Discours sur la Paix, la Justice et les Institutions efficaces

En partant d’une approche holistique et dynamique de la paix, une paix juste et durable qui ne saurait se réduire à la seule absence de la guerre, les "Discours sur la Paix, la Justice et les Institutions efficaces" montrent combien ces trois composantes restent intrinsèquement liées. En effet, si l’on admet qu’une paix juste et durable n’est possible qu’en se fondant sur la justice, il est évident que la bonne administration de la justice, son indépendance, son impartialité et l’effectivité de son autorité ne sont envisageables véritablement que dans un contexte de paix et de sécurité, le tout avec l’appui des institutions robustes et efficaces (outre la justice elle-même). Or, l’efficacité des institutions, quelles qu’elles soient, dépend étroitement de l’effectivité de la paix et de la sécurité, des lois qui soient la juste expression de la volonté générale...Le lecteur trouvera dans cet ouvrage des possibilités de réflexion pouvant lui permettre de développer sa propre analyse des questions et/ou situations concrètes, ayant toutes trait à la problématique de la paix, de la justice et des institutions efficaces qui sont parmi les éléments essentiels à l’agenda de la Communauté internationale. Ces questions et/ou situations concrètes que nous avons essayé de traiter, souvent avec le concours des acteurs de terrain parmi les plus réputés dans leurs domaines respectifs, comme le Professeur Denis MUKWEGE (Prix Nobel de la Paix 2018), sont au cœur des préoccupations de la Communauté internationale. Plus spécifiquement, ces questions font partie des secteurs prioritaires d’intervention de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), entre autres le Secteur XVI des Objectifs du développement durable (ODD).

Author(s):  
Françoise Quairel ◽  
Marie-Noëlle Auberger

Les grands textes et références internationales confient aux grandes entreprises la responsabilité de diffuser les valeurs environnementales et sociales dans leur sphère d’influence. Cette vision « messianique » de leur responsabilité les conduit à promouvoir des pratiques RSE au sein de leur chaîne d’approvisionnement, notamment auprès de leurs fournisseurs et sous-traitants PME. Dans une vision managériale, elles demandent à leurs fournisseurs de signer des codes de conduite et autres clauses contractuelles pour se protéger des risques liés à un comportement non responsable. Quelle que soit la vision, les grandes entreprises sont considérées comme des acteurs majeurs de la diffusion de pratiques socialement et environnementalement responsables pour les PME de leur chaîne d’approvisionnement. À partir de cinq études de cas de grands groupes industriels considérés comme socialement responsables et à partir d’une enquête auprès de PME françaises, cet article se propose d’analyser les facteurs, freins ou leviers qui expliquent l’influence exercée sur les PME par la gestion « durable » de la relation fournisseurs. Il cherche à répondre à la question : dans quelle mesure les PME sont-elles poussées à adopter des politiques RSE par les grandes entreprises clientes ? Dans les pays développés comme la France, cette influence est faible, même lorsque les grands clients se disent engagés dans la RSE. Nous avons dégagé les principaux déterminants de cette influence : le degré de formalisation et surtout de contrôle des engagements demandés au fournisseur, le degré des contradictions entre les exigences économiques de prix toujours plus bas et les exigences de conformité avec les codes de conduite ou autres standards, la nature de la relation commerciale entre les acteurs basée sur un rapport de force économique dans une approche de stricte conformité ou basée sur la confiance, les relations personnelles et le partenariat gagnant-gagnant. Les grandes entreprises, même proactives, ne sont que de faibles leviers de la diffusion de la RSE chez leurs fournisseurs PME parce que tous ces facteurs jouent faiblement ou comme des freins, ce qui traduit une mise en œuvre encore très partielle des objectifs annoncés de développement durable au sein des services achat. Les objectifs et l’engagement du chef d’entreprise dans la PME constituent des facteurs clés pour l’adoption de stratégies RSE dans les PME et donc pour aller au-delà de la stricte conformité et transformer les exigences RSE du client en opportunités. Nous proposons huit types de réponses stratégiques des PME fournisseurs aux exigences de leurs clients en fonction des facteurs dégagés ci-dessous.


