scholarly journals Comparison of Leaf Traits and Branching Patterns between Acacia tortilis (Forsk.) Hayne subsp. raddiana (Savi) Brenan, Balanites aegyptiaca (L.) Del. and Ziziphus mauritiana Lam. Seedlings Originated from the Sahel

2016 ◽  
Vol 5 (3) ◽  
pp. 1-12
Author(s):  
Fidèle Ngaryo ◽  
Ampa‑Kande Badiatte ◽  
Venceslas Goudiaby ◽  
Léonard‑Élie Akpo
2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 06-721
Author(s):  
Issoufa Idrissa ◽  
Boubé Morou ◽  
Hamidou Abdourhamane ◽  
Saley Karim ◽  
Taffa Abdourhamane ◽  
...  

L’enclave pastorale de Dadaria située dans le département de Mainé-Soroa est devenue une zone de concentration d’animaux locaux et transhumants durant toute l’année. La présente étude vise à caractériser la diversité floristique et la structure démographique des groupements ligneux cette enclave. Les données floristiques et dendrométriques ont été collectées dans 53 placettes de 2500 m² et la régénération a été appréciée dans des placeaux de 25 m². Les résultats montrent une flore ligneuse très pauvre avec 10 espèces réparties dans 7 familles. Les familles les plus représentées sont les Mimosaceae (30%) et les Asclepiadaceae (20%). La classification hiérarchique ascendante (CHA) a permis de discriminer quatre groupements ligneux notamment le groupement à Calotropis procera et Ziziphus mauritiana, le groupement à Balanites aegyptiaca et Acacia senegal, le groupement à Leptadenia pyrotechnica et Salvadora persica et le groupement à Acacia tortilis et Maerua crassifolia. La densité moyenne des adultes varie selon les groupements ligneux de 10 à 35 individus/ha et celle de la régénération de 45 à 64 individus/ha selon les groupements. Les structures en diamètre et hauteur montrent une concentration des individus des premières classes sur l’ensemble des peuplements. Dans les perspectives d’une réhabilitation et d’une gestion durable des écosystèmes pastoraux, cette étude apporte des informations complémentaires sur l’état actuel des peuplements ligneux de Dadaria.Mots clés : Formation pastorale, diversité floristique, densité, régénération naturelle   English Title: Floristic richness and demographic structure of the woody populations of the natural sahelian routes of South-East Niger: Case of the pastoral enclave "Dadaria" (Mainé-soroa, Diffa)The pastoral enclave of Dadaria located in the department of Mainé-Soroa became an area of concentration of local and transhumant animals throughout the year. The study aims to characterize the floristic diversity and the demographic structure of the woody groups in this enclave. Floristic and dendrometric data were collected in 53 plots of 2500 m² and regeneration was assessed in 25 m² plots. The results show a very poor woody flora with 10 species distributed in 7 families. The most represented families are the Mimosaceae (30%) and the Asclepiadaceae (20%). The ascending hierarchical classification (CHA) discriminate four woody groups namely: the grouping with Calotropis procera and Ziziphus mauritiana, the grouping with Balanites aegyptiaca and Acacia Senegal, the grouping with Leptadenia pyrotechnica and Salvadora persica and the grouping with Acacia tortilis and Maerua crassifolia. The average density of adults varies according to the woody groups from 10 to 35 individuals / ha and that of regeneration from 45 to 64 individuals / ha depending to the groups. The diameter and height structures show a tree concentration of the first classes on all of the groupings. With a view of a future rehabilitation and sustainable management of pastoral ecosystems, this study provides additional information on the current state of the woody stands of Dadaria.Keywords: Pastoral training, floristic diversity, density, natural regeneration.


2015 ◽  
Vol 326 (326) ◽  
pp. 25
Author(s):  
Morgane Dendoncker ◽  
Daouda Ngom ◽  
Caroline Vincke

Les écosystèmes sahéliens sont soumis à des pressions anthropiques et climatiques croissantes, avec des conséquences durables pour la végétation ligneuse. Les arbres jouent un rôle vital pour la population locale, et leur pérennité doit être assurée. La présente étude vise à caractériser la végétation ligneuse, ses utilisations et sa dynamique sur le long terme (1955-2012) dans la région sablonneuse du Ferlo au Sénégal, dans une zone anthropisée à proximité de deux forages. En 2012, des inven- taires ont été réalisés dans 30 placettes, ainsi que des enquêtes auprès d’éleveurs issus de 30 camps sur la dynamique de la végétation et l’utilisation des essences. Une base de don- nées historique a permis d’obtenir des don- nées complémentaires sur l’évolution de la diversité des essences ligneuses depuis 1955. Par ailleurs, une étude de la bibliographie    a permis de recenser toutes les utilisations potentielles des essences. Ces données ont été analysées pour en extraire la dynamique des services d’approvisionnement, en calcu- lant des indices d’utilisation pour les essences et des indices de services pour l’écosystème. En 2012, pour un couvert arboré de 3 % et une diversité spécifique de 12 essences diffé- rentes, les peuplements étaient dominés par deux essences sahéliennes, Balanites aegyp- tiaca et Boscia senegalensis. Le rapport entre arbres jeunes et adultes atteignait 70,5 %, ce qui pouvait indiquer un bon équilibre des essences dans les peuplements, mais 95 % des jeunes plants correspondaient à trois essences seulement, Balanites aegyptiaca, Boscia senegalensis et Acacia tortilis. Concer- nant la valorisation des différentes essences, les plus couramment utilisées étaient B. aegyptiaca et B. senegalensis, mais aussi A. senegal, une essence rare, Adansonia digitata et Ziziphus mauritiana. Les données indiquent un déclin de la diversité spécifique et du nombre de jeunes arbres entre 1955 et 2012, accompagné d’une proportion croissante d’es- sences sahéliennes. Les indices d’utilisation et de service suggèrent une dégradation des services d’approvisionnement, ce qui pourrait indiquer une vulnérabilité croissante de ces écosystèmes. 


