papillomavirus humain
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2021 ◽  
Vol 1 (8) ◽  
pp. A234-A235
Author(s):  
Florian Herms ◽  
Vivien Béziat ◽  
Hélène Péré ◽  
David Veyer ◽  
Martine Bagot ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 22 (3) ◽  
pp. 344-351
Author(s):  
C.U. Ezebialu ◽  
I.U. Ezebialu ◽  
C.C. Ezenyeaku

Background: Many women are known to contract human papilloma virus (HPV) infection in their lifetime but only a few develop cervical cancer. One of the major factors that contribute to development of cervical cancer is HPV persistence. Several other factors including viral load have been implicated in cervical cancer development. This work therefore intends to investigate the persistence of cervical HPV infection among cohort of women in Awka, Nigeria.Methodology: A cohort of 58 women with normal Papanicolaou (Pap) test but positive HPV DNA selected from a population of 410 women at baseline were followed up over a period of 6 months from April to October 2015. Cervical specimens collected were subjected to HPV DNA test and viral quantification using TaqMan Real Time PCR and cervical cytology. Risk factors were obtained using semi structured interviewer administered questionnaires. Variables were analysed using descriptive statistics and T-test on IBM SPSS statistics version 21.0 and EPI INFOTM 7.0Results: At the 6-month follow up, cervical HPV infection persisted in 29 women, representing 50% of the women followed up. Among the 29 women, 7 (24.1%) developed abnormal Pap smear (Low grade Squamous Intraepithelial Lesion). Factors significantly associated with persistence at bivariate analysis of HPV include previous sexually transmitted infection (STI) (p=0.005), HIV positivity (p=0.04), HIV positivity but no anti-retroviral drugs (p=0.014), HPV 16 infection (p<0.0001) and age less than 40 years (p<0.0001). At multinomial logistic regression, only age above 17 years at first sexual intercourse (p=0.003, CI=0.012-0.392) and multiple lifetime sexual partners (p=0.021, CI=0.20-0.726) were statistically significant.Conclusion: High risk HPV infection, in addition to other factors peculiar to an individual may influence HPV persistenceKey words: cervical cancer, human papillomavirus, persistence, cytology, risk factors, infection   French Title: Persistance de l'infection cervicale par le papillomavirus humain parmi une cohorte de femmes à Awka, Nigéria Contexte: De nombreuses femmes sont connues pour contracter une infection au virus du papillome humain (VPH) au cours de leur vie, mais seules quelques-unes développent un cancer du col de l'utérus. L'un des principaux facteurs qui contribuent au développement du cancer du col de l'utérus est la persistance du VPH. Plusieurs autres facteurs, y compris la charge virale, ont été impliqués dans le développement du cancer du col de l'utérus. Ce travail vise donc à étudier la persistance de l'infection cervicale au VPH parmi la cohorte de femmes à Awka, au Nigeria. Méthodologie: Une cohorte de 58 femmes avec un test de Papanicolaou (Pap) normal mais un ADN HPV positif sélectionné parmi une population de 410 femmes au départ ont été suivis sur une période de 6 mois d'avril à octobre 2015. Les échantillons cervicaux collectés ont été soumis à l'ADN HPV. test et quantification virale à l'aide de la PCR en temps réel TaqMan et de la cytologie cervicale. Les facteurs de risque ont été obtenus à l'aide de questionnaires semi-structurés administrés par les intervieweurs. Les variables ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et d'un test T sur IBM SPSS statistics version 21.0 et EPI INFOTM 7.0 Résultats: Au suivi de 6 mois, l'infection cervicale au VPH persistait chez 29 femmes, soit 50% des femmes suivies. Parmi les 29 femmes, 7 (24,1%) ont développé un test Pap anormal (lésion squameuse intraépithéliale de bas grade). Les facteurs significativement associés à la persistance lors de l'analyse bivariée du VPH comprennent les antécédents d'infection sexuellement transmissible (IST) (p=0,005), la positivité au VIH (p=0,04), la positivité au VIH mais pas d'antirétroviraux (p=0,014), l'infection au VPH 16 (p<0,0001) et moins de 40 ans (p<0,0001). Lors de la régression logistique multinomiale, seuls les âges supérieurs à 17 ans lors du premier rapport sexuel (p=0,003, IC=0,012-0,392) et les multiples partenaires sexuels à vie (p=0,021, IC=0,20-0,726) étaient statistiquement significatifs. Conclusion: Une infection au VPH à haut risque, en plus d'autres facteurs propres à un individu, peut influencer la persistance du VPH Mots clés: cancer du col de l'utérus, papillomavirus humain, persistance, cytologie, facteurs de risque, infection  