2021 ◽  
Vol 223 ◽  
pp. 189-199
Author(s):  
Bernard Collignon

Au Sahara et au Sahel, l’eau souterraine est une ressource limitée et précieuse. La vie quotidienne et le travail des éleveurs sont organisés en fonction de la localisation des points d'eau et de la profondeur de la nappe. Pour assurer le développement durable de ces régions, il est donc indispensable de construire des cartes piézométriques précises, y compris dans les zones les plus difficiles d’accès. Nous avons mis au point une méthode innovante pour dresser de telles cartes à partir de l’imagerie satellite en haute définition, afin de pouvoir compenser les lacunes de l’information hydrogéologique conventionnelle. L’artefact utilisé dans cette méthode est l’image des puits pastoraux. Les pasteurs abreuvent leur bétail grâce à des puits profonds. Pour tirer l’eau, ils attellent des ânes ou des chameaux qui tirent l’eau avec une corde dont la longueur est une mesure précise de la profondeur de la surface piézométrique. Lors de l’opération, les bêtes et les cordes laissent sur le sol des traces que l’on peut observer et mesurer sur les images satellites, pour autant que leur résolution soit suffisante. Nous avons mis au point une technique d’interprétation de ces images qui permet (a) de repérer les puits pastoraux (sur images Landsat ou SPOT), (b) d’isoler les traces laissées par les bêtes utilisées pour tirer l’eau (sur images SPOT ou WorldView) et (c) d’estimer la profondeur de l’eau à partir de ces traces (sur images Wordview). La méthode a été étalonnée soigneusement, par corrélation avec des mesures directes de la profondeur de l’eau dans les forages neufs. Après calibration, nous avons pu utiliser cette méthode pour dresser en quelques semaines la carte piézométrique de la dépression du Bornou au Nigeria (20 000 km2). Cette zone est difficilement accessible par d’autres moyens à cause de l’insécurité qui prévaut dans cette région du Sahel depuis 5 ans. Nous avons ensuite testé la même méthode sur d’autres aquifères dans les pays du Sahel (Mauritanie, Sénégal, Mali, Burkina, Niger, Tchad et Soudan). Elle s’y applique très bien également et il a ainsi été possible de cartographier en moins d’une année 1 million de km2 d’aquifère.


2020 ◽  
Author(s):  
Marie-Eliette DURY ◽  
◽  
Bing XIAO ◽  

La viabilité et l’efficience de la notion de développement durable dépendent de sa capacité à se transformer en vecteur de performance financière pour l’entreprise. Notre objectif est de démontrer une potentielle relation entre le développement durable et la performance financière : les performances des mutual funds basées sur le développement durable sont-elles meilleures que celles des indices de référence ? Pour cela, nous avons étudié 7 fonds OPCVM français style Investissement Socialement Responsable. La période d’étude s’étend de juin 2011 à juin 2020, avec 4 horizons d’investissement : 1 an, 3, 5 et 10 ans. On constate une domination de la performance à 10 ans des mutual funds ISR sur les indices de référence, performance également confirmée par un niveau d’alpha positif durant la période étudiée.


