structure sociale
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(FIVE YEARS 1)

Caderno CRH ◽  
2020 ◽  
Vol 33 ◽  
pp. 020035
Author(s):  
Marcelo Gomes Ribeiro ◽  
Felipe Camargo Raitano

<p>O presente artigo tem o objetivo de analisar quantitativamente a trajetória da pobreza no Brasil e na metrópole do Rio de Janeiro, considerando o período de 1976 a 2015, tendo em vista as mudanças estruturais ocorridas na economia e na sociedade brasileira e as particularidades do contexto metropolitano. A linha de pobreza utilizada foi definida segundo o dobro do nível de renda suficiente para a aquisição de uma cesta de alimentos necessária para garantir a reprodução cotidiana do indivíduo. Pudemos observar que a taxa de pobreza variou de acordo com a conjuntura econômica com diferenças de níveis e de intensidade entre a metrópole e o país. Atualmente, as pessoas em situação de pobreza, ao contrário de décadas atrás, em geral, estão mais jovens/adultas, possuem níveis de instrução mais elevados e exercem ocupações que representam posições sociais mais destacadas na estrutura social, o que pode ter implicações importantes nas mudanças de expectativas de superação dessa condição, em especial no contexto metropolitano.</p><p> </p><p>POVERTY IN BRAZIL AND THE RIO DE JANEIRO METROPOLIS: old problems, new dilemmas</p><p>We aim to analyze the trajectory of poverty in Brazil and the metropolis of Rio de Janeiro, from 1976 to 2015, considering the structural changes in the Brazilian economy and society and the metropolitan context’s particularities. The poverty line used was defined by double the level of income sufficient for the acquisition of food necessary to guarantee the individual’s social reproduction. We could observe that the poverty rate varied according to the economic situation, with differences in levels and intensity between the metropolis and the country. Currently, unlike decades ago, people living in poverty are generally younger, have higher levels of education, and work in occupations that represent more prominent social positions in the social structure, which may have important implications in the changes in expectations of overcoming this condition, especially in the metropolitan context.</p><p>Keywords: Poverty. Metropolis of Rio de Janeiro. Brazil. Economic Development. Economic Structure.</p><p> </p><p>LA PAUVRETÉ AU BRÉSIL ET LA MÉTROPOLE DE RIO DE JANEIRO: vieux problèmes, nouveaux dilemmes</p><p>Notre objectif est d’analyser la trajectoire de la pauvreté au Brésil et dans La métropole de Rio de Janeiro, de 1976 à 2015, enprenanten compte lês changements structurels de l’économie et de La société brésilienne ainsi que dês particularités Du contexte métropolitain. Le seuil de pauvreté utilisé a été defini comme celui correspondant le double du niveau de revenu suffisant pour l’acquisition d’um panier alimentaire de base, nécessaire pour garantir la reproduction cotidiene de l’individu. Nous avons pu constater que le taux de pauvreté variait en fonction de la conjoncture économique, avec des différences de niveaux et d’intensité entre la métropole et le pays. À la différence des décennies précédentes, les personnes vivant aujourd’hui dans la pauvreté sont généralement plus jeunes, ont un niveau de formation plus élevé et occupent des professions qui représentent des positions sociales plus importantes dans la structure sociale, ce qui peut avoir des conséquences importantes dans la façon de surmonter cette condition, en particulier dans le contexte métropolitain.</p><p>Motsclés: Pauvreté. Métropole de Rio de Janeiro. Brésil. Développementéconomique. Structureéconomique.</p>


Author(s):  
Hervé Glevarec

La question du jugement des enseignants semble une dimension centrale de toute analyse des faits de reproduction sociale et plus encore des faits de reproduction scolaire qui en sont une dimension constitutive. Les appréciations scolaires sont-elles une forme dissimulée d’un jugement de classe et par-là l’expression et un moyen de la reproduction sociale ? En 1975, P. Bourdieu et M. de Saint Martin ont soutenu cette hypothèse en produisant une analyse qui visait à montrer que les « catégories de l’entendement professoral », nommément d’un professeur de philosophie, étaient des catégories du discours dominant et des moyens de la perpétuation de la structure sociale. Un retour critique sur cette démonstration permet de voir que les auteurs ont, d’une part, privilégié le « classement social » au détriment du « classement scolaire » et, d’autre part, assimilé jugement social (de classe) et jugement scolaire dans la notion de « capital culturel ». Cette mise au jour du jugement sociologique se veut donc à la fois une archéologie de la recherche sociologique et une argumentation en faveur de la distinction du « savoir » et du « capital culturel ».


