population rurale
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2021 ◽  
Vol 39 ◽  
Author(s):  
Lantonirina Ravaoarisoa ◽  
Mamy Jean Jacques Razafimahatratra ◽  
Hanitriniaina Rasolofozafy ◽  
Dolorès Pourette ◽  
Jean De Dieu Marie Rakotomanga ◽  
...  

2021 ◽  
Author(s):  
Paul Latham ◽  
Augustin MbutaKonda ku Mbuta ◽  
Jean-Luc Alliez

Les végétaux et leurs produits sont de la première importance pour la vie de la population rurale de l’Afrique. Localement, ils sont couramment utilisés pour la construction, la fabrication des outils, l’emballage, comme aliments et médicaments, pour nourrir le bétail et pour la protection des cultures et des terres. Aussi, les insectes comestibles constituant une part importante de l’alimentation dans une grande partie de l’Afrique, se nourrissent de certaines plantes. Les abeilles récoltent le nectar et le pollen pour produire le miel qui est très apprécié par la population et s’avère être une précieuse source de revenus dans la province. La connaissance des utilisations et même des noms locaux de nombreuses de ces plantes est entrain de se perdre. Cette publication fournit des informations recueillies localement, ainsi que de la littérature disponible, pour plus de 800 plantes poussant dans la province du Kongo central en République Démocratique du Congo. Le but de ce livre est d’encourager la plantation et la conservation des plantes au Kongo Central, province de la République Démocratique du Congo. La plupart des plantes citées sont également présentes dans plusieurs pays en région tropicale humide d’Afrique. Il est à espérer que ce livre sera utile aux fermiers, aux guérisseurs, aux étudiants et aux diverses catégories de personnes vivant en milieu rural. Le volume 1 couvre les espèces Abelmoschus esculentus à Leptaspis zeylanica. Le volume 2 contient Leptoderris congolensis à Zinnia angustifolia.


2020 ◽  
Vol 16 (5) ◽  
pp. 252
Author(s):  
G. Gbaguidi ◽  
C.Y. Houehanou ◽  
S.A. Amidou ◽  
J. Vigan ◽  
D.S. Houinato ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 10 (1) ◽  
pp. 91-97
Author(s):  
F Sidibé

Introduction : Au Mali, la prévalence au VIH est estimée à 1,1% dans la population générale. Il existe plusieurs défis en matière d'offre de dépistage. L'objectif était d'évaluer l'acceptabilité d'un dépistage sérologique du VIH dans une population rurale basée sur l'utilisation des tests rapides par les Agents de Santé Communautaire dans 8 villages de la commune rurale de Sirakorola au Mali.. Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude transversale descriptive, reposant sur les Agents de Santé Communautaire (ASC), délivrant des soins de santé au niveau communautaire. Résultats : En 2 mois nous avons couvert 70% des ménages de 8 villages avec un taux d'adhésion des ménages à la stratégie de 97%. Sur un total de 1238 sujets testés, 99,1% avait accepté le test, parmi ces derniers, 97,7% étaient primo-testant. Nous avons dépisté 6 cas positifs (5 femmes et 1 homme) qui étaient tous pour la première fois soumise à un de dépistage. Conclusion : Cette étude contribuera à l'atteinte du premier objectif de l'initiative 90-90-90 OMS/ONUSIDA pour 2020, soit 90% des PVVIH qui connaissent leur statut sérologique.


2020 ◽  
Vol 29 (1) ◽  
pp. 1-7
Author(s):  
Lawrence Desrosiers ◽  
Bruno Jean

Notre analyse de l’évolution de la démographie rurale québécoise, basée sur des données objectives,permet d’illustrer des réalités souvent méconnues ou mal perçues, par exemple la croissance globalement positive de la population vivant en milieu rural. Nous proposons ici une typologie originale des milieux ruraux qui permet de mieux faire ressortir la dynamique des évolutions démographiques rurales. Dans un deuxième temps, nous étudions l’évolution des migrations selon cette typologie, qui illustre un ralentissement significatif de ce qu’on appelle l’exode rural et le ralentissement du pouvoir d’attraction de Montréal. Finalement, le vieillissement de la population rurale, avec maintenant plus de décès que de naissances, devient un facteur décisif de l’évolution de la démographie rurale du Québec.


