scholarly journals Imprimantes tridimensionnelles grand public compatibles avec la dentisterie ?

NEMESIS ◽  
2020 ◽  
Vol 13 (1) ◽  
pp. 1-43
Author(s):  
Guillaume François ◽  
Nathan Henriquet ◽  
Bi Zhong Xu
Keyword(s):  
De Se ◽  

L’objectif de ce travail est de définir les différents critères qu’un dentiste généraliste doit prendre en compte pour s’équiper d’une imprimante tridimensionnelle (3D) à usage dentaire. Nous avons recensé au total 1037 imprimantes 3D produites par 342 entreprises et 211 imprimantes 3D de 88 entreprises pouvant imprimer avec des couches de 25µm. Pour pouvoir les comparer nous avons évalué 16 caractéristiques différentes: 1) famille de procédé d’impression 3D, 2) épaisseur de couche minimale, 3) présence ou non d’étude scientifique de validation de l’épaisseur de couche minimale, 4) résolution XY minimale, 5) type de calibrage, 6) environnement d’impression, 7) présence d’un plateau d’impression chauffant, 8) vitesse d’impression maximale (en mm/s) avec un lien donnant le détail de l’épaisseur de couche utilisée, de la résolution XY utilisée et du matériau utilisé pour déterminer cette vitesse, 9) dimensions de capacité d’impression, 10) capacité d’utiliser des matériaux ne provenant pas de l’entreprise constructrice, 11) capacité d’utiliser des matériaux biocompatibles, 12) poids (en kg) et dimensions de l’imprimante (en cm), 13) systèmes d’exploitation compatibles, 14) types de fichier d’impression 3D compatibles, 15) gestion du service après-vente et durée de la garantie, 16) prix, en indiquant si les taxes sont incluses ou non. Nous avons constaté une grande hétérogénéité des informations présentes et des informations souvent absentes en ce qui concerne : 1) le type de calibrage, 2) la vitesse d’impression, 3) le prix, 4) le service après-vente, 5) la garantie ainsi que 6) les matériaux qui sont pris en compte par l’imprimante 3D. Nous avons décrit des difficultés de communication multiples avec nos interlocuteurs et un développement très dynamique du monde d’impression 3D. Enfin, nous avons proposé des caractéristiques d’une imprimante 3D dentaire « idéale » et d’une entreprise-partenaire « idéale» pour un dentiste désireux de se procurer l’imprimante 3D de son choix.

Keyword(s):  
De Se ◽  

Dans notre précédent Bulletin, nous avons mentionné un travail sur les secours aux blessés, inséré dans la Nouvelle Revue; aujourd'hui c'est vers un autre recueil périodique que nous dirigerons l'attention de nos lecteurs. La Revue scientifique, du 2 septembre, a publié en effet une étude de M. Alix, — médecin principal de 1er classe, si nous ne nous trompons, — intitulée: « De la Convention de Genève et des ambulances internationales. » Nous ne saurions demeurer indifférents au fait que ce sujet, qui nous tient à cœur, soit traité dans des feuilles destinées au grand public, car il témoigne de l'importance croissante que l'on attache aux questions que soulève la Croix Rouge, et il peut fournir à bien des idées utiles l'occasion de se produire.


1972 ◽  
Vol 27 (03) ◽  
pp. 559-572 ◽  
Author(s):  
L Pouit ◽  
G Marcille ◽  
M Suscillon ◽  
D Hollard

RésuméNous avons étudié en microscopie électronique par la technique de coloration négative : la molécule de fibrinogène, les étapes intermédiaires de la fibrinoformation et la fibre de fibrine. Nous avons constaté que la molécule de fibrinogène se présentait sous forme d’éléments globulaires, à pH 8,3 et pour une force ionique de 0,2, le diamètre moyen mesure 240 Â. L’observation des molécules de taille variable (entre 180 Å et 420 Å) et de filaments très minces nous a conduit à émettre l’hypothèse d’une molécule capable de se dérouler sous certaines conditions physiques. L’ensemble des clichés observés suggère qu’au cours de l’organisation périodique de la fibre, le matériel protéique change de structure. Ce phénomène se manifeste par une diminution des éléments globulaires qui constituent les bandes transversales (de 280 Å à 30 Å) et le développement à partir de ces éléments d’un réseau de filaments longitudinaux, très denses, porteurs de fins granules dont l’alignement forment des sous striations transversales. Il se produit aussi une diminution de la période qui passe de 300 Å à 230 Å.