2019 ◽  
Vol 74 (2) ◽  
pp. 181-191
Author(s):  
Didier Méhu
Keyword(s):  

Le sermon 163 d’Augustin d’Hippone aurait été prononcé à l’occasion de la dédicace de la basilica Honoriana de Carthage, le 23 septembre 417. Ancré dans le commentaire du verset 5,16 de l’épître aux Galates, Spiritu ambulate et concupiscentias carnis ne perfeceritis, il propose une comparaison entre le processus du salut humain et l’édification de l’église. Les deux aboutissent à la « dédicace », celle du temple de pierres que l’on célèbre alors et celle des élus réunis auprès de Dieu. Nous cherchons à discerner les implications historiques de la dialectique aedificatio-dedicatio qui traverse le sermon, en regard de l’évolution du discours sur le lieu de culte chrétien et de la mise en place d’une structure sociale polarisée par les églises au tournant des ive et ve siècles.


2018 ◽  
Vol 12 (2) ◽  
pp. 22-38
Author(s):  
Angelo Serpa

Resumo O artigo busca problematizar a relação dialética entre diversidade e desigualdade em uma perspectiva geográfica e em um contexto de fragmentação socioespacial. Parte-se da premissa de que pensar em diversidade social remete às particularidades do social, enquanto refletir sobre desigualdade social requer, em termos mais gerais, uma análise da estrutura social. Em um primeiro momento, e a partir de dados de pesquisa realizada pela ONG britânica OXFAM Brasil e da divulgação do relatório “A distância que nos une – Um retrato das desigualdades brasileiras”, em 2017, diversidade e desigualdade são articuladas enquanto categorias para a reflexão sobre conquistas e retrocessos no contexto brasileiro. A seguir, a categoria “classe social” vai ser operacionalizada para refletir sobre o empreendedorismo popular em bairros e cidades do estado da Bahia, a partir da sistematização de dados de nossas próprias pesquisas. Por fim, busca-se aprofundar a discussão sobre o processo de fragmentação socioespacial nos diferentes recortes e escalas abordados bem como sobre a possibilidade de ação política em um contexto adverso de fragmentação. Palavras-chave: Diversidade, desigualdade, fragmentação socioespacial, classe social, ação política, Bahia, Brasil.   Abstract The article aims to discuss the dialectical relationship between diversity and inequality in contexts of socio-spatial fragmentation through a geographical perspective. We start from the premise that thinking about social diversity refers itself to the particularities of the social phenomenon whilst reflecting on social inequality requires, in broad terms, an analysis of the social structure. Initially, based on research results by the British NGO OXFAM Brazil and their report "The distance that unites us: an overview of Brazilian inequalities", we sought to articulate inequality and diversity as categories to reflect on the Brazilian context, its achievements and setbacks. Next, based on the systematized data of our own researches, we operationalized the category “social class” to meditate on popular entrepreneurship in various neighborhoods and cities in Bahia, Brazil.  Ultimately, we tried to deepen the discussion about the process of socio-spatial fragmentation in the different spatial scales addressed and to reflect on the possibilities of political action in adverse contexts of fragmentation. Keywords: Diversity, inequality, socio-spatial fragmentation, social class, political action, Bahia, Brazil.   Résumé L 'article cherche à problématiser la relation dialectique entre diversité et inégalité dans une perspective géographique et dans un contexte de fragmentation socio - spatiale. En partant du principe que la réflexion sur la diversité sociale renvoie aux particularités du social, tandis que la réflexion sur l'inégalité sociale nécessite, en termes plus généraux, d´une analyse de la structure sociale. Initialement, sur la base des données de recherche de l'ONG britannique OXFAM Brésil et de la publication du rapport «La distance qui nous unit - Un portrait des inégalités brésiliennes», en 2017, la diversité et l'inégalité sont articulées en tant que catégories de réflexion sur les réussites et les échecs dans le contexte brésilien. Ensuite, la catégorie «classe sociale» sera opérationnalisée pour réfléchir sur l'entrepreneuriat populaire dans les quartiers et les villes de l'État de Bahia, basé sur la systématisation des données issues de nos propres recherches. Enfin, nous cherchons à approfondir la discussion sur le processus de fragmentation socio-spatiale dans les différentes découpes et échelles abordées ainsi que sur la possibilité d'une action politique dans un contexte de fragmentation adverse. Mots-clés: Diversité, inégalité, fragmentation socio-spatiale, classe sociale, action politique, Bahia, Brésil.


