réseaux sociaux
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(FIVE YEARS 183)

H-INDEX

10
(FIVE YEARS 2)

2021 ◽  
Vol 1 (8) ◽  
pp. A97
Author(s):  
Imane Ouadi ◽  
Hanane Daflaoui ◽  
Khadija Kaddar ◽  
Nada Zizi ◽  
Sihame Dikhaye

2021 ◽  
Vol 46 (4) ◽  
Author(s):  
Robert Neubauer ◽  
Nicholas Graham

Background: This article explores the Facebook communications of Canadian oil and gas advocacy organizations, including industry-funded and nominally independent groups.  Analysis: These groups are analyzed as producers of “subsidized publics,” with elites providing supporters with resources that enable them to take political action on industry’s behalf. A social network analysis maps how they link supporters with information from diverse sources, constructing networked publics whose members can recirculate pro-industry talking points. Conclusions and implications: These communications enact powerful forms of network-making power, programming an interconnected echo chamber that interfaces supporters with material from neoliberal extractivist discourse coalitions—networks of industry advocates that industry has itself helped cultivate over decades. Contexte : Cet article explore les communications sur Facebook faites par des organismes soutenant l’industrie pétrolière au Canada, y compris des groupes financés par l’industrie elle-même et des groupes prétendument indépendants. Analyse : L’article analyse ces groupes en tant qu’engendreurs de « publics subventionnés », où une élite accorde des ressources à des partisans de l’industrie afin qu’ils s’engagent politiquement pour le compte de celle-ci. Une analyse des réseaux sociaux montre comment ces partisans fournissent de l’information provenant de sources différentes à un public favorable à l’industrie pétrolière, créant ainsi des réseaux dont les membres peuvent à leur tour rediffuser des éléments de langage appuyant l’industrie. Conclusions and implications: Les communications de ces partisans sont puissantes dans leur capacité à former des réseaux, encourageant des échanges en vase clos qui exposent les participants à des informations provenant de coalitions d’extractivistes néolibéraux. Quant à ces derniers, c’est l’industrie elle-même qui a cultivé leurs opinions pendant des décennies.  


2021 ◽  
Vol 17 (38) ◽  
pp. 141
Author(s):  
Essiomle Yawa Ossi

Face à la psychose liée à la COVID-19 dans le monde, les individus et les institutions ont mobilisé divers mécanismes de résilience. A l’Université Alassane Ouattara (UAO) durant le confinement, des innovations pédagogiques, à savoir les enseignements par visioconférences, des cours en ligne et à distance à travers les mails sont entrepris. Plusieurs plateformes et espaces d’échange entre enseignants et étudiants ainsi qu’entre pairs étudiants sont créés. Toutefois, peu d’études ont été conduites pour renseigner avec exactitude sur les usages réels de ces réseaux sociaux par les étudiants durant le temps du confinement. L’objectif de cette étude est de déterminer les différents usages que font les étudiants du département de socio-anthropologie de l’UAO des réseaux sociaux en période de COVID-19. L’étude porte sur trente (30) sujets choisis de façon empirique dans les différents groupes sociaux (Facebook, Instagram, Telegram, WhatsApp, etc.). L’ancrage théorique de cette étude est la théorie de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (1975). L’étude est qualitative, notamment phénoménologique. L’observation, la recherche documentaire et l’entretien semi-directif ont été utilisés comme techniques de recueils des données. Selon les résultats le facteur principal de l’utilisation des réseaux sociaux est l’anxiété suivie des activités lucratives et des besoins d’étude. En ce qui concerne, l’ordre de préférence des réseaux sociaux les plus visités WhatsApp vient en tête, suivi de Facebook, ensuite YouTube et enfin d’Instagram. Faced with the psychosis linked to COVID-19 around the world, individuals and institutions have mobilized various resilience mechanisms. At Alassane Ouattara University (UAO) during confinement, educational innovations, namely teaching by videoconferencing, online and distance courses through emails are being undertaken. Several platforms and spaces for exchange between teachers and students as well as student peers are created. However, few studies have been conducted to provide accurate information on the real uses of these social networks by students during the time of confinement. The objective of this study is to determine the different uses that students of the socio-anthropology department of the UAO make of social networks during COVID-19. The study covers thirty (30) subjects chosen empirically from different social groups (Facebook, Instagram, Telegram, WhatsApp, etc.). The theoretical grounding of this study is the theory of reasoned action of Fishbein and Ajzen (1975). The study is qualitative, in particular phenomenological. Observation, desk research and semi-structured interviews were used as data collection techniques. According to the results the main factor in the use of social networks is anxiety followed by profitmaking activities and study needs. With regard to the order of preference of the most visited social networks WhatsApp comes first, followed by Facebook, then YouTube and finally Instagram.