2018 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 4-20
Author(s):  
Rosiane Xypas
Keyword(s):  
De Se ◽  

Dans le cadre de l’enseignement du Français Langue Étrangère à l’université, il nous a paru que l’étude de biographies langagières d’auteurs francophones ayant appris le français à l’âge adulte, constitue un puissant encouragement pour les apprenants de FLE et leur permet de se pencher sur leur propre parcours linguistico-culturel en découvrant comment s’est forgée l’identité langagière d’auteurs bilingues riches d’une double culture, l’une héritée avec leur langue maternelle, l’autre construite avec la langue de leur choix, le français. L’objectif de cet article est de susciter auprès des étudiants de FLE une métaréflexion sur  leur propre parcours langagier entre le portugais et le français, ainsi qu’à prendre conscience que leur propre identité linguistique bilingue se construit jour après jour pendant leurs études et que cette construction continuera, à condition qu’ils le veuillent,  au-delà de l’université. Parmi les auteurs francophones, nous avons choisi de présenter ici Brina Svit, auteur d’expression française d’origine slovène, pour la clarté de sa réflexion métalinguistique dans deux de ses récits : Moreno (2003) et Petit éloge de la rupture (2009). Elle y explique son rapport à la langue française : ce qui l’a conduite à délaisser sa langue maternelle pour écrire en français ? Par quels chemins y est-elle arrivée ? En effet, pour Brina Svit, le choix de langue relève, d’une part, d’une certaine attirance, du goût et du défi pour la langue française, et, d’autre part, d’une rupture avec sa langue maternelle. Enfin, ce choix construit la nouvelle identité de l’auteure enrichie d’une double langue-culture.


Author(s):  
Laura Stevenson

À une époque où les habiletés de communication font partie des compétences de base du XXIe siècle, on se rend compte que l’obsession avec le langage dans les théories littéraires des années 50 et 60 est justifiée. La communication reste le rôle principal du langage, mais le contenu de cette communication a beaucoup changé. Presque chaque romancier appartenant au mouvement du nouveau roman utilise le langage de façon très différente de celle dont nous avons l’habitude en expérimentant avec le langage, en l’étirant de tous les côtés afin de lui donner une nouvelle dimension. Il ne s’agit plus de communiquer des idées et des sentiments, mais plutôt de se pencher sur le langage lui-même, de se réinventer pour que l’écrivain puisse mettre sur papier ce qu’il ressente : des sensations, des perceptions, des soupçons.Nathalie Sarraute, par exemple, perçoit le langage dans le sens mallarméen du terme, c’est-à-dire, « essentiel », complexe et qui produit du sens. En dehors du langage elle affirme l’existence d’une substance non-verbale qu’elle appelle « l’innommé » ou le « non-nommé » et le langage sert justement de médiateur entre les sensations que l’écrivain veut exprimer et son lecteur.Avec Robbe-Grillet, Claude Simon et Michel Butor, le langage dans le roman joue un rôle important car il force le lecteur à changer sa façon de lire afin de comprendre le roman. Les jeux de mots et l’insistance sur les descriptions des objets font penser le lecteur qu’il doit absolument trouver la clé afin de comprendre l’incompréhensible.