Author(s):  
Oumaima LEHMER ◽  
Abderrazak El ABBADI

Les patrimoines naturel et culturel sont minés par les actions humaines sournoises, le rapport homme-environnement actuel est considéré comme étant un présage de déstabilisation de la balance de l’environnement, de l’écosystème et de l’économie. La question de la mise en protection, de la conservation et de la régénération ne date pas d’hier. En effet, plusieurs interventions ont eu lieux pour pouvoir permettre au Maroc une croissance soutenue et durable. Cependant, elles semblent à bien des égards être reprochées. Dans le secteur du tourisme, l’appauvrissement des atouts de la biodiversité, paysagers et génétiques dû aux activités touristiques est très considérable, de ce fait, la régulation des équilibres devrait être imminente surtout suite à l’ouverture du monde rural et naturel au tourisme. Voulant axer l’activité touristique, le développement durable et l’environnement au centre d’une politique de gestion originale et durable. Les Paiements pour Services Environnementaux sont considérés comme étant le vocable commun qui permet de tracer un enjeu collectif mobilisant différents acteurs et mariant des secteurs malgré leur divergence. C’est une nouvelle approche managériale de développement représentant un gage d’efficacité par rapport aux autres mesures de conservation et ayant des échos de réussite dans plusieurs pays du globe. Nous pouvons les considérer comme étant un nouvel parangon face aux problèmes venant pallier les limites des instruments antérieurs. Dans notre cas, l’idée est de procréer une production monétaire au service de l’environnement et du patrimoine culturel et naturel dans un cadre touristique et durable. De ce fait, notre fond PSE est une notion discursive qui lie plusieurs raisonnements et les rend conciliables, mais aussi, qui fait remonter une panoplie d’interrogations relatives à la détermination des acteurs concernés, au montant de financement, à la définition du service environnementale, de son bénéficiaire et de ses bénéfices… Des interrogations auxquelles nous avons apporté des éléments de réponse à travers cet article qui vise à recentrer les principes de ces procédés socioéconomique et environnemental et les converger vers une application sur le secteur touristique dans les régions rurales.


Author(s):  
Johan Oszwald ◽  
Xavier Arnauld de Sartre ◽  
Thibaud Decaëns ◽  
Valéry Gond ◽  
Michel Grimaldi ◽  
...  

Le Pará est aujourd’hui, dans le Bassin amazonien, l’une des régions où les taux de déboisements sont parmi les plus intenses. Le front de déforestation se développe notamment le long de la route dite « Transamazonienne » à partir de pistes secondaires perpendiculaires, phénomène identifié depuis plus de 20 ans sous le terme de « front dedéforestation en arête de poisson ». Le site étudié est une zone de colonisation spontanée qui est située à 60 km environ de Pacajá, sur le traverssão sud du kilomètre 338 de la Transamazonienne. Cette région connaît depuis les années 1970 des dynamiques de déboisements très importantes suite à l’arrivée de nombreux colons qui se destinentprincipalement à l’agriculture. Ces dynamiques se sont fortement accélérées dans les années 1990 et 2000.Afin de quantifier et de suivre l’évolution des dynamiques agricoles dans la zone d’étude, nous avons utilisé des images TM de Landsat de 1990 à 2007. Les dynamiques paysagères documentées, nous nous sommes intéressés à 50 exploitations agricoles qui ont été visitées lors des campagnes de terrain (2006-2008). Afin de renseigner la dynamiquede ce front de déforestation, nous avons cherché à caractériser les différents facteurs d’évolution communs à chacune des parcelles. Pour ce faire, nous avons utilisé différentes méthodes statistiques factorielles comme les ACP interclasses ou les STATIS. Ce travail a permis de faire ressortir des groupes d’exploitations agricoles qui connaissent les mêmes types d’évolutions temporelles de l’occupation des sols. Ces groupes sont alors confrontés avec les principales caractéristiques socio-économiques des exploitants agricoles afin de rechercher des facteurs associés aux dynamiques de l’occupation des sols. Ces différents facteurs identifiés, nous mettons en évidence l’impact desdynamiques paysagères sur les richesses spécifiques, que l’on peut définir comme une mesure de la biodiversité, à l’intérieur d’un échantillon de neuf exploitations. Plus généralement, ces différents facteurs vont également participer à l’évaluation de certains Services Ecosystémiques (SE). Ce travail a été effectué dans le cadre de l’agence nationale de la recherche, programmes Agriculture et développement durable — 2006 (projet intitulé : Services écosystémiques des paysages agrosylvopastoraux Amazoniens : Analyse desdéterminants socio-économiques et simulation de scénarios) et Biodiversité — 2006 (Biodiversité des paysages Amazoniens. Déterminants socio-économiques et production de biens et services écosystémiques). Ces projets, coordonnés par Patrick Lavelle ont permis le travail commun d’équipes brésiliennes et françaises.


