scholarly journals Focus on the management of osteoporosis

2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 66-71
Author(s):  
Jihane Ifezouane ◽  
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Fadoua Berdi ◽  
Yasmina Tadlaoui ◽  
Soufiane EL Marrakchi ◽  
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L’ostéoporose est une maladie fréquente, liée à l’âge. Elle touche préférentiellement les femmes notamment après la ménopause. Près d’une femme ménopausée sur deux sera victime d’une fracture liée à l’ostéoporose, C’est une pathologie qui est largement sous-estimée dans la population générale. L'ostéoporose rend les os poreux et plus fragiles et augmente ainsi le risque de fracture à la moindre chute ou choc. Elle peut évoluer en l’absence de prise en charge adéquate vers des fractures qui peuvent être graves pouvant entraîner une grande perte d’autonomie voire le décès. La prise en charge de cette pathologie comporte 3 axes, des mesures hygiéno-diététiques, une correction d’un déficit vitamino-D-calcique, et des traitements médicamenteux spécifiques de l’ostéoporose. L’objet de notre travail est de compiler à travers une revue de la littérature les connaissances actuelles les plus pertinentes concernant l’ostéoporose, que ce soit en ce qui concerne ses facteurs de risques, que ses conséquences cliniques en termes de morbimortalité, son coût socio-économique. Il est aussi question ici de faire une revue des traitements efficaces, et de sensibiliser sur l’ostéoporose et ses conséquences auprès de la population et des professionnels de santé. Mots clés : Ostéoporose, Fracture, Densitométrie osseuse, Recommandations, Anti-ostéoporotiques

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S52-S52
Author(s):  
P. Hardy ◽  
A.L. Penchaud ◽  
B. Lavigne ◽  
M. Lardinois

L’internat est une période de stress chronique élevé pour les étudiants en médecine qui doivent relever le défi d’apprendre à travailler en équipe, de devenir des médecins compétents, responsables et empathiques, dans un climat parfois compétitif. Les premières études analysant la prévalence des troubles psychiatriques chez les internes dans les années 1960 retrouvaient une prévalence de la dépression d’environ 30 %. Des travaux récents retrouvent des taux identiques ainsi qu’une augmentation significative de la prévalence du burn-out et des symptômes anxieux au cours de l’internat . Cependant, il semblerait que les internes souffrant de troubles psychiatriques se tournent peu vers les professionnels de santé , alors même que l’aggravation des symptômes retentit sur leur fonctionnement, notamment professionnel. Actuellement, il n’existe pas en France de recommandation claire quant à la prise en charge médicale et universitaire des internes en souffrance psychique, malgré des résultats encourageant d’interventions individuelles ou groupales . L’Association française fédérative des étudiants en psychiatrie a donc mené une enquête auprès des représentants des internes en psychiatrie de chaque subdivision et des coordonnateurs locaux du diplôme d’études spécialisées (DES) de psychiatrie. Ce travail, présenté pour la première fois, a pour but de décrire les dispositions médicales et universitaires prises pour les internes en souffrance et celles souhaitées. L’objectif final de cette étude est d’élaborer des recommandations nationales et consensuelles aidant à la prise en charge spécifique de ces étudiants. Le professeur Hardy apportera son regard avec sa double expertise de coordonnateur du DES de psychiatrie de Paris-IDF et de psychiatre intéressé par les troubles affectifs et les facteurs de risques psychosociaux. L’approche sociologique de Madame Penchaud viendra enrichir cette session où elle présentera une revue de la littérature en sciences sociales sur les motivations présidant au choix de la filière psychiatrique et proposera une analyse compréhensive de l’expérience et l’apprentissage professionnel des internes en psychiatrie.


Author(s):  
Pascale Lafitte ◽  
Benoît Pétré ◽  
Xavier de la Tribonnière ◽  
Rémi Gagnayre