Afrika Focus ◽  
2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
Author(s):  
Rabiou Habou ◽  
Moussa Massaoudou ◽  
Tougiani Abasse ◽  
Mahamane Ali ◽  
Mahamane Larwanou ◽  
...  

Les espèces ligneuses jouent un rôle important dans la vie des populations locales. Parmi les espèces couramment utilisées au Niger figurent Balanites aegyptiaca et Ziziphus mauritiana. Ces deux espèces sont exploitées comme sources alimentaires et pour divers produits médicinaux, avec comme conséquence une réduction de leurs peuplements. La présente étude vise à analyser la structure des peuplements et les modes de régénération des deux espèces dans deux secteurs agro-écologiques contrastées de la région de Maradi au centre sud du Niger. Au total, 60 relevés ont été délimités, d’une part dans des formations naturelles dominées par ces espèces, et d’autre part dans les systèmes agrosylvopastoraux des secteurs sahélien et sahélo-soudanien. Dans chaque placette et sur chaque arbre, le diamètre à 1,30 m au rasdu sol , la hauteur totale et deux diamètres perpendiculaires de houppier ont été mesurés. L’inventaire de la régénération a été effectué dans 5 placeaux. La nature de la régénération (drageon, marcotte, semis naturel), la hauteur totale et le nombre de tiges de chaque plantule ont été notés. La densité de B. aegyptiaca ne varie significativement entre sites et entre secteurs. Par contre, la densité de Z. mauritiana varie significativement entre sites et entre secteurs. En effet, le site de Birni Lallé, situé dans le secteur sahélien strict, et le site de Kegil dans le secteur sahélo-soudanien ont les densités les plus élevées de Z. mauritiana avec respectivement 66,4 ± 52,5 et 77,5 ± 61,4 arbres/ha. L’analyse de la distribution des tiges par classe de diamètre montre que pour les deux espèces, les individus jeunes sont bien représentés. Cela suggère une bonne régénération de ces espèces. L’analyse de la densité et nature de régénération montre que les deux espèces se régénèrent essentiellement par drageonnage. En réponse au ramassage des fruits pour diverses utilisations, les espèces B. aegyptiaca et Z. mauritiana ont développé des stratégies alternatives de propagation en zone sahélienne. Cette aptitude à la propagation végétative permet aux deux espèces de s’adapter en zones arides caractérisées par la sécheresse et les hautes températures. MOTS CLÉS : DISTRIBUTION DES ESPÈCES LIGNEUSES, B. AEGYPTIACA, Z. MAURITIANA, MARADI, NIGER, SAHÉLO-SOUDANIEN [83] afrika focus — Volume 33, Nr. 1, 2020 — pp. 83-104 RABIOU HABOU, MOUSSA MASSAOUDOU, TOUGIANI ABASSE, MAHAMANE ALI, MAHAMANE LARWANOU & PATRICK VAN DAMME Wood species play an important role in the life of local communities. Among the species commonly used in Niger, are Balanites aegyptiaca and Ziziphus mauritiana. This species are exploited as food sources and as various medicinal products, with a consequent reduction in their populations. The present study aims to analyze the stand structure and the regeneration modes of the two species in two contrasting agro-ecological sectors of the Maradi region in south central Niger. A total of 60 surveys were delineated in natural formations dominated by these species and in agrosilvopastoral system in the Sahelian and Sahelo-Sudanian zones. On each tree, the diameter at 1.30 m from the ground, the total height and two perpendicular tree crown diameters were measured. The inventory of natural regeneration was carried out in 5 plots delineated in each plot. The mode of reproduction of the regeneration (suckers, marcots, natural seedlings) was recorded as well as the total height and the number of stems of each juvenile were. The density of B. aegyptiaca does not vary significantly between sites and between sectors. The Birni Lallé site, located in the strict Sahelian zone, and the Kegil site in the Sahelo-Sudanese sector stand out in terms of Z. mauritiana density with respectively 66.4 ± 52.5 and 77.5 ± 61.4 trees. /Ha. The analysis of the diameter class structure shows that for both species, young individuals are well represented. This suggests strong regeneration among these species. The analysis of the density and nature of regeneration shows that the two species regenerate mainly by suckering. In response to the collection of fruits for various uses by local populations, B. aegyptiaca and Z. mauritiana have developed alternative propagation strategies in the Sahelian zone. This ability to propagate vegetatively allows these two species to adapt to arid areas characterized by drought and high temperatures. KEY WORDS: DISTRIBUTION OF WOODY SPECIES, B. AEGYPTIACA, Z. MAURITIANA, MARADI, NIGER, SAHELO-SUDANESE


Afrika Focus ◽  
2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
pp. 83-104
Author(s):  
Rabiou Habou ◽  
Moussa Massaoudou ◽  
Tougiani Abasse ◽  
Mahamane Ali ◽  
Mahamane Larwanou ◽  
...  