2018 ◽  
Author(s):  
◽  
Gaston Jean ◽  

Ce travail vise à proposer une solution d’assainissement durable, digne, sécurisante, accessible à tous, permettant de réduire les maladies à transmission hydrique, adaptée aux populations vivant dans des conditions précaires en zones rurales de pays en développement. Il contribue ainsi à la lutte contre la défécation à l’air libre, une des cibles de l’Objectif de Développement Durable n°6 concernant l’eau et l’assainissement. Le choix s’est porté sur des toilettes sèches individuelles à litière biomaîtrisée et un mode de gestion communautaire des résidus, en lien avec une association paysanne locale. La mise en place s’est faite avec un accompagnement scientifique qui a donné lieu aux travaux présentés ici. Dans un premier temps, nous avons opéré selon une approche participative, visant à s’assurer de l’adhésion des utilisateurs. Puis nous avons mené un programme scientifique pour identifier les conditions permettant l’hygiénisation des résidus traités. Après 3 ans d’expérimentation, la filière d’assainissement mise en place est totalement adoptée par les ménages, qui apportent régulièrement leurs résidus sur le site de compostage. Une enquête a fait ressortir que les familles sont très satisfaites de ce mode d’assainissement à domicile et se sentent moins sujettes à des maladies féco-orales. Ces ménages se sont constitués en un groupe qui procède à présent à l’appui à la réplication. Les litières absorbantes utilisées, les résidus avant et après traitement par compostage ont été caractérisés. Des essais en pilotes ont permis de déterminer les conditions permettant de garantir une hygiénisation rapide, ce qui était un de nos principaux objectifs, afin de réduire les risques sanitaires. Nous sommes à présent à même de définir les « bonnes pratiques » pour que la filière d’assainissement par toilettes sèches à litière biomaîtrisée dans une zone rurale de pays en développement soit sûre et durable, sur les aspects sociaux, techniques, économiques, environnementaux et sanitaires.


2011 ◽  
Vol 24 (4) ◽  
pp. 285-296 ◽  
Author(s):  
A.C. DOCKÈS ◽  
P. MAGDELAINE ◽  
D. DARIDAN ◽  
A. GUILLAUMIN ◽  
M. RÉMONDET ◽  
...  

Le projet COSADD a été conduit de 2007 à 2009 pour identifier, tester des objectifs de sélection animale compatibles avec une perspective de développement durable, et cohérents avec les attentes des acteurs concernés. Au cours des années 2008 et 2009 nous avons réalisé des entretiens semi-directifs auprès d'une soixantaine d'acteurs de la sélection animale, des filières, de la distribution et des associations (de consommateurs, de protection des animaux ou de l'environnement). Les priorités et attentes des différents types d'acteurs ont été identifiées, à la fois dans une perspective générale, et en focalisant l'approche autour du développement durable. Les acteurs du secteur économique partagent un certain nombre de points de vue autour de la priorité à accorder aux enjeux économiques et de marchés, autour de la nécessité de produire des animaux faciles à élever, robustes et résilients. L'environnement et le bien-être animal sont considérés comme des demandes «extérieures», mais importantes. Des spécificités existent bien entendu par rapport à chaque espèce. Pour les acteurs des associations, la perspective est inversée. Les enjeux économiques sont compris, mais l'accent est mis sur les enjeux sociétaux. En définitive deux paradigmes ou modèles productifs apparaissent, avec la possibilité d'une agriculture duale combinant les deux modèles. L'un que l'on peut qualifier «d'écologiquement intensif» autour d'un élevage productif, tourné vers des marchés de masse et de hauts niveaux de consommation, avec le respect de normes strictes ; et un «alternatif et extensif» où l'on accepte une diminution de la consommation de viande pour promouvoir des signes de qualité et des systèmes extensifs.


