Pathology grade influences competing mortality risks in elderly men with prostate cancer

Author(s):  
Muhammad Umar Alam ◽  
Jatinder Kumar ◽  
Daniel Norez ◽  
Karthik Tanneru ◽  
Seyed Behzad Jazayeri ◽  
...  
2020 ◽  
Vol 203 ◽  
pp. e266-e267
Author(s):  
Muhammad Alam* ◽  
Daniel Norez ◽  
Jatinder Kumar ◽  
Karthik Tanneru ◽  
Shiva Gautam ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 07 (02) ◽  
pp. 082-084
Author(s):  
Ali Abdul Hussein S Al-Janabi

Abstract Introduction Prostate-specific antigen (PSA) is a biomarker commonly used for detection of prostate cancer. Its viability as a marker for diagnosis of chronic renal failure (CRF) in predialysis patients was investigated. Methods Sera from 230 patients with CRF were analyzed by enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) for determining total PSA (tPSA) levels before hemodialysis. Results Of the patients investigated, 98.69% had a normal PSA level with a value less than 4 ng/mL. Three elderly men with both kidney failure showed a moderate elevation of PSA level. Conclusion PSA is considered a nonsignificant indicator for diagnosis of CRF.


2013 ◽  
Vol 3 (3) ◽  
pp. 205 ◽  
Author(s):  
Sandeep Mistry ◽  
Wesley Mayer ◽  
Rose Khavari ◽  
Gustavo Ayala ◽  
Brian Miles

Introduction: Prostate cancer is the most common nonskin malignancyaffecting men and is the second leading cause of cancerrelateddeath in North America. The incidence of prostate cancerincreases dramatically with age. However, many healthauthorities advocate the cessation of routine prostate cancer testingin men older than 75 because of the belief that most patientswill have a clinically insignificant cancer and will not benefit fromtherapy. The true prevalence of clinically significant prostate cancerin elderly men is not known.Methods: We analyzed 1446 needle biopsies of the prostate inmen aged 75 or older. All pathological reviews were conductedby the pathology department at the Methodist Hospital in Houston,Tex. Data were collected from pathology reports, hospital andclinic databases, and medical records when available. Dataobtained included age at biopsy, serum prostate-specific antigen(PSA) levels, number of positive core biopsies and Gleasongrade. Statistical analysis was performed using Stata. Clinicallysignificant cancer was defined by the pathological presence ofGleason grade 6 adenocarcinoma in more than 1 biopsy coreor the presence of any Gleason 4 or 5 component in the biopsy.Results: The median age of the patients included in the studywas 78.8 and 95% of the patients were between the ages of 75and 85. The mean serum PSA level for patients biopsied was10.4 μg/L. Of all biopsies reviewed, 53% were positive for prostatecancer and 78% of these would be defined as clinically significantcancer. Regression analysis revealed age to be a significant(p < 0.05) factor for increased Gleason grade in positive biopsies.Logistic regression revealed age as a significant factor (p <0.05) for clinically significant prostate cancer even when controllingfor PSA. A serum PSA threshold value of 6.5 μg/L would havemissed 38% of significant cancers and a threshold of 4.0 μg/Lwould have missed 8% of significant cancers.Conclusion: Our findings suggest that the prevalence of clinicallysignificant prostate cancer in the elderly population may be higherthan previously thought. As the population continues to livelonger and healthier lives, it will become more common to confrontprostate cancer morbidity in the eldery population. Usinghigher serum PSA thresholds to eliminate unnecessary biopsies inolder men does not appear to help identify patients at greaterrisk of having clinically significant prostate cancer. Patients withprostate cancer having aggressive clinical features may benefitfrom treatment of their prostate cancer well into their eighth andninth decades of life. Testing and diagnostic recommendationsshould reflect the potential benefit of identifying patients withaggressive prostate cancer even after age 75.Introduction : Le cancer de la prostate est le type de cancer noncutané le plus fréquent chez les hommes et la seconde causede décès lié au cancer en importance en Amérique du Nord.L’incidence du cancer de la prostate augmente grandement avecl’âge. Néanmoins, de nombreuses autorités en matière de santéavancent l’idée de mettre fin au dépistage systématique du cancerde la prostate chez les hommes de plus de 75 ans en raisonde la croyance selon laquelle la plupart des patients présenterontun cancer non significatif sur le plan clinique et ne bénéficierontpas d’un traitement. La véritable prévalence des cas decancer de la prostate cliniquement significatif chez les hommesâgés n’est pas établie.Méthodes : Nous avons analysé 1446 échantillons de biopsie àl’aiguille prélevés au niveau de la prostate chez des patients de75 ans ou plus. Toutes les analyses de pathologie ont été effectuéespar le service de pathologie du Methodist Hospital deHouston, au Texas. Les données ont été tirées des rapports depathologie, des bases de données des hôpitaux et des cliniques,et des dossiers médicaux lorsque possible. Les données obtenuesincluaient l’âge au moment de la biopsie, les valeurs d’antigèneprostatique spécifique (APS), le nombre de microbiopsies positiveset le score de Gleason. Les analyses statistiques ont été effectuéesà l’aide du système Stata. Le cancer cliniquement significatifest défini comme la présence d’un adénocarcinome avec un scorede Gleason de 6 dans plus d’une zone de biopsie ou un scorede Gleason de 4 ou 5 dans toute partie de l’échantillon.Résultats : L’âge moyen des patients inclus était de 78,8 ans et95 % des patients avaient entre 75 et 85 ans. La valeur moyennede l’APS chez les patients ayant subi une biopsie était de 10,4 μg/L.De tous les échantillons examinés, 53 % confirmaient la présenced’un cancer de la prostate, et le cancer était défini comme étantcliniquement significatif dans 78 % de ces cas. Une analyse derégression a révélé que l’âge était un facteur significatif (p <0,05) lié à un score de Gleason plus élevé dans les biopsies positives.Une analyse de régression logistique a révélé que l’âge étaitaussi un facteur significatif (p < 0,05) lié à un cancer de la prostatecliniquement significatif même en tenant compte du taux d’APS.Une valeur seuil d’APS de 6,5 μg/L serait passée à côté de 38 %des cas de cancer significatif, alors qu’une valeur seuil d’APSde 4,0 μg/L serait passée à côté de 8 % des cancers significatifs.Conclusion : Nos observations portent à croire que la prévalencedu cancer de la prostate significatif sur le plan clinique chezles patients âgés pourrait être plus élevée qu’on le croit. Avecl’augmentation de l’espérance de vie, l’incidence de la morbiditéliée au cancer de la prostate augmentera. Le recours àdes valeurs seuils d’APS plus élevées pour éliminer les cas debiopsies non nécessaires chez les hommes âgés ne semble pasaider à cerner les patients présentant un risque plus élevé de cancerde la prostate cliniquement significatif. Les patients atteintsde cancer de la prostate cliniquement agressif peuvent bénéficierd’un traitement contre le cancer même lorsqu’ils dépassentlargement les 80 ou les 90 ans. Les recommandations concernantle dépistage et le diagnostic devraient refléter les avantages potentielsliés au dépistage d’un cancer de la prostate agressif, mêmeaprès 75 ans.


2009 ◽  
Vol 181 (4S) ◽  
pp. 748-748
Author(s):  
Kent Kanao ◽  
Osamu Komori ◽  
Jun Nakashima ◽  
Takashi Ohigashi ◽  
Eiji Kikuchi ◽  
...  
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