2008 ◽  
Vol 21 (4) ◽  
pp. 345-360 ◽  
Author(s):  
M. BONNEAU ◽  
J.Y. DOURMAD ◽  
J.C. GERMON ◽  
M. HASSOUNA ◽  
B. LEBRET ◽  
...  
Keyword(s):  
Il Y A ◽  

Cet article résume les apports du programme «Porcherie verte» dans la connaissance et la maîtrise des émissions gazeuses intervenant lors des différentes phases de l’élevage porcin. Ces émissions comprennent des gaz à effet de serre, particulièrement le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), ainsi que l’ammoniac (NH3), nocif pour les animaux et pour l’homme et qui a un impact sur l’environnement en termes d’acidification et d’eutrophisation. Les émissions de NH3 ont été modélisées pour le cas des bâtiments d’élevage sur caillebottis. Ces émissions peuvent être réduites en diminuant la teneur en protéines de l’aliment distribué aux animaux ou en renouvelant fréquemment le lisier dans les bâtiments. Le traitement biologique du lisier permet aussi de réduire ces émissions, surtout en l’absence de séparation de phases. Le brassage du lisier dans les fosses de stockage les favorise au contraire. Les émissions de NH3 varient fortement en fonction du substrat utilisé pour la litière et de son mode de conduite. Pendant le compostage, elles dépendent aussi fortement des caractéristiques initiales du substrat composté, mais aussi de la technique utilisée. Les émissions de N2O sont en général plus élevées avec de la litière que sur caillebotis, mais il y a de très fortes variations en fonction de son mode de conduite. Le compostage peut aussi conduire à des émissions de N2O, tout particulièrement s’il est pratiqué en couche mince. Lors du traitement biologique des lisiers, ces émissions sont assez faibles mais dépendent de la technique d’aération utilisée. Dans le sol, les émissions de N2O ne sont pas plus importantes après apports d’effluents animaux qu’après apports de fertilisants minéraux et restent difficiles à quantifier. Les émissions de CH4 sont plus faibles sur litière que sur caillebotis. Elles sont faibles également lors du compostage, sauf s’il est réalisé en couche mince. Le traitement biologique du lisier conduit à une forte réduction des émissions par rapport à un simple stockage. Les litières et le compostage ont une excellente image de marque auprès du grand public et sont souvent réputées avoir beaucoup moins d’impact sur l’environnement que le lisier. Nous avons pu montrer cependant qu’elles génèrent en général davantage de gaz à effet de serre, que ce soit de façon directe (émissions de N2O) ou indirecte (gaspillage de fertilisants azotés dont la synthèse est très «énergivore»), et ce d’autant plus que l’on cherche à rogner sur les coûts en augmentant la densité animale ou en diminuant la quantité de paille utilisée comme substrat de compostage. De même, le traitement biologique du lisier, qui semble à première vue avoir un impact favorable puisqu’il conduit à réduire les émissions de NH3 sans trop relarguer de N2O, a en fait un bilan environnemental très défavorable du fait qu’il est très énergivore aussi bien directement qu’indirectement (gaspillage de fertilisants). On a là un double transfert de pollution, du sol et de l’eau vers l’atmosphère d’une part, et de l’exploitation vers l’extérieur de l’exploitation d’autre part.


2005 ◽  
Vol 4 (3) ◽  
pp. 313-336
Author(s):  
Gérald Fortin ◽  
M.-Adélard Tremblay