2020 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 452-464
Author(s):  
Tahirou Hawey ◽  
Lawali Sitou ◽  
Abdou Maman Manssour ◽  
Idrissa Soumana ◽  
Moussa Massaoudou ◽  
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Au cours des dernières décennies, le Niger a subi des nombreux aléas climatiques qui ont pour conséquences une diminution de la production agricole et une recrudescence des crises alimentaires et nutritionnelles. L’objectif de cette étude, vise à analyser le lien entre l'insécurité alimentaire nutritionnelle et les risques pluviométriques. La méthodologie utilisée est surtout basée sur des enquêtes (entretiens en groupe et entretiens individuels) dont les populations cibles sont celles des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri. Les résultats relèvent qu’il existe une différence significative entre les précipitations des trois régions. Les résultats, ont aussi, montré que les deux risques pluviométriques sont : les sécheresses et les inondations. Mais, au vu de la population rurale, les sécheresses impactent beaucoup négativement sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle car elles engendrent une diminution de la production céréalière et une augmentation des prix des céréales locaux. La sécheresse contribue fortement au déterminisme de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger.Mots clés : Risques, sécheresse, inondation, sécurité alimentaire et nutritionnelle. English Title: Rainfall risks, source of food and nutritional insecurity in Niger In recent decades, Niger has suffered from numerous climatic hazards which have resulted in a decrease in agricultural production and a resurgence of food and nutrition crises. The objective of this study is to analyze the link between nutritional food insecurity and rainfall risks. The methodology used is mainly based on surveys (group interviews and individual interviews) whose target populations are those of the regions of Maradi, Tahoua and Tillabéri. The results show that there is a significant difference between the precipitation in the three regions. The results also showed that the two rainfall risks are: droughts and floods. However, in view of the rural population, droughts have a very negative impact on food and nutrition security because they cause a reduction in cereal production and an increase in local cereal prices. Drought contributes significantly to the determinism of food and nutritional insecurity in Niger.  Keywords: Risks, drought, flood, food security and nutritional.


2019 ◽  
Vol 20 (2) ◽  
pp. 323-341
Author(s):  
Abdellatif Moussouni ◽  
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Ammaria Metri ◽  
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Dans le cadre de l’étude de la diversité socio-culturelle des différentes populations de l'ouest-algérien ainsi que la recherche de de leurs liens de parenté, le présent travail porte sur l'étude de la consanguinité au sein de la population rurale de Sabra (Tlemcen). Il a pour objectif de décrire la perception des mariages consanguins, déterminer l'interaction entre le statut social et la prévalence de la consanguinité, et d’analyser les facteurs associés aux pratiques des unions consanguine. Les résultats ont mis en évidence une proportion élevée de consanguinité de 33,33%. Ils ont montré également, une légère préférence pour les mariages entre apparentés du second degré. De plus, la structure socio-culturelle et anthropologique des unions consanguines, depuis plusieurs générations et aujourd’hui, demeure une pratique sociale normative et courante dans notre population. L’analyse des corrélats sociaux a enregistré un effet significatif protecteur par rapport à deux variables explicatives en association avec le choix des mariages consanguins, il s'agit bien du lieu de résidence durant l'enfance (en dehors de Sabra) et la deuxième classe d'âge au moment du mariage (20-29 ans). Bien que, cette analyse n’a révélé aucune relation étroite entre ces variables explicatives et l’adoption de cette forme matrimoniale chez les sujets de notre population, la probabilité de pratiquer un mariage consanguin ne pourrait pas être aléatoire. Elle dépendrait d’autres facteurs de l’ordre économiques, socio- culturelles, démographiques et géographiques.


2019 ◽  
Vol 341 ◽  
pp. 3
Author(s):  
Regis Peltier

Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.


Author(s):  
Vivian Howard ◽  
Heather Reid

Urban public library systems have been the primary focus of study for community engagement and community-led approaches. Nova Scotia is largely rural and sparsely populated, with a dwindling and aging rural population. This presentation examines how community engagement can connect Nova Scotia’s rural public libraries with their communities. Les systèmes de bibliothèques publiques urbaines ont été le principal objet d’investigation pour l'étude de l'engagement communautaire et des approches à visée communautaire. La Nouvelle-Écosse est essentiellement rurale et peu peuplée, avec une population rurale en déclin et vieillissante. Cet article examine comment l'engagement communautaire peut établir la connexion entre les bibliothèques publiques rurales de la Nouvelle-Écosse et leurs communautés.


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