Théologiques ◽  
2018 ◽  
Vol 24 (2) ◽  
pp. 17-40
Author(s):  
Alain Gignac
Keyword(s):  

Le billet à Philémon est lu ici au carrefour de la socio-critique et de l’analyse discursive, afin de réfléchir sur l’identité qu’il propose à la lectrice, au lecteur. Dans le contexte sociologique rigide et violent du Ier siècle ou, mutatis mutandis, dans le contexte du xxie siècle, en ce qui a trait à l’esclavage ou au néolibéralisme, Philémon est un discours qui exprime et cherche à dépasser, tout à la fois, la dichotomie sociologique entre des rapports fraternels en Christ et des rapports hiérarchiques de sujétion entre personnes — une sorte de schizophrénie éthique qui n’est pas le seul apanage du début du christianisme. La structure sociale maître/esclave (Philémon et Onésime) ou patron/client (Paul et Philémon) ne coïncide pas avec la structure de la communauté fraternelle, qui valorise la petitesse et le service et entend pousser l’amitié jusqu’à l’amour fraternel, redéfinissant ainsi l’utilité véritable des personnes.


2018 ◽  
Vol 3 (3-4) ◽  
pp. 86-106
Author(s):  
Vivianny Kelly Galvão

Où nait la force des droits humains ? Les droits humains qui devront prévaloir représenteront-ils toujours la protection d’un attribut universel présent en tout être humain ? Ou bien ces standards devront-ils dépendre de la culture ou du groupe social de la personne humaine ? Tandis que certains manifestent la préoccupation concernant la limitation des recours à la critique et à la justification de la diversité des codes moraux, d’autres jugent illégitime (et improbable) la recherche de normes extensives à tous – qui que ce soit, où que ce soit. Les normes morales ne s’acquièrent qu’au sein de la structure sociale, autrement dit, dans l’ensemble particulier des restrictions physiques et sociales ? Et les raisons qu’elles ont pour justifier leurs normes ne seront-elles impositives qu’à ceux qui partagent la même condition ? Nombreuses sont les questions concernant l’étendue des droits humains. La reconnaissance légale est condition nécessaire, mais non suffisante, à la pleine jouissance des droits. Même ainsi, de nos jours il n’est pas nécessaire de recourir à des arguments moraux comme uniques raisons pour dénoncer l’illégitimité de quelque législation et de certaines décisions d’État. L’ouverture à des discussions relatives aux meilleures méthodes pour organiser les sociétés politiques et civiles est le signe essentiel à la promulgation légale des droits humains. La méthodologie utilisée était quantitative, la méthode d’approche inductive, la méthode de procédure historique, parmi les plus importants. 


2018 ◽  
Vol 3 (3-4) ◽  
pp. 86-106
Author(s):  
Vivianny Kelly Galvão

Où nait la force des droits humains ? Les droits humains qui devront prévaloir représenteront-ils toujours la protection d’un attribut universel présent en tout être humain ? Ou bien ces standards devront-ils dépendre de la culture ou du groupe social de la personne humaine ? Tandis que certains manifestent la préoccupation concernant la limitation des recours à la critique et à la justification de la diversité des codes moraux, d’autres jugent illégitime (et improbable) la recherche de normes extensives à tous – qui que ce soit, où que ce soit. Les normes morales ne s’acquièrent qu’au sein de la structure sociale, autrement dit, dans l’ensemble particulier des restrictions physiques et sociales ? Et les raisons qu’elles ont pour justifier leurs normes ne seront-elles impositives qu’à ceux qui partagent la même condition ? Nombreuses sont les questions concernant l’étendue des droits humains. La reconnaissance légale est condition nécessaire, mais non suffisante, à la pleine jouissance des droits. Même ainsi, de nos jours il n’est pas nécessaire de recourir à des arguments moraux comme uniques raisons pour dénoncer l’illégitimité de quelque législation et de certaines décisions d’État. L’ouverture à des discussions relatives aux meilleures méthodes pour organiser les sociétés politiques et civiles est le signe essentiel à la promulgation légale des droits humains. La méthodologie utilisée était quantitative, la méthode d’approche inductive, la méthode de procédure historique, parmi les plus importants. 


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