Introduction : La pandémie mondiale liée au COVID-19 a eu entre autres pour conséquence le confinement de la population générale en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer. Cette situation a modifié l’organisation des soins, mettant l’accent sur la lutte en urgence contre l’épidémie. Les patients malades chroniques, plus à risque de développer une forme grave d’infection au virus, ont vu leur prise en charge en soins et éducative bouleversée pour cela les professionnels de santé ont dû adapter leurs pratiques d’ETP. Objectifs : L’objectif de cette étude est d’une part, de décrire les modifications des programmes d’ETP survenues pendant cette période de confinement et d’autre part de préciser dans quelles mesures les professionnels ETP ont développé des interventions spécifiques sur la prévention du COVID-19. Méthodes : Il s’agit d’une enquête par questionnaire, réalisée durant la période de confinement, du 13 mars au 11 mai, auprès des coordonnateurs de programmes d’ETP autorisés en France métropolitaine et départements d’outre-mer, accessible sur le site Internet de la SETE. Le questionnaire comportait 14 questions, de type fermé avec choix de réponses, mixtes et ouvertes. Les réponses aux questions fermées ont été traitées via le logiciel Excel©, les autres ont fait l’objet d’une analyse de contenu, relevant ainsi d’une méthode mixte intégrant quantitatif et qualitatif. Résultats : 410 coordonnateurs de programmes ou d’UTEP ont répondu à l’enquête, recouvrant un total de 714 programmes représentant 16 % des 4500 programmes autorisés en France. 70% ont été complètement interrompus, 29 % ont vu leurs activités poursuivies en y apportant des modifications. Des activités ponctuelles de prévention du COVID-19 ont été réalisées pour 11 % des programmes. La grande majorité des activités d’ETP collectives ont été abandonnées au profit de séances individuelles intégrées aux soins, conduites à distance faisant appel au téléphone et à des solutions numériques diverses. Discussion : L’ETP semble non prioritaire dans les structures de soins -redéploiement des professionnels dédiés, fermeture des UTEP… La personnalisation des parcours et le maintien d’un suivi éducatif apparaissent alors comme une nécessité pour pallier aux difficultés imposées par la situation d’urgence. Des adaptations numériques ont souvent été utilisées, soulevant des questions d’illectronisme pour les patients, de moyens matériels pour les équipes, de leurs compétences à conduire une pédagogie du numérique. Conclusion : Cette enquête témoigne de la fragilité de l’ETP et du faible niveau d’importance qu’on lui a accordé pendant la crise sanitaire appelant des soins classiques. Si la notion de programme n’est pas remise en question, les possibilités d’adaptation sont envisagées en accordant plus de place aux activités d’éducation thérapeutique plus pertinentes pour assurer le suivi éducatif personnalisé. Ces résultats devraient être complétés par des études sur l’expérience vécue par les patients pendant cette crise au prisme de leur éducation ou de leur absence d’éducation.


2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 122-136
Author(s):  
L. Baussard ◽  
F. Cousson-Gélie ◽  
I. Nicklès

Objectif : Les études qui s’interrogent sur l’efficacité des interventions non médicamenteuses, dans la prise en charge de la fatigue associée au cancer, comprennent le plus souvent des sessions d’activités physiques adaptées ou des prises en charge psychologiques. Parmi elles se trouve l’hypnose, mais elle est principalement proposée en combinaison avec une autre thérapie, limitant une interprétation en termes d’efficacité. À travers cette revue de la littérature, nous voulons comprendre quelle est la place de l’hypnose pour la prise en charge de la fatigue associée au cancer. Méthode : Nous avons recherché les articles scientifiques indexés dans les bases de données Cochrane, PsycINFO, Pubmed et Web of Science. Les principaux mots clés étaient « fatigue », « cancer » et « hypnosis ». La qualité méthodologique des études a été évaluée. Résultats : Quatre-vingt-deux études ont été recensées. Après sélection, 11 études ont été retenues à la lecture. Les résultats sur l’efficacité de l’hypnose seule (non combinée à une autre thérapie) ont porté sur 6 études. Bien qu’il faille distinguer l’hypnose délivrée par autrui, de l’autohypnose par audioenregistrement, nos résultats indiquent que 4 études rapportent une efficacité significative de l’hypnose pour réduire la fatigue des patients soignés pour un cancer. Conclusion : Au niveau international, trop peu d’études évaluent l’efficacité de l’hypnose en oncologie. Ainsi, sur un symptôme spécifique comme la fatigue, les études se font encore plus rares. De plus, il est difficile d’évaluer l’efficacité d’une méthode pour laquelle l’homogénéisation de la procédure est difficile à mettre en place. Cependant, au regard de cette étude, l’hypnose présente un réel intérêt et une efficacité dans la réduction des symptômes de fatigue.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 88-88
Author(s):  
A. Hajri ◽  
W. Homri ◽  
S. Ben Alaya ◽  
S. Charradi ◽  
R. Labbane

Introduction.La sectorisation en psychiatrie réalise l’organisation administrative gérant la maladie mentale et les répartitions des structures de soins de santé mentale. Elle est née en France en 1960 sous l’action de psychiatres désaliénistes et elle a réalisé un effondrement de l’asile psychiatrique en faveur d’une structure de soins communautaire.Objectif.Évaluer l’apport et les limites de la sectorisation instaurée en Tunisie en 2000.Méthodologie.Revue de la littérature en utilisant les mots clés : « sectorisation », « psychiatrie ».Résultats.La sectorisation a réalisé une désinstitutionalisation progressive ; elle a favorisé la prise en charge dans des structures de soins régionales ce qui a permis d’éviter la chronicisation des patients en institution fermée. Ceci a contribué considérablement à la lutte contre la marginalisation du malade mental, lui offrant une meilleure qualité de vie et une meilleure insertion sociale. Par ailleurs, un tel système réalise une proximité de soins et par conséquent un bénéfice en matière de précocité du traitement. Il cible une meilleure continuité des soins ce qui réduit le nombre de nouvelles admissions. Toutefois, la sectorisation soulève encore quelques contestations. En effet, les secteurs géographiques se caractérisent par d’importantes disparités en matière de ressources matérielles et humaines. Par ailleurs, ce système réalise une contrainte par rapport à la possibilité par le patient de choisir librement son médecin traitant ou l’hôpital de référence (les limites géographiques sont parfois interprétées abusivement).Conclusion.La sectorisation a réalisé une révolution dans l’histoire de la psychiatrie en termes de lutte contre la stigmatisation du malade mental. Encore faut-il réviser certaines modalités afin que ce système s’adapte au mieux à la demande de soins.


