Patrick Gautier Dalché, Marie-Rose Bonnet and Philippe Rigaud, eds. and trans., Bertrand Boysset, Chronique. Textes vernaculaires du Moyen Age 20. Turnhout: Brepols, 2018.

Mediaevistik ◽  
2020 ◽  
Vol 32 (1) ◽  
pp. 540-541
Author(s):  
Wendy Pfeffer

Bertran Boysset’s fame has been on the rise in recent years, as his multiple works have been brought to the attention of scholars and to the general public. Born between 1345 and 1350, Boysset lived his life in Arles, France, where he worked as a surveyor, invested in the fishing industry, owned vines, and composed several original works in Occitan, including a saint’s life, a manual for surveyors, and this chronicle. He died in 1415 or 1416. As Patrick Gautier Dalché observes, Boysset’s œuvre demonstrates a literary, scientific, and technical education that is wide-ranging (17). Responsible for the illustrations in his texts, he was also a talented artist (20).

PMLA ◽  
1906 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 279-434 ◽  
Author(s):  
William Wistar Comfort

“Le moyen age forme un anneau indispensable dans la chaîne de la transmission littéraire à travers les siècles.”—Gaston Paris, Cosmopolis, Sept., 1898.Three-quarters of a century has elapsed since the mediæval epic literature of France first attracted the attention of scholars. This interval has been marked by an uninterrupted succession of texts discovered and edited. The value of these texts to the student of language is great; their value to the historian of politics and society is considerable; but their literary bearing has not been sufficiently emphasized. To this day the general public has but a vague idea of the character and significance of that national epic of which the Chanson de Roland is the highest expression and which Léon Gautier strove so bravely to render popular. The mediæval literature of France has not yet completely recovered from the reputation of vulgarity given to it by the Renaissance.


Moreana ◽  
2003 ◽  
Vol 40 (Number 153- (1-2) ◽  
pp. 143-158
Author(s):  
Marie-Claire Phélippeau
Keyword(s):  

L’article a pour but de décrire l’œuvre de More : The Last Things, à l’occasion de sa première traduction en français. Il analyse les différentes caractéristiques du traité et en rattache la filiation au Moyen Age, par certains aspects, et à la Renaissance par certains autres. L’originalité de More est mise en évidence : elle réside à la fois dans la forte cohérence du discours, dans son éloquence avérée, ainsi que dans le caractère pastoral de l’œuvre.


Hawliyat ◽  
2018 ◽  
Vol 9 ◽  
pp. 69-79
Author(s):  
François Clément
Keyword(s):  

L'étude des sociétés anciennes n'est pas sans évoquer le travail du paléon- tologue. De même que celui-ci doit se contenter, pour comprendre ce qui fut un être vivant, d'ossernents la plupart du temps en désordre, l'historien ne dispose que de matériaux squelettiques, de la carcasse du passé. La recherche sur l'Islam médiéval n'y échappe pas. Annales et chroniques, géographies, listes bio-biblio- graphiques, aussi riches soient-elles, ne sont, pour l'essentiel, qu'une collection de dates, de toponymes, de distances, de filiations, le tout sous une forme suc- cincte et dans un état de conservation trop souvent fragmentaire. S'il s' agit sim- plement d'établir une chronologie, ou d'ébaucher une histoire des États, cela suffit sans doute. Quant à une histoire des vivants, c'est une autre affaire. Bien sûr, on entrevoit les gens, leurs habitudes, leurs gestes, grâce aux recueils de jurisprudence, aux manuels de bisba, à une notation ici ou là, au détour d'un récit, d'un poème, et l'on éprouve alors une satisfaction comparable à celle du fouilleur découvrant une empreinte de tégument ou la griffure d'une glissade. Ce n'est pas encore la vie, certes, mais on s'en approche. L'archéologie permet de faire quelques pas supplémentaires. Hélas, il faut dans tous les cas se rendre à l'évidence : aussi minutieuse soit l'enquête, on aboutit toujours à une maison vide.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document