Issues in Cross-Cultural Personality Assessment

2012 ◽  
Author(s):  
Ronald C. Page ◽  
Thomas L. Payne
Author(s):  
Dragos Iliescu ◽  
Dan Ispas

The chapter focuses on the assessment of personality in an international context. Starting from the definition of personality, the chapter discusses the way culture and personality are mixed and sets then out to explain the emic (indigenous) versus etic (universal) debate in personality assessment. The combined emic-etic approach is outlined as an interesting evolution in cross-cultural personality assessment, and two measures based on this approach are discussed, the Cross-Cultural Personality Assessment Inventory (CPAI) and the South African Personality Inventory (SAPI). Finally, the chapter discusses the currently dominant model of personality used in assessment internationally, the five-factor model, outlining some of the dilemmas still being debated related to this model, such as the broad versus narrow debate, the cross-cultural replicability issue, and the bandwidth-fidelity dilemma.


1991 ◽  
Vol 4 ◽  
pp. 1-5 ◽  
Author(s):  
Lynn Frewer ◽  
Anne V. Bleus

Papua New Guinea has been defined as a collectivist (as opposed to individualist) culture (Triandis et al., 1986a). The aim of this study was to examine the effects of allocentricity on a standardised personality test, the Eysenck Personality Inventory, using a sample of Papua New Guinean university students. The responses of 256 subjects were factor analysed. The 22 factors extracted in the first-order analysis were reduced to eight factors in a higher-order analysis. These eight factors were only psychologically meaningful if interpreted within the context of a collectivist society. The implications for cross-cultural personality assessment are considered.


2021 ◽  
Vol 12 ◽  
Author(s):  
Mingjie Zhou ◽  
Duan Huang ◽  
Fen Ren ◽  
Weiqiao Fan ◽  
Weiqi Mu ◽  
...  

Filling out long questionnaires can be frustrating, unpleasant, and discouraging for respondents to continue. This is why shorter forms of long instruments are preferred, especially when they have comparable reliability and validity. In present study, two short forms of the Cross-cultural (Chinese) Personality Assessment Inventory (CPAI-2) were developed and validated. The items of the short forms were all selected from the 28 personality scales of the CPAI-2 based on the norm sample. Based on some priori criteria, we obtained the appropriate items and constructed the 56-item Chinese Personality Assessment Inventory (CPAI) and the 28-item CPAI. Then, we examined the factor structure of both short forms with Exploratory SEM (ESEM) and replicated the four-factor structure of the original CPAI-2, reflecting the four personality domains of Chinese people, namely, Social Potency, Dependability, Accommodation, and Interpersonal Relatedness. Further analyses with ESEM models demonstrate full measurement invariance across gender for both short forms. The results show that females score lower than males on Social Potency. In addition, these four factors of both short forms have adequate internal consistency, and the correlation patterns of the four factors, the big five personality traits, and several health-related variables are extremely similar across the two short forms, reflecting adequate and comparable criterion validity, convergent validity, and discriminant validity. Overall, the short versions of CPAI-2 are psychometrically acceptable and have practically implications for measuring Chinese personality and cross-cultural research.


