Several studies related to vertebrates have revealed that highly polymorphic genes within the Major Histocompatibility Complex (MHC) may play a role in mate choice. Females gain direct or indirect fitness benefits by choosing between males with traits that are expressed from good genes, as females can obtain good genes for their offspring by mating with males whose genes are compatible or complementary to their own. There is a tendency for humans to prefer MHC-dissimilar mates, as it would favour the production of heterozygous offspring who would be more resistant to pathogens. This phenomenon has been reviewed on the similar concepts of the influence of MHC genes on human mating preferences, with potential but largely unknown in offspring fitness. The qualitative method can include surveying and interviewing people about their mate choices i.e. females select males with heterozygosity MHC genes over males with homozygous MHC genes. Chi-square test can be performed for statistical analysis. Mating with a MHC dissimilar individual can produce MHC heterozygous offspring that has strong immunocompetence against several parasite types. A heterozygous MHC gene combination has more capability to identify rapidly evolving parasites, which can escape recognition by immune systems containing common alleles.Plusieurs études reliées aux vertébrés ont révélé que les gènes extrêmement polymorphes au sein du complexe majeur d’histocompatibilité (MHC) peuvent jouer un rôle dans le choix d’un partenaire. Les femmes tirent des avantages directs ou indirects de valeur sélective en choisissant entre les hommes dont les traits sont exprimés avec les bons gènes, comme les femmes peuvent obtenir de bons gènes pour leur progéniture par accouplement avec des mâles dont les gènes sont compatibles ou complémentaires à leurs propres. Il y a une tendance pour les humains de préférer les camarades MHC-dissemblables, car ceci favoriserait la production de descendants hétérozygotes qui seraient plus résistants aux pathogènes. Ce phénomène était étudié sur les concepts similairesde l’influence des gènes du MHC sur les préférences d’accouplement humaines, avec un potentiel largement inconnu dans la valeur sélective de la progéniture. La méthode qualitative peut comprendre une enquête et l’interrogation des gens sur leur choix de partenaire, par ex. les femelles choisissent les mâles avec des gènes du CMH hétérozygote sur les hommes ayant des gènes du CMH homozygotes. Le test du chi carré peut être effectué pour faire l’analyse statistique. L’accouplement avec une personne avec un différent CMH peut produire la progéniture CMH hétérozygote qui a une forte immunocompétence contre plusieurs types de parasites. Une combinaison de gènes CMH hétérozygotes a plus de capacité d’identifier les parasites qui évoluent rapidement, qui peuvent échapper à la reconnaissance par le système immunitaire contenant des allèles communs.