2020 ◽  
pp. 50-71
Author(s):  
Olivier Duris

Les nouvelles technologies sont aujourd’hui reconnues comme des outils novateurs très intéressants pour accompagner le clinicien dans la prise en charge thérapeutique des enfants autistes. Ce constat est fait depuis de nombreuses années, déjà, à propos des outils numériques, et notamment des jeux vidéo et des tablettes tactiles. Toutefois, l’intérêt de certains chercheurs ou professionnels de santé se porte également aujourd’hui vers les robots sociaux, qu’ils soient humanoïdes ou animaloïdes, en tant qu’outils de médiation thérapeutique. Partant de ce constat, nous avons mis en place, depuis 2014, différents ateliers à médiation numérique et robotique dans notre Hôpital de Jour pour enfants (André Boulloche, association CEREP-Phymentin). À travers le cas de Nathan, autiste de 9 ans ayant suivi, pendant un an, une thérapie à médiation numérique puis, l’année suivante, une thérapie à médiation robotique, nous tenterons de montrer en quoi ces prises en charge thérapeutiques ont permis à cet enfant de mettre en place différentes stratégies lui permettant d’entrer en relation avec son thérapeute, puis avec les autres sujets présents autour de lui. Mots clés


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 589-590
Author(s):  
I. Secret-Bobolakis

RésuméLes personnes souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire ont des taux de mortalité deux fois plus élevé que la population générale, tant de cause naturelle que non naturelle (accidentelle, suicide et iatrogénie).L’état de santé physique de ces patients est resté trop longtemps méconnu par les psychiatres et les médecins généralistes. Il est nécessaire de repérer les troubles somatiques chez ces patients et d’améliorer leur prise en charge thérapeutique. La Fédération française de psychiatrie à la demande de l’HAS a élaboré des recommandations de pratique clinique : comment améliorer la prise en charge somatique des patients ayant une pathologie sévère et chronique.Nous allons présenter une synthèse de ces recommandations en développant plus particulièrement les modalités de prise en charge des troubles somatiques concernant essentiellement les facteurs de risques cardiovasculaires et le syndrome métabolique. Nous présenterons l’évaluation globale en cours d’hospitalisation et les préconisations en matière de soins ambulatoires, la place de la famille et des aidants dans l’accompagnement, la prévention des troubles somatiques et le repérage dans le lieu de vie, la coordination des intervenants autour du patient, le repérage, la prise en charge et la prévention des conduites addictives et nous conclurons sur les perspectives en termes de formation.


2015 ◽  
Vol 2 (1) ◽  
pp. 50-55
Author(s):  
Mahfoud Cherif Benmoussa ◽  
◽  
Riad Grari ◽  
Rawda Sari Hamidou ◽  
Mustapha Benmansour

La maladie rénale chronique augmente le risque de morbi-mortalité. Le diagnostic est aisé mais rétrospectif, les facteurs de risques sont codifiés et ainsi que les principales cibles thérapeutiques. L’épigénome, interface entre le génome et le phénotype, semble attiser l’attention de la médecine moderne pour établir de nouvelles méthodes diagnostiques précoces et adopter une prise en charge personnalisée pour une meilleure efficience. Mots-clés : maladie rénale chronique, génétique, épigénétique, facteur de risque, cardiovasculaire.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 589-589
Author(s):  
J.-J. Laboutière