2021 ◽  
Vol 46 (4) ◽  
Author(s):  
Stephen J. Neville ◽  
Ganaele Langlois

Background: Social media and digital technology play a central role in amplifying the potential harms of the far right.  Analysis: The concept of enemy imaginaries is developed to map the digital and social media practices of far-right actors and groups in their antagonistic participation with and against a liberal, multicultural, globalist imagined community. Analysis focuses on a dramatic clash at a People’s Party of Canada event in Hamilton, Ontario, during the 2019 federal election.  Conclusion and implications: Disparate far-right groups can momentarily crystallize around a particular event to define new nationalist objects that are symbolic of their networked and mediated fight against an imagined enemy. Contexte : Les réseaux sociaux et les technologies numériques sont des sources d’amplification des risques posés par l’extrême droite.   Analyse : Nous développons le concept d’imaginaires ennemis pour identifier les pratiques en ligne et en réseau social des acteurs et groupes d’extrême droite, en particulier leur engagement antagoniste envers une communauté imaginaire libérale, multiculturelle et mondialisée. Nous concentrons notre analyse sur un affrontement dramatique lors d’une rencontre organisée par le Parti populaire du Canada à Hamilton, Ontario, lors de l’élection fédérale de 2019.  Conclusion et implications : Les mouvements disparates d’extrême droite peuvent s’agglomérer momentanément autour d’un événement particulier pour définir de nouveaux objets nationalistes qui symbolisent leur lutte dans les réseaux sociaux et les médias contre un ennemi imaginé.


2021 ◽  
Vol 36 (2) ◽  
pp. 123-129
Author(s):  
Yaiza Irene Hernández Muñoz ◽  
Álvaro Arroyo Ortega

Dans de cet article, nous nous interrogeons à propos de la relation entre l’unité phraséologique appelée construction française fondamentale et la notion d’identitème. Nous souhaitons analyser de quelle manière ces deux unités peuvent être entrelacées et analyser quelles dynamiques entrent en jeu lors du figement des traits identitaires dans ces constructions. Pour cela, nous analyserons des exemples extraits de notre corpus oral ou écrit-oralisé obtenu à partir des médias comme les publicités, la radio, la télévision et les réseaux sociaux. Notre intérêt est de voir de quelle manière la notion identitaire est intrinsèquement liée au domaine phraséologique et à la notion de figement. Mots clés : Identitème, construction française fondamentale, figement, phraséologie, linguistique.


2021 ◽  
pp. 224-247
Author(s):  
Aurélie Fontanille

Ce travail porte sur le débat concernant la féminisation du langage et, plus particulièrement, le français inclusif généré par les opinions versées par les spécialistes du journal Le Figaro dans la chronique de langage (CDL) L’Actu des mots. Son objectif principal consiste à: 1) présenter, contextualiser et justifier le traitement donné à ce phénomène social et linguistique dans un genre journalistique singulier tel que le sont les columnas sobre la lengua Ce travail porte sur le débat concernant la féminisation du langage et, plus particulièrement, le français inclusif généré par les opinions versées par les spécialistes du journal Le Figaro dans la chronique de langage (CDL) L’Actu des mots. Son objectif principal consiste à: 1) présenter, contextualiser et justifier le traitement donné à ce phénomène social et linguistique dans un genre journalistique singulier tel que le sont les CDL publiées dans l’édition numérique du dit journal, et 2) constater le feed-back que ce genre de communication multidirectionnelle produit à partir de l’analyse des commentaires émis aussi bien en tant que réponse interne à la CDL que sur les réseaux sociaux et plus précisément, sur Twitter. En effet, notre intérêt est axé d’un côté sur cette question linguistique d’actualité qui met en relation la notion de genre avec la position de la femme dans une société patriarcale en constante évolution et, d’un autre côté, sur la nature de ces espaces médiatiques consacrés à la langue, afin de mettre en évidence leur orientation normative et leur charge idéologique, renforcées par les propres outils qu’offrent Internet. This work focuses on the debate related to the feminisation of language and, more particularly, to the inclusive French generated by the views expressed by specialists in the Le Figaro newspaper at the Chronique de langage (CDL) L’actu des mots. Its main aim consists of: (1) present, contextualise and justify the treatment of this social and linguistic phenomenon in a particular journalistic gender such as the columns on language (CSL) published in the digital edition of that newspaper; and (2) assess the feed-back that this type of multi-directional communication produces on the basis of the analysis of the comments issued both internally on the CSL and on social media, more specifically on Twitter. We are interested in investigating, on the one hand, this topical linguistic issue which links the notion of gender with the position of women in a changing patriarchal society and, on the other hand, the nature of these language-centred media spaces, in order to assess their normative power and ideological transmission, reinforced by the web’s own tools.


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