maladie cardiovasculaire
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2021 ◽  
Vol 82 (5) ◽  
pp. 266-267
Author(s):  
E. Patorno ◽  
H. Tesfaye ◽  
D.J. Wexler ◽  
R.J. Glynn ◽  
M. Najafzadeh ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 11 (1) ◽  
pp. 107-111
Author(s):  
Ténin Traoré

Introduction : Comme tout vaccin, ceux contre la COVID-19 peuvent provoquer des effets indésirables appelés Manifestations Adverses Post Immunisation (MAPI)  ou manifestations post vaccinale indésirables. La MAPI ou manifestation post vaccinale indésirable est défini comme tout incident médical fâcheux qui suit la vaccination. L’objectif était d’investiguer un cas de MAPI avec décès. Méthodologie : C’était une étude descriptive qui s’est déroulée le 21 mai 2021 en Commune 6 du District de Bamako. Elle fait suite à la notification d’un cas de MAPI grave avec décès en Commune 6 de Bamako lors d’une consultation au cabinet médical Sorila. Résultats : Il s’agissait du cas de Monsieur MR, âgé de 59 ans, avec des antécédents d’hypertension artérielle (HTA) non suivi ayant reçu une dose du vaccin Covishild de Astra Zeneca administrée par l’équipe mobile de vaccination à l’autogare de Sogoniko. Il serait décédé dans la nuit du même jour. Son décès fut constaté à son arrivée au Cabinet médical Sorila au quartier Banakabougou en Commune 6. Un prélèvement a été réalisé pour le diagnostic de la COVID-19, revenu négatif. Conclusion : Cette investigation nous a permis d’investiguer un suspect cas de MAPI grave avec décès dont la cause probable serait une maladie cardiovasculaire et de poser la nécessité d’une collaboration étroite entre structures publiques et privées. Mots clés : Investigation, Manifestations Adverses Post Immunisation (MAPI), Décès, Bamako.


2019 ◽  
Vol 90 (3-4) ◽  
pp. 263-271
Author(s):  
Hauria Khemliche ◽  
Michel-Christian Ouayoun

Introduction : L’étude de la physiopathologie du syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est indispensable pour comprendre ses modalités diagnostiques et thérapeutiques. Matériels et Méthodes : Une revue de la littérature a été effectuée sur les données spécifiques à l’homme. Résultats : Deux aspects sont impliqués : d’une part, les mécanismes concourant à l’obstruction intermittente des voies aérifères supérieures (VAS) au cours du sommeil ; d’autre part, ses conséquences que sont les troubles neurocognitifs, la maladie cardiovasculaire et la dérégulation métabolique. Discussion : L’obstruction des VAS peut être expliquée par des conditions anatomiques, mécaniques et neurofonctionnelles, en particulier le rétrocontrôle proprioceptif et chimique de l’activité neuromusculaire des VAS. La compréhension de l’impact du SAHOS a bénéficié des notions nouvelles de stress oxydant, d’inflammation systémique de bas grade, de la découverte d’agents sensibles à l’hypoxie et du rôle des cytokines. À l’origine de cette cascade d’événements : l’hypoxie intermittente chronique.


2018 ◽  
Vol 18 (195) ◽  
pp. 37-45
Author(s):  
Claude Maroun ◽  
Aline Hajj ◽  
Hala Sacre ◽  
Lydia Khabbaz

Author(s):  
Dianne Zakaria ◽  
Amanda Shaw

Introduction L’excès de poids (indice de masse corporelle [IMC] de 25,00 kg/m2 ou plus) est un facteur de risque bien connu de diabète, d’hypertension et de maladie cardiovasculaire, mais on en sait moins sur son lien avec le cancer. Dans cette étude, nous avons utilisé le risque attribuable dans la population (RAP) pour estimer le fardeau des cancers attribuables à l’excès de poids chez les adultes canadiens (de 25 ans ou plus) en 2010. Méthodologie Nous avons estimé les RAP en utilisant des estimations du risque relatif (RR) tirées du Continuous Update Project du World Cancer Research Fund International, des estimations du surpoids et de l’obésité fondées sur l’IMC tirées de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2000-2001 (surpoids : 25,00 à 29,99 kg/m2; obésité : 30,00 kg/m2 et plus) et nous avons utilisé les nombres de cas de cancer figurant dans le Registre canadien du cancer. Les RAP ont été fondés sur des IMC corrigés pour tenir compte du biais associé à l’autodéclaration de la taille et du poids. Résultats Au Canada, en 2010, on peut attribuer environ 9 645 cas de cancer à un excès de poids, ce qui représente 5,7 % de tous les cas de cancer (hommes : 4,9 %; femmes : 6,5 %). En limitant l’analyse aux types de cancer associés à un IMC élevé, le RAP augmente à 14,9 % (hommes : 17,5 %; femmes : 13,3 %). Les types de cancer pour lesquels le RAP était le plus élevé étaient l’adénocarcinome de l’oesophage (42,2 %), le cancer du rein (25,4 %), le cancer du cardia (20,7 %), le cancer du foie (20,5 %), le cancer du côlon (20,5 %) et le cancer de la vésicule biliaire (20,2 %) chez les hommes, et l’adénocarcinome de l’oesophage (36,1 %), le cancer de l’utérus (35,2 %), le cancer de la vésicule biliaire (23,7 %) et le cancer du rein (23,0 %) chez les femmes. Les types de cancer pour lesquels le nombre de cas attribuables était le plus élevé étaient le cancer du côlon (1 445), le cancer du rein (780) et le cancer de la prostate à un stade avancé (515) chez les hommes, et le cancer de l’utérus (1 825), le cancer du sein postménopausique (1 765) et le cancer du côlon (675) chez les femmes. Quels que soient le sexe et le type de cancer, les RAP étaient les plus élevés dans les Prairies (sauf en Alberta) et la région de l’Atlantique, et les plus faibles en Colombie-Britannique et au Québec. Conclusion Le fardeau du cancer attribuable à l’excès de poids est considérable et continuera de croître à court terme en raison de la hausse de la prévalence du surpoids et de l’obésité au Canada.


