traitement antirétroviral
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185
(FIVE YEARS 20)

H-INDEX

6
(FIVE YEARS 1)

2021 ◽  
Vol 82 (5) ◽  
pp. 551
Author(s):  
M. Abdeljelil ◽  
I. Kooli ◽  
N. Bouchahda ◽  
A. Achour ◽  
G. Harzallah ◽  
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2021 ◽  
Vol 22 (3) ◽  
pp. 415-419
Author(s):  
S.O. Usman ◽  
O.M. Ajayi ◽  
O. Ebiekura ◽  
N. Egbonrelu ◽  
G. Ebhojie ◽  
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Background: In sub-Saharan Africa where genotypic anti-retroviral (ARV) drug resistance testing is rarely performed and poor adherence is blamed for the inability to achieve viral suppression and treatment failure, programmatic approaches to preventing and handling these are essential. This study was aimed at assessing the virological outcomes among HIV patients receiving second-line anti-retroviral therapy (ART) in Southwestern Nigeria.Methodology: This was a 5-year observational retrospective study of randomly selected people living with HIV (PLWHIV) who have been switched to second-line ART for at least six months before the commencement of the study in multiple comprehensive ART sites across the three levels of care, in Ondo and Ekiti States, Southwestern Nigeria, from January 2015 to December 2019. Quantitative viral load analysis was done using polymerase chain reaction (PCR) assay. Data were analyzed using the Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 24.0.Results: A total of 249 (71 males and 178 females) subjects eligible for the study were recruited using simple random sampling technique. The mean age (± SD) of the subjects was 44.21 ± 11.45 years. The mean number of years the patients have been on ART regimen was 7.92 ± 2.68 years. The mean number of years the patients were on first line ART regimen before being switched to second line was 4.27 ± 2.63 years. Patients with viral load <1000 RNA copies/ml (suppressed viral load) were 216 (86.7%) out of which 113 (45.4%) had viral load <20 RNA copies/ml while 33 (13.3%) had viral load >1000 RNA copies/ml (unsuppressed viral load or virological failure).Conclusion: About 13% of the patients on second line ART had unsuppressed viral load of more than 1000 RNA copies/ml indicating virological failure. Thus, critical factors such as poor adherence to ART and drug resistance chiefly contributing to virological failure have to be routinely checked. Keywords: suppression, ART, resistance, virological, failure, Nigeria   French title: Preuve d'échec virologique chez les patients sous traitement antirétroviral de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria: une indication pour le test de résistance aux médicaments contre le VIH   Contexte: En Afrique subsaharienne, où les tests génotypiques de résistance aux antirétroviraux (ARV) sont rarement effectués et où une mauvaise observance est imputée à l'incapacité d'obtenir la suppression virale et l'échec du traitement, des approches programmatiques pour les prévenir et les gérer sont essentielles. Cette étude visait à évaluer les résultats virologiques chez les patients VIH recevant un traitement antirétroviral (TAR) de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétrospective d'observation de 5 ans portant sur des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) sélectionnées au hasard et passées à un TAR de deuxième intention pendant au moins six mois avant le début de l'étude dans plusieurs sites de TAR complets aux trois niveaux. de soins, dans les États d'Ondo et d'Ekiti, dans le sud-ouest du Nigéria, de janvier 2015 à décembre 2019. L'analyse quantitative de la charge virale a été effectuée à l'aide d'un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR). Les données ont été analysées à l'aide du logiciel Paquet statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 24.0. Résultats: Un total de 249 (71 hommes et 178 femmes) sujets éligibles à l'étude ont été recrutés à l'aide d'une technique  d'échantillonnage aléatoire simple. L'âge moyen (± ET) des sujets était de 44,21±11,45 ans. Le nombre moyen d'années pendant lesquelles les patients ont été sous traitement antirétroviral était de 7,92±2,68 ans. Le nombre moyen d'années pendant lesquelles les patients étaient sous traitement antirétroviral de première ligne avant de passer en deuxième ligne était de 4,27 ± 2,63 ans. Les patients avec une charge virale <1000 copies d'ARN/ml (charge virale supprimée) étaient 216 (86,7%) dont 113 (45,4%) avaient une charge virale <20 copies d'ARN/ml tandis que 33 (13,3%) avaient une charge virale >1000 ARN copies/ml (charge virale non supprimée ou échec virologique). Conclusion: Environ 13 % des patients sous TAR de deuxième ligne avaient une charge virale non supprimée de plus de 1000 copies d'ARN/ml indiquant un échec virologique. Ainsi, les facteurs critiques tels qu'une mauvaise adhésion au TARV et la résistance aux médicaments contribuant principalement à l'échec virologique doivent être systématiquement vérifiés. Mots clés: suppression, TAR, résistance, virologique, échec, Nigeria  