Le besoin étant défini de façon subjective, l'univers des besoins de la famille constitue pour celle-ci un système normatif qui conditionnera ses conduites économiques. Cependant, la famille dans la définition de sa situation globale doit tenir compte non seulement de ses normes mais aussi du niveau réel de ses ressources, de son revenu. Nous avons pu déterminer que la définition de la situation était aussi influencée par l'histoire de la famille et par certaines dispositions psychologiques. La définition de la situation par la famille peut cependant porter sur deux objets différents. La famille peut extérioriser sa définition de la situation en exprimant son degré de satisfaction ou de privation par rapport aux différents postes du budget et par rapport à des conduites particulières. Elle peut aussi livrer sa définition en évaluant globalement la situation présente et passée. En général, il nous est apparu que la famille avait beaucoup de difficulté à subdiviser la situation en aspects particuliers et avait plutôt tendance à percevoir globalement ses chances de vie. C'est pourquoi nous voulons consacrer le présent article à l'analyse de la définition globale de la situation. À ce propos deux questions s'imposent à notre attention : a) comment les familles évaluent-elles leur revenu par rapport à leurs besoins ? et, b) de quelle façon les familles entrevoient-elles l'avenir ? Cette double interrogation nous permet de rejoindre l'univers des aspirations, c'est-à-dire ce qui est considéré comme souhaitable et réalisable dans un avenir plus ou moins rapproché. L'aspiration peut être analysée à travers les explications que fournit l'individu pour justifier un comportement et à travers les désirs que ces explications expriment. L'aspiration se révèle aussi dans les objectifs et les projets dont l'individu poursuit la réalisation. Mais tous ces différents indices qui manifestent à des degrés divers, à travers divers mécanismes, la présence d'aspirations n'apparaissent que lorsque le consommateur a atteint un certain niveau de vie. En effet, comme nous le verrons plus loin, la définition de la situation s'exprimera à travers des aspirations seulement si l'individu a réussi au préalable à satisfaire la plupart de ses besoins essentiels. Un individu qui est constamment aux prises avec les problèmes posés par l'incomplète satisfaction des besoins immédiats de sa famille peut difficilement élaborer des projets d'avenir et planifier à long terme l'amélioration de ses conditions de vie. Cependant, la possibilité de se projeter dans l'avenir par l'aspiration ne dépend pas uniquement de la situation objective (un certain niveau de vie), mais aussi de la définition de cette situation. Cette définition de la situation dépend aussi bien de la situation objective de la famille que de ses normes de consommation. C'est pourquoi, avant d'aborder l'étude des aspirations, il faut examiner la manière dont les familles jugent leur situation objective (les ressources disponibles) par rapport à leurs besoins. Cette première section s'intitulera : « La satisfaction des besoins quotidiens ». Dans une deuxième section, on définira « l'univers des aspirations » des travailleurs salariés, puis on analysera comment s'effectue le passage du besoin à l'aspiration et comment les aspirations deviennent des rêves.


2000 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 117-134
Author(s):  
Francine Chainé
Keyword(s):  

Quand les œuvres entrent à l'école, c'est l'occasion pour les élèves de regarder, d'apprivoiser, de faire connaissance avec les artistes qui les ont produites, d'affirmer ses préférences et de les communiquer aux autres. C'est la réception des œuvres. Quand les œuvres deviennent le point de départ au jeu dramatique, c'est ce que nous nommons l'animation des œuvres. En d'autres mots, il s'agit d'aller à leur rencontre d'un point de vue ludique afin de leur donner une nouvelle vie, celle que chaque joueur découvre en atelier d'art dramatique. Nous avons mis sur pied une exposition de peintures ayant pour thème le paysage; nous les avons choisies dans la collection du Prêt d'œuvres d'art du Musée du Québec. L'exposition a été présentée à l'automne 1998 dans une école primaire de Rimouski. Ce texte porte sur cette expérience singulière; elle vise à analyser entre autres ce que le contact quotidien avec les œuvres figuratives ou abstraites a évoqué chez les élèves tant du point de vue du jeu dramatique que des commentaires et des questionnements qu'elles ont soulevés. À la manière d'Alice, les élèves du préscolaire à la sixième année ont donc été invités à entrer dans l'image afin de se l'approprier et de l'animer dans des activités dramatiques. Bien que cette expérience ait un caractère interdisciplinaire, elle est principalement centrée sur le jeu dramatique avec le support des œuvres d'art qui agissent comme révélateur auprès des joueurs.