Author(s):  
Carl-Erik Mattlar

Hermann Rorschach s’est intéressé aux différences culturelles ou ethniques en étudiant les Bernois, tout particulièrement ceux de la partie centrale du canton, et les gens d’Appenzeller. Depuis, beaucoup de travaux ont porté sur les différences ethniques. Les textes de référence sont ceux de Henry et Spiro, De Vos, Boyer et plus généralement l’ouvrage d’Abel (1973). Avec l’arrivée du Système intégré (SI), des normes ont été établies durant les années 1973–1986, sur des populations d’adultes en bonne santé et bien intégrés sur le plan social et professionnel, ainsi que pour divers groupes psychopathologiques. Actuellement, les praticiens du Rorschach àtravers le monde se sont mis àmettre en doute l’universalité, c’est-à-dire la valeur étique, de ces normes. Il est important d’observer que les seuils de signification ont été établis de manière empirique par les Rorschach Workshops tout au long des trois dernières décennies du siècle dernier. Récemment, Exner (2002) a publié les premiers résultats d’une nouvelle étude de non-consultants, réalisée selon les même principes que précédemment, avec dans l’ensemble, des résultats similaires. Plus l’utilisation du Système intégré se répandait, et plus nombreuses devinrent les données locales de référence. Un certain nombre d’entre elles comportent de nettes différences avec les normes des Rorschach Workshops. Au congrès d’Amsterdam de 1999, Erdberg et Shaffer ont réuni les données obtenues dans divers pays: France, Tunisie, trois études américaines, deux études italiennes, Japon, Espagne, Danemark, Finlande, Belgique, Portugal, Pérou et Argentine. Shaffer et Erdberg en ont fait une nouvelle présentation au congrès de la Society for Personality Assessment Í Philadelphie en 2001, mettant en évidence des similarités, mais aussi des différences. Dans cette section spéciale de Rorschachiana, nous essayons de contribuer àcette question si importante mais aussi si complexe. La section comporte cinq articles portant sur les différences interculturelles écrits par les auteurs suivants: 1. Hélène Salaün de Kertanguy et Anne Andronikof, 2. Alicia Martha Passalacqua, Lelia Sandra Pestana, et autres, 3. Regina Sonia Gattas Fernandes do Nascimiento, 4. Outi Kalla, Jarl Wahlström, Jukka Aaltonen, Juha Holma, Pentti Tuimala, et Carl-Erik Mattlar, et 5. Carl-Erik Mattlar. A la lecture de ces articles, on s’aperç oit que chacun apporte quelque chose d’original: des données nouvelles, des problèmes méthodologiques, etc. Le premier est une étude de terrain réalisée sur des populations tribales aux Indes qui se trouvent en danger sur les plans culturel et physique en raison de changements qui leur ont été imposés. Le Rorschach (SI) a été utilisé pour mettre en lumière la faç on dont ils se sont aménagés face au traumatisme que représente la perte de leur environnement socioculturel. Les chercheurs se sont heurtés àun certain nombre de problèmes liés àla recherche de terrain et àl’interprétation des résultats. Ils ont néanmoins pu montrer comment les sujets ont réagi àla détresse induite par la situation déstructurante àlaquelle ils étaient confrontés. Le deuxième est une comparaison très intéressante entre la série parallèle des planches de la Scuola Romana Rorschach et les planches originales de Rorschach réalisée dans deux échantillons de population en Argentine. Le problème toutefois vient de ce que la cotation des protocoles s’est faite d’après la méthode développée par l’école argentine, basée sur les méthodes de Klopfer et de Bohm. Alors que les deux séries de planches ont produit principalement des résultats similaires, il est difficile de transposer ces résultats àd’autres méthodes de cotation internationalement utilisées. Le troisième consiste en une importante étude normative brésilienne (n = 200 adultes non consultants), dont certains résultats accusent de nettes différences avec les normes en Système intégré. Par exemple, le Mode de R est de 14 (23 dans les normes américaines), et la moyenne de Lambda est de 1,07 (0,60 dans les normes américaines). L’auteur met en évidence l’influence majeure du niveau socioculturel dans ces résultats. Le quatrième est une recherche dans le domaine psychiatrique qui compare 41 patients finlandais à32 espagnols, qui présentent des tableaux de schizophrénie débutante, de troubles schizophréniforme, schizoaffectifs, des états délirants ou encore des épisodes psychotiques aigus. Les résultats montrent que les patients psychotiques, en Finlande comme en Espagne, manifestent un certain nombre de caractéristiques communes. Les différences principales entre ces deux groupes de patients se situaient dans les secteurs de la perception de soi et des relations interpersonnelles. Les auteurs pensent que ces données traduisent bien de véritables différences interculturelles de la personnalité. Le cinquième est une revue de question qui s’interroge sur le caractère étique ou émique du Rorschach. Autrement dit, les normes produites par les Rorschach Workshops sont-elles valables universellement (étique), ou sont-elles spécifiques àchaque culture (émique) ? Dans ce dernier cas, nous avons non seulement besoin de normes différentes pour chaque culture, mais aussi une grande quantité de recherches empiriques qui établissent de nouveaux seuils de signification pour toutes les variables. Les recherches les plus récentes (Erdberg & Shaffer, 1999; Shaffer & Erdberg, 2001; Exner, 2001, 2002; Meyer, 2001, 2002) semblent soutenir l’idée que le Rorschach est un instrument étique. Si l’on veut conduire des comparaisons internationales, il faut porter une attention toute particulière aux groupes étudiés (Weiner, 2001a) comme aux modes d’administration et de cotation des protocoles, ainsi qu’àla compétence des personnes responsables de l’étude. align="left" language="inherit">Dans son ensemble, cette section spéciale met en lumière un certain nombre d’aspects tout àfait critiques et intéressants de l’utilisation du Rorschach dans le monde. Il me semble que la lecture attentive de ces cinq articles très différents vaut vraiment la peine et qu’elle est riche en enseignements.


2009 ◽  
Author(s):  
Ronald C. Page ◽  
Thomas L. Payne ◽  
Anna Brown ◽  
Paul Barrett

1999 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 78-86 ◽  
Author(s):  
Irving B. Weiner

Summary: In the last 20 years the advent of the Comprehensive System has developed the Rorschach Inkblot Method (RIM) into a standardized and psychometrically sound personality assessment instrument with numerous indices that can be reliably coded, show considerable test-retest stability, and have abundant valid corollaries. Rorschach assessment has demonstrated utility in contributing to clinical diagnosis of psychopathology, providing guidelines for treatment planning and outcome evaluation, and identifying adaptive and maladaptive features of how people attend to their experience, use ideation, modulate affect, manage stress, view themselves, and relate to others. The RIM can also be effectively integrated with more structured self-report inventories in a complementary way that describes personality functioning in greater depth than would otherwise be possible. The RIM remains at present a widely used and extensively researched measure in many parts of the world. Although the inkblot method is essentially a culture-free instrument with universal applicability, further research is needed to establish cross-cultural normative data concerning its variables.


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