2021 ◽  
Vol 42 ◽  
pp. A44-A45
Author(s):  
L. Placais ◽  
F. Boufassa ◽  
C. Lécuroux ◽  
A. Saez-Cirion ◽  
V. Avettand-Fenoël ◽  
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2021 ◽  
Vol 10 (02) ◽  
pp. 44-49
Author(s):  
Traoré S

Introduction : Au Mali, malgré de nombreuses campagnes de prévention et de l'efficacité de la thérapie antirétrovirale, les cas de décès liés au VIH touchent beaucoup plus les couches productives. Pour mieux élucider ce constat nous avons étudié la survie des Personnes Vivant avec le VIH suivies pendant 5 ans au Mali. Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude de cohorte, incluant 39619 personnes vivant avec le VIH suivis pendant 5 ans sur les 17 sites d'ESOPE du Mali. Les données collectées concernent celles des années 1999 à 2014, elles ont été analysées par le logiciel STATA version 12. Résultats : Environ 13% des patients étaient décédés à la 5ème année. Le taux brut de mortalité était de 10,22 personnes année. A l'analyse uni variée, les femmes avaient un risque de décès significativement plus faible (33%) que les hommes (HR=0,67, IC95% = [0,62- 0,72]). Le risque ratio de décès des patients sous le traitement Antirétroviral était plus faible (43%) que ceux non-initiés aux ARV (HR=0,57, IC95% = [0,53-0,62]). Aussi bien à l'analyse uni-variée qu'à l'analyse multi-variée, le risque de décès des patients vus aux stades cliniques 3 et 4 de l'OMS à l'inclusion était significativement plus élevé comparé à ceux vus au stade 1. Conclusion : Nos résultats ont montré que la proportion de survie était de 87%. Le stade clinique de l'OMS, le sexe, le traitement antirétroviral étaient des facteurs de risque associés aux décès des patients. Mot clés : Survie, Personnes vivant avec le VIH, 1999 à 2014.