2020 ◽  
pp. 141-154
Author(s):  
Jeanne Guiet-Silvain

Les réseaux sociaux révolutionnent les foyers et engagent une dynamique réelle de nouvelles relations chez les adolescents. La culture numérique de ces derniers et leurs échanges communicationnels situés hors du regard des parents contribuent à former l’épicentre de leurs centres d’intérêt. A partir de 92 entretiens menés auprès d’adolescents âgés de 14 à 17 ans en Ile de France, nous avons mené une analyse thématique qui nous a permis de catégoriser les échanges les plus fréquents et d’identifier les conceptions dominantes. Traversant une période intense de socialisation, la profusion des relations des adolescents contribue à façonner leur identité, suivant des tonalités relatives et divers centres d’intérêt que nous avons identifiés. Cette recherche interroge ainsi les relations engagées dans les pratiques des sphères communicationnelles et ludiques de certains réseaux sociaux. Quel contrôle de la distance relationnelle est engagé dans une audience imagée où l’intime suppose de se dévoiler sous l’acquiescement des autres ? Quel bénéfice l’adolescent accorde-t-il à ce nouveau lien social inscrit dans ces relations horizontales entre pairs ?


2008 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 87-106
Author(s):  
Françoise Morin
Keyword(s):  

Résumé Cet article montre comment une collaboration scientifique poursuivie pendant vingt ans entre deux anthropologues – Françoise Morin et Bernard Saladin d’Anglure – autour d’un intérêt commun pour le chamanisme leur a permis de faire des avancées théoriques et méthodologiques en combinant leurs problématiques, en croisant leurs données et en réalisant des enquêtes sur le terrain ensemble (Sibérie nord orientale, Arctique canadien et Amazonie péruvienne). Grâce à cette collaboration, nous avons mis en lumière des rapports subtils existant entre le chamanisme et certains domaines de la vie sociale : le politique, la parenté, la sexualité, le genre et les rites de passage ; et cela, tant dans les relations humaines, que dans celles qui existent entre les chamanes et certaines entités d’apparence humaine capables de se rendre invisibles, et considérées dans la littérature ethnographique comme une catégorie d’esprits. Ces rapports ont rarement été perçus et étudiés par l’ethnographie classique plus souvent cantonnée dans une approche monographique, avec un seul chercheur, un seul groupe, un seul terrain et un cadre conceptuel déterminé à l’avance.


2010 ◽  
Vol 64 (4) ◽  
pp. 575-592 ◽  
Author(s):  
José Bélanger ◽  
Alain Gosselin ◽  
François Bellavance
Keyword(s):  

Résumé Au cours des dernières années, un nombre croissant d’auteurs en gestion des ressources humaines se sont intéressés aux rôles que peuvent jouer les services des RH et les cadres supérieurs en RH dans le développement de la stratégie de l’entreprise. Toutefois, il est pertinent de se demander dans quel contexte l’exercice de ces rôles devient légitime. Selon certains auteurs, c’est particulièrement le cas lorsque l’entreprise se retrouve face à des défis exigeants au plan des ressources humaines. Donc, compte tenu du contexte actuel caractérisé par une économie sous pression, les cadres supérieurs en RH devraient être en mesure d’en profiter pour devenir des partenaires influents auprès du comité de direction. Cependant, nous savons très peu de choses sur la capacité d’influence des cadres supérieurs en RH, particulièrement auprès des membres du comité de direction, de même que l’écart potentiel qui peut exister entre la perception de ces derniers et celle que les cadres supérieurs RH entretiennent à leur propre égard en ce qui concerne leur capacité d’influence. Dans le cadre de notre recherche, le terrain ciblé se compose de cadres supérieurs en RH travaillant majoritairement dans la grande région de Montréal. Au total, nous avons rencontré 41 cadres supérieurs en RH afin de mesurer leur capacité d’influence. Suite à l’entretien, nous les avons invités à distribuer un questionnaire à des membres de leur comité de direction qu’ils avaient influencé au cours des trois dernières années. Les analyses révèlent que les cadres supérieurs en RH tendent à surestimer leur capacité d’influence auprès des membres de l’équipe de direction par rapport au jugement porté par leurs collègues exécutifs ou de leur supérieur immédiat. Enfin, nos résultats montrent qu’une bonne réputation, une solide crédibilité ainsi qu’un pouvoir de référence élevé peuvent faciliter l’exercice de l’influence des cadres supérieurs en RH.


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