CJEM ◽  
2017 ◽  
Vol 19 (3) ◽  
pp. 246-246
Author(s):  
A.P.Y. Tsai ◽  
J. P.-N. Tsai ◽  
L. Stewart ◽  
J. Brubacher ◽  
K.W. Cheung

RÉSUMÉIntroductionLes fumeurs qui consultent au service des urgences (SU) souffrent de nombreuses maladies directement causées ou potentiellement causées par l’usage du tabac. Il a déjà été démontré dans des études antérieures que le taux d’abandon du tabac augmentait chez les personnes qui percevaient correctement le fait que la consultation au SU était liée à l’usage du tabac.ObjectifsL’étude visait : 1) à calculer la prévalence des affections potentiellement liées à l’usage du tabac parmi les fumeurs dans un SU de soins tertiaires rattaché à un hôpital universitaire; et 2) à déterminer quelles affections étaient plus ou moins susceptibles d’être perçues par les patients comme liées à l’usage du tabac.MéthodeOnt participé à l’étude des adultes de 19 ans et plus qui ont déclaré avoir fait usage de tabac dans les 30 jours précédant la consultation au SU et qui ont participé à un essai comparatif à répartition aléatoire (ClinicalTrials.gov. : NCT01454375) du 1er décembre 2011 au 31 août 2012. On a demandé aux patients d’indiquer s’ils croyaient que la consultation au SU était liée à l’usage du tabac. Par ailleurs, les diagnostics ont été codés, au moment du congé du SU, comme liés ou non liés à l’usage du tabac, d’après le Surgeon General’s Report de 2004, aux États-Unis.RésultatsAu total, 893 patients (hommes : 62 %; âge moyen : 40 ± 15 ans) ont été sélectionnés, dont 120 (13 %) souffraient d’une maladie potentiellement liée à l’usage du tabac. Il y avait 6 (5 %) cas de néoplasie; 18 (15 %), de maladie cardiovasculaire; 67 (56 %), de maladie respiratoire; 3 (3 %), de troubles de la reproduction; 7 (6 %), de complications postopératoires; 9 (8 %), d’affection dentaire; 9 (8 %), d’ulcère gastroduodénal; 0 (0 %), de maladie oculaire; et 1 (1 %), de maladie osseuse. Parmi les affections potentiellement liées à l’usage du tabac, 46 (38 %) étaient perçues comme telles par les patients : 61 % des maladies cardiovasculaires; 33 % des néoplasies; 43 % des maladies respiratoires; 22 % des affections dentaires; 14 % des complications postopératoires; 11 % des ulcères gastroduodénaux, et 0 % des autres affections.ConclusionsDans l’étude en question, 13% des consultations au SU parmi les fumeurs étaient motivées par des affections potentiellement liées à l’usage du tabac, et 38 % d’entre elles étaient perçues comme telles par les patients. L’éducation du public visant à sensibiliser les gens aux affections liées à l’usage du tabac pourrait accroître le taux d’abandon du tabac.