2021 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 67-73
Author(s):  
A.P. Okwuraiwe ◽  
R.A. Audu ◽  
F.A. Ige ◽  
O.B. Salu ◽  
C.K. Onwuamah ◽  
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Background: HIV co-infection with hepatitis B (HBV) and/or hepatitis C virus (HCV) is common, largely due to shared routes of transmission, but paucity of data exists for long term treatment outcomes of HIV infected patients, and those co-infected with HBV and HCV despite the high burden in Nigeria. The aim of study was to describe the longterm treatment outcomes in HIV infected Nigerians and to assess the effect of HBV and HCV co-infections on longterm response to antiretroviral therapy (ART).Methodology: This was a retrospective study of HIV infected adults (> 18 years old) consecutively initiating ART between July 2004 and December 2007, who were followed up for 7 years (2011 and 2014). HBV and HCV infections were diagnosed by detection of serum hepatitis B surface antigen (HBsAg) and HCV antibody (HCVAb) respectively. HIV viral load and CD4 count were monitored 3-monthly after initiating ART, and treatment outcomes based on these were compared between patients with HIV mono-infection, HIV/HBV, HIV/HCV and HIV/HBV/HCV co-infections. Clinical and laboratory data of the patients were abstracted from the medical databases, FileMaker Pro, v 10, entered into Microsoft Excel, and analyzed using SPSS version 20.0.Results: A total of 2,800 adults were evaluated (median age of 35.5 years; 64.2% female), of whom 197 (7.0%) were co-infected with HBV, 53 (1.9%) with HCV, and 15 (0.5%) with HBV and HCV. During the 7-year period, 369 (13.2%) patients were lost to follow up. Immune reconstitution, measured by CD4 recovery, was lower in both HBV and HCV co-infections compared to HIV mono-infection, but this was not statistically significant (p>0.05). Median baseline HIV viral load was 4.63 log copies/ml for all groups, which decreased to undetectable level at a median time of 6 months and remained so for the study duration.Conclusion: This study revealed a higher virologic failure among HIV/HCV co-infected group compared to other groups. No immunological difference in ART treatment outcomes between HIV mono-infected and those co-infected with HBV and HCV after 7-year follow-up. Gradual rise in CD4 was found to be an immunological evidence of the body’s recovery from HIV, buttressed by the drop in viral load over the 7-year period. Keywords: ART, HIV, HBV, HCV co-infection, long term outcomes   English title: Résultats à long terme du traitement antirétroviral hautement actif chez les Nigérians infectés par le VIH et ceux co-infectés par les virus des hépatites B et C Contexte: La co-infection par le VIH avec l'hépatite B (VHB) et/ou le virus de l'hépatite C (VHC) est courante, engrande partie en raison des voies de transmission partagées, mais il existe peu de données sur les résultats dutraitement à long terme des patients infectés par le VIH, et ceux co -infectés par le VHB et le VHC malgré le fardeau élevé au Nigéria. Le but de l'étude était de décrire les résultats du traitement à long terme chez les Nigérians infectés par le VIH et d'évaluer l'effet des co-infections par le VHB et le VHC sur la réponse à long terme au traitement antirétroviral (TAR).Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétrospective sur des adultes infectés par le VIH (>18 ans) ayant commencé un traitement antirétroviral consécutivement entre juillet 2004 et décembre 2007, suivis pendant 7 ans (2011 et 2014). Les infections par le VHB et le VHC ont été diagnostiquées par détection de l'antigène de surface sérique de l'hépatite B (AgHBs) et des anticorps anti-VHC (HCVAb) respectivement. La charge virale du VIH et la numération des CD4 ont été surveillées tous les trois mois après le début du TAR, et les résultats du traitement basés sur ceuxci ont été comparés entre les patients atteints de mono-infection VIH, VIH/VHB, VIH/VHC et VIH/VHB/VHC. Les données cliniques et de laboratoire des patients ont été extraites des bases de données médicales, FileMaker Pro, v 10, saisies dans Microsoft Excel et analysées à l'aide de SPSS version 20.0.Résultats: Un total de 2800 adultes ont été évalués (âge médian de 35,5 ans; 64,2% de femmes), dont 197 (7,0%) étaient co-infectés par le VHB, 53 (1,9%) par le VHC et 15 (0,5%) par le VHB et VHC. Au cours de la période de 7 ans, 369 (13,2%) patients ont été perdus de vue. La reconstitution immunitaire, mesurée par la récupération des CD4, était plus faible dans les co-infections par le VHB et le VHC que dans la mono-infection par le VIH, mais cela n'était pas statistiquement significatif (p>0,05). La charge virale VIH de base médiane était de 4,63 log copies / ml pour tous les groupes, ce qui a diminué à un niveau indétectable à une période médiane de 6 mois et le reste pendant toute la durée de l'étude.Conclusion: Cette étude a révélé un échec virologique plus élevé parmi le groupe co-infecté par le VIH / VHC par rapport aux autres groupes. Aucune différence immunologique dans les résultats du traitement TAR entre le VIH mono-infecté et ceux co-infectés par le VHB et le VHC après un suivi de 7 ans. L’augmentation progressive des CD4 s’est avérée être une preuve immunologique de la guérison du corps du VIH, étayée par la baisse de la charge virale au cours de la période de 7 ans. Mots clés: TAR, VIH, VHB, co-infection par le VHC, résultats à long terme      


2020 ◽  
Vol 50 (6) ◽  
pp. S189
Author(s):  
P. Mariot ◽  
C. Orkin ◽  
R. Elion ◽  
M. Thompson ◽  
J. Rockstroh ◽  
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2020 ◽  
Vol 50 (6) ◽  
pp. S190
Author(s):  
A. Bachelard ◽  
V. Isernia ◽  
D. Vallois ◽  
S. Le Gac ◽  
L. Chalal ◽  
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Aporia ◽  
2020 ◽  
Vol 12 (1) ◽  
pp. 6-16
Author(s):  
Simon-Decap Mabakutuvangilanga Ntela ◽  
Jean-Manuel Morvillers ◽  
Nathalie Goutte ◽  
Cyril Crozet ◽  
Mathieu Ahouah ◽  
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Cette étude vise à comprendre les freins à l’observance au traitement antirétroviral et à porter un regard critique sur la qualité d’alliance thérapeutique Infirmier-patient. Il s’agit d’une étude qualitative phénoménologique réalisée dans deux hôpitaux ruraux de la province du Kongo-central en République Démocratique du Congo (RDC). Des entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de patients. Deux grands groupes de freins ont été relevés : L’un lié au patient (manque de nourriture, le ressenti (peur, doute)) et l’autre en rapport avec son environnement (rupture des antirétroviraux, influence des médias, des religieux et autres croyances traditionnelles…). Ces freins généraient des forces antagonistes influençant négativement l’observance au traitement antirétroviral. Cette étude met en évidence l’existence des écarts sur la qualité d’alliance thérapeutique dans le circuit de soins. Ainsi, surmonter les forces négatives, renforcer les capacités infirmières et revisiter les programmes de formation Infirmière sur les questions du VIH semblent une nécessité.


