 36 (3) ◽  
pp. 65-74
Author(s):  
K. Soudy ◽  
T. Amouyel ◽  
C. Szymanski ◽  
C. Maynou

L’ostéome ostéoïde (OO) représente 10 à 12 % des tumeurs osseuses bénignes. Le pied et la cheville sont concernés dans 2 à 15 % des cas. La résection chirurgicale à ciel ouvert est maintenant supplantée par les techniques percutanées guidées par le scanner qu’il s’agisse de la thermocoagulation par radiofréquence, de la photocoagulation laser ou de la cryoablation. Cette étude a pour but d’évaluer l’efficacité thérapeutique de la thermocoagulation scanoguidée (TPS). Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique incluant tous les OO traités par TPS au CHRU de Lille entre 2003 et 2015, ayant un recul minimum d’un an. Dix-sept patients ont été inclus, dix hommes et sept femmes, d’âge moyen 24 ans. Quinze patients ont fait l’objet d’une évaluation par questionnaire téléphonique au recul moyen de 93 mois. Les douleurs ont disparu dans un délai moyen de 4,5 jours. La reprise du travail se faisait en 11 jours en moyenne. Le degré de satisfaction moyen est de 92 %, le score SF-36 de 93, le score FAAM de 177. Une seule récidive est à signaler, mais aucune complication cutanée ou vasculonerveuse. Le traitement des OO localisés au pied et à la cheville par TPS permet d’excellents résultats sans morbidité.


2018 ◽  
Vol 27 (2) ◽  
pp. 143-142
Author(s):  
A. Modrin ◽  
M.-L. Gilbert

L’objectif de cette mise au point est d’effectuer une revue des indications de l’utilisation du monitorage du CO2 expiré en réanimation adulte. De par sa physiologie, sa mesure est un reflet de l’état hémodynamique, respiratoire et métabolique du patient. La spectrométrie infrarouge est la méthode de mesure la plus courante. La capnographie commune (CO2 expiré en fonction du temps) est divisée en plusieurs phases dont l’analyse visuelle peut faire évoquer de nombreuses anomalies ventilatoires. La capnographie volumétrique fournit une mesure de l’espace mort. La capnométrie est recommandée en réanimation pour contrôler l’intubation trachéale ou bien au cours d’un arrêt cardiorespiratoire comme facteur pronostique. Tout patient traité par ventilation mécanique invasive, surtout lors d’un transport, doit être équipé d’un capnomètre afin d’anticiper toute complication respiratoire (extubation, bronchospasme, hypoventilation). La pression de fin d’expiration en CO2 (PetCO2) est une évaluation de la pression artérielle en CO2 (PaCO2) utile pour limiter le nombre de prélèvements biologiques, par exemple en neuroréanimation, mais de nombreux facteurs font varier le gradient entre ces deux valeurs. Les études n’apportent pas de preuve pour l’utilisation de la capnographie volumétrique dans le diagnostic d’embolie pulmonaire en réanimation. Chez les patients souffrant de syndrome de détresse respiratoire aiguë, la littérature médicale n’apporte pas de preuve suffisante pour un intérêt en pratique clinique courante de la capnométrie volumétrique qui semble limitée dans ce cas à la recherche.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 2-3
Author(s):  
E. Peyron

La prise en charge du sujet alcoolodépendant, utilisant les techniques de thérapie cognitivo-comportementales (TCC) a suivi l’évolution de ces techniques. Historiquement, les TCC ont évolué selon trois vagues. La première vague est comportementale et s’inspire directement des théories de l’apprentissage. On cherche dans ce cas à aider le patient à modifier son comportement. La deuxième vague des TCC a été centrée sur les cognitions. Le but du travail psychothérapique était d’aider le patient à favoriser des pensées alternatives lors d’une situation à risque. Depuis les années 2000, est née une troisième vague. Celle-ci se centre sur les relations entre la cognition et l’émotion [4]. L’hypothèse est que les troubles psychiques résulteraient d’une suppression erronée d’information émotionnelle. Par conséquent, la thérapie de la mindfulness – de la pleine conscience –, c’est à dire de l’expérience vécue pleinement de l’ici et maintenant, s’intéresse au contexte des expériences psychologiques. Les premiers programmes de thérapie de la pleine conscience ont été développés pour le sujet souffrant de maladies ou de douleurs chroniques pour améliorer leur qualité de vie [5]. Pour le sujet alcoolodépendant, un programme intégrant la pratique de la mindfulness à la prévention de la rechute (Mindfulness-Based Relapse Therapy: MBRT) [3,6,7]. Ce programme thérapeutique, que nous décrirons, s’appuie sur huit séances hebdomadaires. Nous avons aussi utilisé le programme classique de la mindfulness chez le sujet alcoolodépendant. La thérapie de la pleine conscience nous paraît intéressante à la fois dans la gestion du craving, mais aussi dans la gestion des émotions. Enfin, nous chercherons aussi, à partir des lectures des Stoïciens, d’Augustin (De Trinitate) [2], et d’Arendt (La vie de l’esprit) [1] à expliquer comment la pleine conscience est acceptation, acceptation d’un ordre qui ne dépend pas de nous, mais acceptation constitutive de notre liberté. L’acceptation est donc éthique.


2007 ◽  
Vol 26 (4-5) ◽  
pp. 339-350 ◽  
Author(s):  
I. Pustylnik ◽  
P. Kalv ◽  
V. Harvig ◽  
T. Aas

2021 ◽  
Vol 107 (4) ◽  
pp. 436-442
Author(s):  
Philippe-Alexandre Faure ◽  
Sophie Putman ◽  
Éric Senneville ◽  
Éric Beltrand ◽  
Héléne Behal ◽  
...  
Keyword(s):  

2009 ◽  
Vol 73 (3) ◽  
pp. 445-447 ◽  
Author(s):  
Ya-Feng Li ◽  
Chuan-Shi Xiao ◽  
Ru-Tai Hui

Author(s):  
Sharon Kaasalainen ◽  
Kevin Brazil ◽  
Esther Coker ◽  
Jenny Ploeg ◽  
Ruth Martin-Misener ◽  
...  

RÉSUMÉObjectif : Les objectifs de cette étude étaient double : (1) d’explorer les obstacles à la gestion de la douleur et ceux associés à la mise en œuvre d’un programme de gestion de la douleur en soins de longue durée (SLD) et (2) de développer une approche interprofessionelle afin d’améliorer la gestion de la douleur en soins de longue durée.Méthodes : Une étude de cas a inclus tous les deux éléments, quantitatifs et qualitatifs. Nous avons recueilli des données sur deux sites LTC à l’aide de sept groupes de discussion pour les infirmières autorisées, fournisseurs de soins non réglementés, et médecins, et 10 entretiens avec des autres groupes de fournisseurs de soins de santé, l’administration et des résidents. Nous avons examiné les documents et administré un sondage à court aux participants à l’étude pour évaluer les perceptions des obstacles à la gestion de la douleur.Résultats : Les résultats ont révélé des obstacles à la gestion efficace de la douleur au niveau des soins de longue durée des résidents et des familles, des fournisseurs de soins de santé, et des systèmes de santé. Nous avons ensuite élaboré un modèle à six niveaux, avec les interventions proposées pour surmonter ces obstacles.Conclusions : Ce modèle peut guider le développement d’approches novatrices pour améliorer la gestion de la douleur dans les établissements de soins de longue durée.


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