Les infiltrations du système nerveux sympathique dans la prise en charge thérapeutiques des douleurs pelvipérinéales chroniques

2010 ◽  
Vol 20 (12) ◽  
pp. 1124-1131 ◽  
Author(s):  
J. Rigaud ◽  
D. Delavierre ◽  
L. Sibert ◽  
J.-J. Labat
2019 ◽  
Vol 28 (2) ◽  
pp. 126-143
Author(s):  
M. Durand ◽  
H. Louis ◽  
C. Fritz ◽  
B. Levy ◽  
A. Kimmoun

Les adrénorécepteurs α et en particulier β sont les principales cibles de l’adrénaline et de la noradrénaline libérées par le système sympathique activé. Durant le choc septique, la dysautonomie est une stimulation prolongée à un haut niveau d’intensité du système nerveux sympathique à l’origine d’une altération de la contractilité, de la vasoréactivité et d’une immunodépression. Ainsi, l’administration précoce d’un traitement β-bloquant lors du choc septique pourrait pondérer les effets délétères de cette surstimulation sympathique. Néanmoins, si les preuves expérimentales sont en faveur de cette approche, l’accumulation des preuves cliniques reste encore insuffisante.


2006 ◽  
Vol 5 (2) ◽  
pp. 137-146 ◽  
Author(s):  
Gilles Barbeau

De nombreux médicaments ont été mentionnés comme ayant des effets adverses sur les fonctions sexuelles. L'interférence avec l'éjaculation chez l'homme, l'échec à atteindre l'orgasme chez la femme, la libido diminuée peuvent survenir avec n'importe quel médicament ayant une action centrale ou qui agit sur le système nerveux sympathique. En fait, l'incidence des effets sexuels aversifs n'est pas bien documentée. Les effets qui mènent à un dysfonctionnement sexuel sont rapportés par les patients même s'ils sont eux-mêmes réticents à en discuter avec leur médecin. Antihistaminiques, antihypertenseurs, anticholinergiques, antidépresseurs, antipsychotiques et tranquillisants mineurs peuvent avoir un effet négatif sur la fonction sexuelle. Parce que les personnes âgées sont sensibles aux effets adversifs des médicaments, on s'attend à ce qu'elles vivent plus d'effets secondaires avec leur vie sexuelle avec des médicaments communément prescrits, que les jeunes. Restreindre l'usage des médicaments et une écoute attentive pourraient aider les patients à restaurer une vie sexuelle normale.


2011 ◽  
Vol 167 (10) ◽  
pp. 721-728 ◽  
Author(s):  
A. Gonzalez-Aguilar ◽  
C. Houillier ◽  
C. Soussain ◽  
K. Hoang-Xuan

2005 ◽  
Vol 72 (10-11) ◽  
pp. 894-897
Author(s):  
Chantal Chenu ◽  
Massimo Marenzana

Author(s):  
N. de Suremain ◽  
T. Lecarpentier ◽  
R. Guedj

Les crises fébriles (CF) sont les crises convulsives les plus fréquentes prises en charge dans les services d’urgence dans la population des moins de cinq ans. Elles sont une crise accompagnée de fièvre, sans infection du système nerveux central, se produisant chez les enfants entre six mois et cinq ans. Les critères utilisés et enseignés pour classer les crises en simples ou complexes n’ont pas la même signification en pratique clinique pour prendre la décision d’effectuer une ponction lombaire et/ou une imagerie cérébrale, et pour l’indication de la prescription d’un antiépileptique de recours ou de fond. Certains facteurs sont prédictifs de la récurrence fébrile, tandis que d’autres sont prédictifs d’une épilepsie. À partir de deux cas cliniques de CF complexes, nous proposons une démarche de prise en charge et de faire une revue des syndromes épileptiques survenant au décours des CF chez le jeune nourrisson.


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