2020 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 213-224
Author(s):  
Cossi Angelo Attinsounon ◽  
Léopold Houétondji Codjo ◽  
Lawani Mohamed Ahouansou ◽  
Serge Hugues Mahougnon Dohou ◽  
Adébayo Alassani ◽  
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Les personnes vivant avec le Virus de l’Immunodéficience Humain (VIH) présentent des complications métaboliques qui sont généralement multifactorielles. Elles sont associées à un risque élevé de morbidité et de mortalité cardiovasculaires. L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau de risque cardiovasculaire et les facteurs associés chez les personnes vivant avec le VIH. Il s’agissait d’une étude transversale, descriptive à visée analytique conduite sur une période de six mois allant du 1er Février au 31 Juillet 2016. Un recrutement systématique a permis d’inclure des patients âgés de plus de 15 ans, VIH positif, sous traitement antirétroviral et suivis à l’hôpital universitaire départemental de Borgou. Le risque cardiovasculaire (RCV) a été évalué selon le score de Framingham qui a permis de classer les patients en deux groupes : les patients ayant un RCV mineur (score < 10%) et ceux ayant un RCV majeur (score ≥ 10%). La régression binominale en analyse univariée et multivariée a été utilisée pour identifier les facteurs associés au risque cardiovasculaire. Tous les tests statistiques ont été réalisés avec un seuil de significativité de 5% et un intervalle de confiance de 95%. Au total, 215 PVVIH ont été inclus dans cette étude sur les 2365 patients suivis au CHUD Borgou. L’âge moyen était de 43,65 ± 11,38 ans avec les extrêmes de 19 et 75 ans. Le sexe féminin était prédominant (146 soit 67,91%) avec une sex-ratio (H/F) de 0,47. Un risque cardiovasculaire majeur était présent chez 56 patients (26,05%). Les facteurs associés au RCV majeur en analyse univariée étaient le sexe féminin (p = 0,019), la consommation du tabac (p = 0,003), le diabète (p < 0,001), l’hypertension artérielle (p < 0,001), le syndrome métabolique (p < 0,001) et l’exposition à l’association Lopinavir/ritonavir (p = 0,011). La prise de Zidovudine avait un effet protecteur (p = 0,008). En analyse multivariée, les facteurs associés au RCV majeur étaient le sexe féminin (p = 0,0001), le tabagisme (p = 0,02) et la présence du diabète (p = 0,0003). Les patients infectés par le VIH suivis à Parakou présentent plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire. Ce risque doit être prévenu par la prescription des mesures hygiéno-diététiques et l’instauration d’un suivi cardiologique régulier. © 2019 International Formulae Group. All rights reserved Mots clés: VIH, Risque cardiovasculaire, traitement antirétroviral, Parakou English Title: Cardiovascular risk in adults living with the human immunodeficiency virus and on antiretroviral therapy in Parakou English Abstract People living with HIV have metabolic complications that are usually multifactorial. They are associated with a high risk of cardiovascular morbidity and mortality. The objective of this study was to assess the level of cardiovascular risk and associated factors in people living with HIV. This was a cross-sectional, descriptive and analytically study conducted from February to July 2016 at the Teaching and Regional Hospital of Borgou. Systematic enrolment included patients older than 15 years, HIV positive, and followed up under antiretroviral therapy. Cardiovascular risk (CVR) was assessed according to the Framingham score, which classified patients into two groups: patients with a minor CVR (score <10%) and those with a major CVR (score ≥ 10%). Binomial regression in univariate and multivariate analysis are used to identify associated factors with cardiovascular risk. A total of 215 PLHIV were included in this study on the 2365 patients monitored at CHUD Borgou. The average age was 43.65 ± 11.38 years. Females were predominant (146, 67.91%) with a sex-ratio of 0.47. A major cardiovascular risk was present in 56 patients (26.05%). The factors associated with major CVR in univariate analysis were female gender (p = 0.019), tobacco use (p = 0.003), diabetes (p < 0.001), high blood pressure (p < 0.001), metabolic syndrome (p < 0.001), and exposure to lopinavir/ritonavir combination (p = 0.011). Exposure to zidovudine had a protective effect (p = 0.008). In multivariate analysis, factors associated with major CVR were female gender (p = 0.0001), smoking (p = 0.02), and presence of diabetes (p = 0.0003). HIV-infected patients in Parakou have several cardiovascular risk factors. This risk must be prevented by prescribing diet and lifestyle measures and instituting regular cardiological follow-up. © 2019 International Formulae Group. All rights reserved Keywords: HIV, cardiovascular risk, antiretroviral therapy, Parakou


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