2017 ◽  
Vol 70 (1) ◽  
Author(s):  
Marlys H LeBras ◽  
Arden R Barry

<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background:</strong> Influenza is a common respiratory infection that may cause complications, including cardiovascular events. Influenza illness has been shown to double the risk of myocardial infarction, with the highest risk among patients with established cardiovascular disease. Vaccination against influenza has been associated with reductions in myocardial infarction, cerebrovascular disease, and death.</p><p><strong>Objective:</strong> To evaluate the evidence for influenza vaccination as a strategy to reduce cardiovascular events specifically in patients with established cardiovascular disease.</p><p><strong>Data Sources and Study Selection:</strong> MEDLINE, Embase, and the Cochrane Central Register of Controlled Trials were searched with the terms “influenza vaccine” and “cardiovascular disease”. Included in this review were randomized controlled trials (RCTs), nonrandomized studies, and meta-analyses that compared influenza vaccination against control in patients with established cardiovascular disease and that reported clinically meaningful cardiovascular outcomes (defined as cardiovascular death, myocardial infarction, and stroke).</p><p><strong>Data Extraction and Synthesis:</strong> The search yielded 10 studies (3 nonrandomized studies, 5 RCTs, and 2 meta-analyses). The nonrandomized studies and the RCTs had inconsistent results with respect to cardio - vascular death and adverse cardiovascular events. The 2 meta-analyses, which included the same 4 RCTs involving patients with established cardiovascular disease, showed that the influenza vaccine reduced cardiovascu lar death by about 50% relative to control. Vaccination also reduced major cardiovascular events by about 43%; the reduction was greater (54%) in the subgroup of patients with recent (≤ 1 year) acute coronary syndrome. However, these data are potentially confounded by small sample sizes, low event rates, and variable outcome reporting. There was also high clinical heterogeneity among the studies, which may not reflect contemporary practice.</p><p><strong>Conclusions:</strong> Given the limitations of these data, it is unclear whether the cardiovascular benefit with influenza vaccination in patients with cardiovascular disease is a true effect. Nevertheless, because of the potential benefit and the low risk of adverse events, the annual influenza vaccine should be recommended for all patients with established cardiovascular disease.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> La grippe est une infection courante des voies respiratoires qui peut causer des complications, notamment des événements cardiovasculaires. On a montré que la grippe double les risques d’infarctus du myocarde. De plus, les patients atteints d’une maladie cardiovasculaire sont les plus menacés. La vaccination contre la grippe a été associée à une réduction des cas d’infarctus du myocarde, de maladie cérébrovasculaire et de décès.</p><p><strong>Objectif :</strong> Évaluer les données probantes montrant que la vaccination contre la grippe permet de réduire le nombre d’événements cardiovasculaires chez les patients déjà atteints d’une maladie cardiovasculaire.</p><p><strong>Sources des données et sélection des études :</strong> Les bases de données MEDLINE et Embase et le Registre central Cochrane des essais aléatoires ont été interrogés en utilisant les termes « vaccin antigrippal » et « maladie cardiovasculaire ». Les études retenues pour la présente revue de la littérature devaient être des essais cliniques à répartition aléatoire, des essais cliniques non aléatoires ou des méta-analyses. De plus, elles devaient comparer les résultats de patients vaccinés contre la grippe et atteints d’une maladie cardiaque à ceux d’un groupe témoin qui étaient aussi atteints d’une maladie cardiaque. Enfin, elles devaient signaler des résultats cardiovasculaires cliniquement significatifs (définis comme un décès d’origine cardiovasculaire, un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral).</p><p><strong>Extraction et synthèse des données :</strong> Dix études répondaient aux critères de recherche (trois essais cliniques non aléatoires, cinq essais cliniques à répartition aléatoire et deux méta-analyses). Les essais cliniques non aléatoires et les essais cliniques à répartition aléatoire présentaient des résultats variables en ce qui touche aux décès d’origine cardiovasculaire et aux événements cardiovasculaires indésirables. Les deux méta-analyses, qui avaient en commun quatre essais cliniques à répartition aléatoire concernant des patients atteints d’une maladie cardiovasculaire, montraient que le vaccin contre la grippe permettait de réduire le nombre de décès d’origine cardiovasculaire d’environ 50 % comparativement au groupe témoin. La vaccination a aussi réduit le nombre d’événements cardiovasculaires graves d’environ 43 %; le pourcentage était plus important (54 %) dans le sous-groupe de patients ayant récemment (à l’intérieur d’un an) souffert d’un syndrome coronarien aigu. Cependant, ces résultats sont potentiellement faussés par la petite taille des échantillons, les faibles taux d’événements et la variabilité avec laquelle on signale les résultats. Il y avait aussi une forte hétérogénéité clinique entre les études, ce qui pourrait ne pas être représentatif de la pratique actuelle.</p><p><strong>Conclusions</strong> : En raison des limites de ces données, on ignore si le vaccin antigrippal offre réellement des effets cardiovasculaires bénéfiques pour les patients atteints d’une maladie cardiovasculaire. Néanmoins, compte tenu des avantages potentiels et du faible risque d’événements indésirables, le vaccin annuel contre la grippe doit être recommandé pour tous les patients atteints d’une maladie cardiovasculaire.</p>


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