Validité du test des 48 images dans la détection de la simulation des troubles de la mémoire : données de références

2019 ◽  
Vol 3 (Fall 2019) ◽  
pp. 92-104
Author(s):  
Isabelle Rouleau ◽  
Pierre-Luc Mallette
Keyword(s):  

La simulation et l’exagération des troubles cognitifs doivent être envisagées dans l’interprétation du profil neuropsychologique surtout lors d’expertises. À cette fin, la validité du test des 48 images (48-I) a été examinée en comparant la performance de 55 simulateurs présumés à celle de 37 simulateurs volontaires et à celle de 389 patients, dont 22 amnésiques et 105 présentant une atteinte légère à modérée de la mémoire. Tous ont complété l’épreuve des 15 mots de Rey et le rappel immédiat de la figure complexe de Rey. Aucune différence n’a été observée entre les deux groupes de simulateurs. Au 48-I, le score obtenu par les simulateurs est aussi faible que celui des amnésiques, mais ils réussissent aussi bien les autres tests de mémoire que les patients avec atteinte mnésique légère à modérée, qui eux obtiennent une performance presque parfaite au 48-I. Ces résultats supportent la validité du 48-I dans la détection de la simulation.

Praxis ◽  
2017 ◽  
Vol 106 (22) ◽  
pp. 1221-1223 ◽  
Author(s):  
Jean-Bernard Daeppen

Zusammenfassung. Erwachsene in der Schweiz trinken durchschnittlich zwei Gläser Wein pro Tag. Alkoholmissbrauch und kognitive Störungen sind eng verknüpft, vor allem bei älteren Personen. Die klinische Untersuchung muss nach Anzeichen von Unterernährung suchen und eine neuropsychologische Untersuchung einschliessen, wenn der Mini-Mental-Status pathologisch ist. Bei Anzeichen einer Gayet-Wernicke-Krankheit muss eine intravenöse B1-Vitamin-Therapie zur prophylaktischen oder therapeutischen Behandlung eingeleitet werden. Kognitive Beeinträchtigung ist eine schlechte Prognose für die Behandlung von Alkoholabhängigkeit, sollte aber nicht dazu führen, die Behandlungsbemühungen aufzugeben.


Praxis ◽  
2017 ◽  
Vol 106 (22) ◽  
pp. 1225-1228 ◽  
Author(s):  
Marie-Therese Clerc ◽  
Armin von Gunten

Zusammenfassung. Depressionen, leichte kognitive Störungen und Demenzen sind besonders bei älteren Menschen häufig assoziiert. Ähnliche neuropathologische Mechanismen scheinen diesen Zusammenhang und die gegenseitigen Einflüsse mindestens teilweise zu erklären. Wir schlagen hier eine Kurzreview der Rolle der Depression als Risikofaktor, Prodrom oder Folge der kognitiven Störungen vor und skizzieren kurz mögliche Behandlungsansätze.


2006 ◽  
Vol 162 (12) ◽  
pp. 1240-1247 ◽  
Author(s):  
M. Rahmani ◽  
M. Bennani ◽  
M. Benabdeljlil ◽  
S. Aidi ◽  
M. Jiddane ◽  
...  
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 11 (1) ◽  
pp. 27
Author(s):  
P. Sagaspe ◽  
J. Taillard ◽  
C. Chaufton ◽  
C. Berthomier ◽  
M. Brandewinder Marie ◽  
...  
Keyword(s):  

1989 ◽  
Vol 4 (4) ◽  
pp. 211-220
Author(s):  
P. Cialdella ◽  
F. Munoz ◽  
N. Mamelle

RésuméLa Hopkins Symptom Checklist-58 ou HSCL-58 (Derogatis et al., 1974) est un autoquestionnaire de 58 items largement employé au cours des essais de psychotropes et en épidémiologie psychiatrique pour l’évaluation des troubles névrotiques et affectifs. Cet instrument permet des scores sur 5 dimensions définies sur des bases théoriques et empiriques (analyses factorielles), dont la validité repose sur la stabilité de la structure factorielle au sein de différents échantillons. Or, la plupart des analyses factorielles de la HSCL-58 ont concerné des groupes de patients recrutés dans des centres de soin (groupes cliniques). Il importait donc de vérifier la stabilité factorielle sur des sujets névrotiques provenant d’une population tout-venant (groupes subcliniques).Au cours d’une enquête épidémiologique sur les facteurs de risque de prématurité (Mamelle et al., 1987), menée dans 4 maternités de Lyon, 1 643 femmes enceintes de 6 mois avaient rempli un questionnaire psychopathologique comprenant 45 items extraits de la HSCL (la plupart des items manquants par rapport à la HSCL-58 n’appartenaient à aucune des 5 dimensions). Les évaluations d’avant-grossesse ont été utilisées pour définir un groupe ≪subclinique≫, en sélectionnant les femmes qui avaient obtenu les scores totaux à la HSCL (45 items) les plus élevés, ce score procurant une estimation de gravité névrotique. Le seuil de gravité ne pouvant être qu’arbitraire, nous avons décidé de retenir un ratio nombre de sujets/nombre de variables égal à 10. Au total, 457 femmes (27,8% de l’échantillon initial) ont été considérées dans l’analyse. Pour nous assurer de la proximité de ce groupe ≪subclinique≫ d’avec les groupes ≪cliniques≫, nous avons comparé les notes moyennes des items d’anxiété et de dépression de notre échantillon avant et après sélection, avec celles de 3 groupes décrits par Derogatis et al. (1974) : 2 groupes cliniques, un de patients névrotiques anxieux, un autre de déprimés névrotiques, et un troisième groupe de sujets normaux, représentatif de la population d’Oackland. Une analyse en composantes principales avec rotation varimax assortie d’une méthode de choix du nombre de facteurs décrite par Comrey (1978) a été utilisée. Les notes moyennes des items d’anxiété et de dépression de notre groupe ≪subclinique≫ de 457 femmes se sont révélées proches de celles des névrotiques anxieux de Derogatis, mais plus faibles que celles des déprimés névrotiques, et plus élevées que celles des sujets normaux (Tableau I). Une solution à 4 facteurs est apparue la meilleure: ≪vulnérabilité≫, ≪somatisation≫, ≪tension≫, et ≪troubles cognitifs≫ (Tableau II). Deux facteurs (somatisation et troubles cognitifs) reproduisent de près la structure attendue, le facteur vulnérabilité étant proche d’un facteur dépression, mais les items de sensitivité et d’anxiété n’ont pas formé les facteurs espérés.Nos résultats confirment donc les données de la littérature concernant la stabilité relative des dimensions somatisation et obsession (ou plutôt troubles cognitifs), et l’instabilité des dimensions anxiété et sensitivité, le cas de la dépression étant intermédiaire. Il semble, en conclusion, que les scores dimensionnels de la HSCL-58 ne présentent pas une validité suffisante pour être employés dans les groupes subcliniques.


2008 ◽  
Vol 56 (2) ◽  
pp. 104-105
Author(s):  
M. Guerchet ◽  
N. Moussiliou Paraiso ◽  
D. Houinato ◽  
P. Nubukpo ◽  
J.-P. Clément ◽  
...  

2012 ◽  
Vol 73 (4) ◽  
pp. 361
Author(s):  
M.-C. Vantyghem ◽  
A. Ryndak ◽  
A.-S. Balavoine ◽  
M. Contestin ◽  
M.-F. Odou ◽  
...  
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