Les personnes souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire ont des taux de mortalité plus élevés que la population générale, tant de cause naturelle que non naturelle (accidentelle, suicide et iatrogénie).La Fédération française de psychiatrie à la demande de l’HAS a élaboré des recommandations de pratique clinique : comment améliorer la prise en charge somatique des patients ayant une pathologie sévère et chronique.Nous allons présenter une synthèse de ces recommandations en développant plus particulièrement les modalités de prise en charge des troubles somatiques concernant essentiellement les facteurs de risques cardiovasculaires et le syndrome métabolique.La réhabilitation du corps dans la prise en charge de l’autisme s’impose peu à peu, d’ autant plus que des connaissances nouvelles en psychologie cognitiviste (corpus de Laurent Mottron) et en physio-psychologie (corpus d’André Bullinger) modifient considérablement la compréhension des troubles autistiques dès la petite enfance. La sexualité envahit à l’adolescence un terrain déjà fort troublé. Des lors, la psychiatrie doit progresser dans le diagnostic différentiel des troubles du comportement à cet âge, entre ce qui relève de l’autisme et ce qui appartient à ses comorbidités psychiatrique et somatique.Les pratiques intégratives en pédopsychiatrie pour des enfants prennent en compte le corps et en particulier le domaine sensori-moteur. Nous développerons le processus d’évaluation et les interventions thérapeutiques et éducatives qui en découlent. Nous vous exposerons ces éléments à travers la recherche portant sur l’évaluation de ces pratiques que la FFP-CNPP débute avec le soutien de la DGOS par l’intermédiaire d’un PREPS.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 9-9
Author(s):  
S. Ben Alaya ◽  
W. Homri ◽  
A. Harbaoui ◽  
A. Hari ◽  
R. Labbene

IntroductionLes sujets à personnalité dépendante sont assez souvent victimes de maltraitance physique émanant dans la majorité des cas de leurs proches. Cependant, cette maltraitance reste longtemps tolérée par le sujet afin de ne pas rompre le lien de dépendance. ObjectifMettre en exergue l’association entre ce type de trouble de la personnalité et la tolérance à la maltraitance infligée par leurs proches.MéthodologieRevue de la littérature par recherche sur la base de données « Science direct », via les mots clés « Dependant personality » « Violence » « Abuse », illustrée par un cas clinique.RésultatsIl s’agit de M. A.R., âgé de 59 ans sans antécédent notable, marié, père d’un fils âgé de 27 ans, suivi dans notre service pour trouble dépressif majeur avec caractéristiques psychotiques sur une personnalité dépendante. Lors des hospitalisations nous avons constaté la présence de traces de maltraitance physique, ce n’est qu’après plusieurs entretiens que le patient avoue qu’il subissait continuellement la violence physique et la maltraitance de la part de sa femme et de son fils. Après revue de la littérature, nous avons constaté que les sujets ayant une personnalité dépendante auraient tendance à être agressés plus fréquemment par leurs proches, de manière répétée. Il s’agit d’une population à risque capable de supporter longtemps la violence émanant d’un proche de peur de perdre son soutien et son approbation, maintenant ainsi le lien de dépendance. ConclusionLa personnalité dépendante est un trouble de la personnalité relativement fréquent mais les sujets ne consultent généralement pas pour leur trouble, il s’agit d’une population vulnérable et silencieuse souvent sujette à la maltraitance qu’il faudrait savoir dépister afin d’entamer une prise en charge adaptée. Cependant, il n’existe que peu de travaux relatifs traitant de ce sujet.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 555-556
Author(s):  
P. Thomas

Le trouble de personnalité borderline (TPB), ou état limite, est le plus fréquent des troubles de la personnalité. Il touche en effet 0,5 à 6 % de la population générale, 10 % des patients suivis en ambulatoire et jusqu’à 50 % des patients hospitalisés en psychiatrie. Le TPB présente un taux de suicide pouvant atteindre 10 % [1]. Pour les professionnels de santé mentale, cette pathologie souffre d’une image parfois négative, et suscite d’importants questionnements concernant le flou qui entoure son diagnostic et son étiopathogénie, la gravité et l’instabilité des symptômes, les difficultés de prise en charge et les relations particulières que ces patients tendent à nouer avec les soignants et les institutions. Pourtant, le TPB est un trouble bien défini avec des critères précis. De plus, la recherche se développe au niveau clinique, neurobiologique et psychothérapeutique et permet de réaliser des avancées importantes dans la compréhension et la prise en charge de ce trouble [2]. Ce symposium a pour objectif de présenter différents aspects des avancées réalisées dans le TPB. Au niveau clinique, la présence hallucinations chez les patients présentant un TPB est un phénomène encore mal reconnu et peu étudié. Pourtant ces hallucinations, principalement acoustico-verbales, sont retrouvées chez environ 30 % des patients atteint de TPB, et les recherches à leur sujet révèlent des pistes intéressantes pour la pratique clinique [3]. Au niveau étiopathogénique, il existe de nombreux arguments en faveur d’une interaction gène-environnement dans la genèse du TPB. Les pistes actuelles dans ce domaine correspondent à l’étude de nouveaux gènes candidats (axe du stress), au couplage de méthodes et à l’utilisation du concept de gène de plasticité plutôt que de gènes de vulnérabilité [4]. Finalement, les traitements et le développement de techniques psychothérapeutiques spécifiques au TPB ont permis une nette amélioration dans sa prise en charge.


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