L’enclouage élastique intramédullaire améliore-t-il le résultat du fixateur externe dans le traitement des fractures ouvertes de jambe ? Une étude prospective comparative

2013 ◽  
Vol 99 (2) ◽  
pp. 172-173
Author(s):  
C. Ertürk ◽  
M.A. Altay ◽  
A. Bilge ◽  
N. Altay ◽  
U.E. Isikan
2005 ◽  
Vol 62 (2) ◽  
pp. 145-151 ◽  
Author(s):  
Sommer ◽  
Bereiter

Minimal-invasive Osteosynthesen (MIO) sollten heutzutage ins Repertoire jedes unfallchirurgisch tätigen Operateurs gehören. Entsprechend dem Bestreben jedes Chirurgen, dem Patienten durch den Eingriff selbst möglichst wenig Zusatzschaden beizufügen, stellt die Reduktion des Ausmaßes der Invasivität eine logische Entwicklung dar. Der Begriff «MIO» umfasst folgende Kriterien: Frakturzone nicht freigelegt, Reposition durch indirekte Manöver oder perkutan via Joysticks, kleine Zugänge zur Applikation der Implantate, intraoperative Überprüfung der Reposition und Implantatlage mittels Bildgebung (Röntgen-Bildverstärker, Arthroskopie, Endoskopie, etc.). Schon lange vor der Definition der sogenannt «minimal-invasiven Chirurgie» wurden Frakturen mit gewissen Techniken versorgt, die eigentlich dem Begriff der «Minimal-Invasivität» vollumfänglich gerecht werden, wie z.B. Stabilisierungen mittels Fixateur externe oder geschlossenem Marknagel. In den 90er Jahren des 20. Jahrhunderts erfolgten dann erste Operationen mit «eingeschobenen Platten», einer Technik, die sich in den letzten fünf Jahren unter dem Begriff MIPO (minimal-invasive Plattenosteosynthese), insbesondere dank der neuen winkelstabilen Schrauben-Plattensysteme LISS und LCP, weiter verbreitet hat. Klares Hauptproblem der MIO ist und bleibt die Frakturreposition (kein direktes offenes Manipulieren möglich) mit ihrer intraoperativen Überprüfung (keine direkte Visualisierung). Die Balance zwischen Ausmaß der Invasivität und erreichter Qualität der Reposition und Stabilität ist oft schwierig zu finden und muss von multiplen Faktoren (Frakturlokalisation und -typ, lokale Weichteilsituation, Knochenqualität, Patientenalter und -ansprüche, vorhandene Implantate, Erfahrung des Chirurgen, etc.) abhängig gemacht werden. Neue Technologien wie verbesserte Bildgebung, intraoperative Navigation und perkutane Repositionshilfen werden dazu beitragen, die Invasivität eines operativen Eingriffes auch in der Frakturversorgung weiter reduzieren zu können.


Swiss Surgery ◽  
2001 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 76-81 ◽  
Author(s):  
Borens ◽  
Mouhsine ◽  
Chevalley

Un collectif de neuf patients traités par enclouage centro-médullaire rétrograde d'une fracture diaphysaire de l'humérus a été étudié avec un recul moyen de 15.3 mois. Six patients avec fracture de l'humérus sans lésion neurologique montrent une bonne mobilité de l'épaule et du coude lors du dernier contrôle. Les trois autres souffrent de séquelles de leur lésion nerveuse traumatique et ont une mobilité restreinte non-liée à l'intervention chirurgicale. Lors de l'opération et en postopératoire aucune complication neurologique conséquente au type d'implant n'a été observée, à l'exception d'une lésion intraopératoire du nerf radial qui a été provoquée lors de la réduction en traction forcée de la fracture et qui a récupéré complètement lors du dernier contrôle. Une fracture iatrogène de l'humérus n'a pas été rencontrée. Toutes les fractures ont consolidé sans réintervention sauf chez un patient avec lésion plexuelle et plégie du membre supérieur complète et lésion artérielle qui a évolué vers une pseudarthrose atrophique. Cette dernière a été traitée par greffe osseuse et plaque. Le clou rétrograde de l'humérus est un bon implant et doit être considéré dans nos plans de traitement au même titre que le traitement orthopédique ou chirurgical par plaque, par clou antérograde ou fixateur externe afin de faire profiter le patient du traitement le mieux adapté à sa fracture.


Praxis ◽  
2020 ◽  
Vol 109 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Martin Preisig ◽  
Marie-Pierre F. Strippoli ◽  
Caroline L. Vandeleur

Résumé. PsyCoLaus, comportant une investigation de la santé mentale et du fonctionnement cognitif, vise à déterminer la prévalence et l’évolution des troubles mentaux et à étudier les mécanismes qui sous-tendent l’association entre ces troubles et les maladies cardiovasculaires. Cette investigation a mis en évidence un taux de prévalence vie-entière très élevé de 43,6 % pour les troubles dépressifs majeurs à Lausanne. Nous avons également observé que l’association entre la dépression et les facteurs de risque cardio-métaboliques est essentiellement attribuable au sous-type de dépression atypique, caractérisé par une augmentation de l’appétit, une lourdeur dans les membres, une hypersomnie et une réactivité affective conservée. Les patients présentant ce type de dépression ont un risque élevé de développer du surpoids, du diabète et un syndrome métabolique et méritent une attention particulière au niveau métabolique.


2020 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 75-82 ◽  
Author(s):  
Meriem Bouchareb ◽  
Mourad Bouaziz ◽  
Mahfoud Djebien ◽  
Mouhamed Saidani
Keyword(s):  

Contexte et problématique : De nombreux travaux ont aujourd’hui parfaitement établi l’intérêt de la simulation pour le développement des capacités opératives. Dans le contexte des pays à économie émergente tels que l’Algérie, diverses contraintes liées à la disponibilité et à la pérennité des ressources, matérielles ou humaines, peuvent obérer le développement des programmes de simulation. Il reste donc essentiel de vérifier que les dispositifs de formation recourant à la simulation tiennent toutes leurs promesses dans de tels contextes. Objectifs : Comparer les apprentissages procéduraux et comportementaux liés à la gestion des voies aériennes, sur un patient réel, de résidents respectivement formés dans le cadre de dispositifs recourant à la simulation ou par la méthode expérientielle traditionnelle. Méthodes : Etude prospective contrôlée, comparant deux groupes de 30 résidents en anesthésie-réanimation, de première année au centre hospitalo-universitaire d’Annaba (Algérie). Un groupe a reçu une formation en gestion des voies aériennes par simulation. Le deuxième a suivi une formation classique, par entraînement sur patient réel. Les résidents étaient testés sur leurs performances, observées sur un malade réel (niveau 3 selon l’échelle de Kirkpatrick). Résultats : Le groupe « enseignement par simulation » a obtenu des scores significativement supérieurs à ceux du groupe « enseignement classique » dans 7 des 10 étapes de gestion des voies aériennes. Conclusion : L’enseignement par simulation peut être intégré dans le cursus de formation des résidents en anesthésie-réanimation dès la première année. Il optimise l’apprentissage des capacités dans des conditions plus sûres pour les patients. Certaines stratégies permettent d’en limiter le coût.


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