Author(s):  
E. David ◽  
A. Belot ◽  
J.-C. Lega ◽  
I. Durieu ◽  
C. Rousset-Jablonski

2020 ◽  
Vol 150 ◽  
pp. 15499-15509
Author(s):  
Rogomenoma Alice Ouedraogo ◽  
Théodora Mahoukèdè Zohoncon ◽  
Abdoul Karim Ouattara ◽  
Jacques Simpore

Objectif : cette étude a été conduite dans le but d'identifier les génotypes de Papillomavirus Humains à haut risque oncogène (HPV-HR) circulant chez les femmes sexuellement actives à Garango, au Burkina Faso. Méthodologie et résultats : avant le dépistage des lésions précancéreuses, des échantillons endocervicaux ont été prélevés chez 135 femmes sexuellement actives à Garango. L'ADN extrait a permis de caractériser 14 génotypes de HPV-HR à travers une PCR multiplexe en temps réel. Quarante-trois pourcent (43%) des femmes portaient une infection à HPV à haut risque oncogène soit 58/135. Sur les quatorze génotypes testés, treize ont été identifiés et le génotype le plus fréquent était le HPV 56 (62,5 %) suivi des HPV 18 (5,5 %), HPV 68 (4,2 %), HPV 66 (4,2 %), HPV 59 (4,2 %), HPV 58 (4,2 %), HPV 35 (4,2 %). Le HPV 33 inclus dans le vaccin anti-HPV n’a pas été identifié chez les femmes de notre étude. Conclusion et application des résultats : Ce type d'étude qui est la première à Garango a montré une forte prévalence du génotype HPV 56 qui n'est pas encore couvert par un vaccin. Ces résultats constituent une contribution scientifique sur l'épidémiologie et la distribution des génotypes HPV-HR et permettront de guider nos politiques de santé vers une meilleure prévention du cancer du col de l'utérus. Mots-clés : Papillomavirus humain à haut risque, PCR en temps réel, génotypes, femmes, Garango. Predominance of Human Papillomavirus 56 in a subpopulation of sexually active women in Garango, Central-East, Burkina Faso ABSTRACT Objective: The aim of this study was to identify circulating strains of HR-HPV among sexually active women in Garango, Burkina Faso. Methodology and results: Before screening for precancerous lesions, endocervical samples were taken from 135 sexually active women in Garango. The extracted DNA made it possible to characterize 14 HR- HPV genotypes through a real-time multiplex PCR. Forty three percent (58/135) of women had a high-risk oncogenic HPV infection. Of the fourteen genotypes tested, thirteen were identified and the most frequent genotype was HPV 56 (62.5 %) followed by HPV 18 (5.5 %), HPV 68 (4.2 %), HPV 66 (4.2 %), HPV 59 (4.2 %), HPV 58 (4.2 %), HPV35 (4.2 %). The genotype HPV 33 included in the HPV vaccine was not identified in the women in our study. Conclusion and application of finding: this type of study, which is the first one in Garango, has showed a high prevalence of genotype HPV 56 which is not yet covered by a vaccine. These results constitute a scientific contribution to the epidemiology and distribution of the HR-HPV genotypes and will help guide our health policies towards better prevention of cervical cancer. Keywords: High-Risk Human Papillomavirus, real time PCR, genotypes, women, Garango


Author(s):  
A. Holm ◽  
A. Allard ◽  
I. Eriksson ◽  
G. Laurell ◽  
K. Nylander ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 143 (12) ◽  
pp. S323
Author(s):  
M. Karray ◽  
N. Abdelhedi ◽  
M. Ben Moussa ◽  
S. Youssef ◽  
N. Doss

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