2014 ◽  
Vol 57 (161) ◽  
pp. 277-298
Author(s):  
Julie Gobert

Résumé Dans un but de développement économique des territoires, les pouvoirs publics sont amenés, en France, à favoriser le « capital mobilité » des individus pour leur donner le moyen d’accéder au marché du travail et à un ensemble de ressources et de services. Toutefois, il est également nécessaire de réguler les problèmes liés à l’automobilité et aux nuisances environnementales qui lui sont inhérentes. Les politiques publiques de transport ont de ce fait évolué : la notion de « droit à la mobilité » se dissout peu à peu au profit d’objectifs plus complexes de développement durable. Ce dilemme entre enjeux économiques, sociaux et environnementaux pose la question des inégalités environnementales, particulièrement quand il s’agit de mettre en place une zone à basse émission sur les grandes agglomérations, comme cela est prévu dans la loi du Grenelle II sous le nom de zone d’actions prioritaires pour l’air (ZAPA). Au regard d’une enquête de terrain menée sur une intercommunalité de Seine-Saint-Denis, en amont de la mise en place d’une ZAPA, nous avons cherché à mieux connaître l’impact d’une telle mesure et les possibles répercussions en termes d’inégalités.


2006 ◽  
Vol 36 (1) ◽  
pp. 289-320
Author(s):  
Vincent Veschambre

Résumé L’affiche fait partie des éléments de signalétique langagière les plus visibles dans l’espace urbain, des formes de marquage et d’appropriation de l’espace les plus significatifs. Angers, ville qui se revendique comme modèle de « développement durable » et Timisoara, qui affirme son attractivité économique dans une Roumanie marquée par l’irruption de la publicité et des campagnes électorales dans l’espace public, constituent deux exemples contrastés du point de vue des normes et des réglementations locales. Nous avons observé en périodes électorales la concurrence entre affichage « marchand » et affichage « d’opinion » et relevé quels étaient les espaces les plus disputés. L’affichage électoral apparaît comme un mode d’affirmation identitaire de certains groupes politiques et sociaux qui ciblent certains quartiers de la ville.


2010 ◽  
Vol 37 (2) ◽  
pp. 44-62
Author(s):  
Yannick Bruxelle ◽  
Michel Hortolan

RésuméUne intuition et une volonté. C’est ainsi que nous nous sommes saisis du développement durable. Une intuition, car il nous est apparu que l’arrivée massive dans le champ de la société de cette approche allait interroger les fondements et les pratiques de l’éducation à l’environnement : il nous fallait être présents. Une volonté, car ce concept contestable se prêtait à un des fondamentaux de nos pratiques : l’analyse critique. Celle-ci se retrouve également au coeur d’une dynamique d’éducation à l’environnement, comme une éducation au politique. Dans ce cadre, nos réflexions éducatives nous ont amenés à explorer les déclinaisons possibles pour développer un agir politique émancipateur. S’émanciper, c’est aussi aller vers un état d’humanité plus accompli. Cette ambition et la conscience d’en être aux balbutiements d’une histoire humaine porteuse d’espérance nous ont conduits à porter un regard critique sur l’hégémonie de la culture du résultat et du principe d’efficacité. Poussée par la nécessité d’affronter les changements culturels que supposent ces manières d’interroger le monde, l’éducation apparaît comme une voie régénératrice. Nos postures d’éducatrices et d’éducateurs à l’environnement en sont-elles modifiées? Nous le croyons. Aussi, nous avons cherché à ouvrir des pistes afin de les partager avec celles et ceux qui s’interrogent sur leurs pratiques.


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