Les espèces ligneuses jouent un rôle important dans la vie des populations locales. Parmi les espèces couramment utilisées au Niger figurent Balanites aegyptiaca et Ziziphus mauritiana. Ces deux espèces sont exploitées comme sources alimentaires et pour divers produits médicinaux, avec comme conséquence une réduction de leurs peuplements. La présente étude vise à analyser la structure des peuplements et les modes de régénération des deux espèces dans deux secteurs agro-écologiques contrastées de la région de Maradi au centre sud du Niger. Au total, 60 relevés ont été délimités, d’une part dans des formations naturelles dominées par ces espèces, et d’autre part dans les systèmes agrosylvopastoraux des secteurs sahélien et sahélo-soudanien. Dans chaque placette et sur chaque arbre, le diamètre à 1,30 m au rasdu sol , la hauteur totale et deux diamètres perpendiculaires de houppier ont été mesurés. L’inventaire de la régénération a été effectué dans 5 placeaux. La nature de la régénération (drageon, marcotte, semis naturel), la hauteur totale et le nombre de tiges de chaque plantule ont été notés. La densité de B. aegyptiaca ne varie significativement entre sites et entre secteurs. Par contre, la densité de Z. mauritiana varie significativement entre sites et entre secteurs. En effet, le site de Birni Lallé, situé dans le secteur sahélien strict, et le site de Kegil dans le secteur sahélo-soudanien ont les densités les plus élevées de Z. mauritiana avec respectivement 66,4 ± 52,5 et 77,5 ± 61,4 arbres/ha. L’analyse de la distribution des tiges par classe de diamètre montre que pour les deux espèces, les individus jeunes sont bien représentés. Cela suggère une bonne régénération de ces espèces. L’analyse de la densité et nature de régénération montre que les deux espèces se régénèrent essentiellement par drageonnage. En réponse au ramassage des fruits pour diverses utilisations, les espèces B. aegyptiaca et Z. mauritiana ont développé des stratégies alternatives de propagation en zone sahélienne. Cette aptitude à la propagation végétative permet aux deux espèces de s’adapter en zones arides caractérisées par la sécheresse et les hautes températures.


2021 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 144-155
Author(s):  
Mahamat Abakar Guihini ◽  
Mariama Dalanda Diallo ◽  
Aly Diallo ◽  
Minda Mahamat Saleh ◽  
Aliou Guisse

Les déficits pluviométriques combinés à l’action anthropique ont entrainé une dégradation des ressources naturelles à partir desquelles les paysans tchadiens tirent leurs moyens de subsistance. Cette étude avait pour objectif de déterminer la composition floristique, la circonférence et la hauteur des peuplements ligneux dans deux sites de la Grande Muraille Verte du Tchad (Batha et Wadi-Fira Ouest). Pour cela, nous avons utilisé la méthode des relevés floristiques et des mesures dendrométriques pour caractériser lavégétation. Cette méthode nous a permis d’inventorier 15 espèces réparties en 11 genres et 6 familles. Les espèces les plus dominantes sont Balanites aegyptiaca (Delile), Acacia tortilis (Forssk.) Hayne subsp. raddiana (Savi) Brenan et Capparis decidua Edgew (Forssk.). La répartition des individus selon la grosseur et la hauteur permettent d’établir la structure du peuplement ligneux. Ainsi, dans le Batha, le peuplement ligneux ainsi que les espèces dominantes (Balanites aegyptiaca, Acacia raddiana et Capparis decidua) est constitué de cinquante-deux virgule seize pour cent (52,16%) d’individus qui ont une circonférence comprise entre 10 et 50 cm. Au niveau de Wadi-Fira Ouest, le peuplement est dominé par des individus de circonférence comprise entre 20 et 60 cm. Le peuplement du Batha renferme des individus qui ont une hauteur comprise entre 1 et 14 m. Quatre-vingt-six virgule soixante-sept pour cent (86,67%) des espèces ont une hauteur inférieure ou égale à 7 m. Tandis que dans le Wadi-Fira Ouest, la hauteur des individus du peuplement varie de 0,9 à 12 m et quatrevingt-dix pour cent (90%) des individus ont une hauteur comprise entre 0,9 et 7 m. La strate ligneuse estdominée par des arbustes en grande partie. L’étude a permis de mettre en évidence que les facteurs d’ordre climatique et anthropique ont un impact sur l’environnement des sites.Mots clés : Ligneux, Circonférence, Hauteur, Batha, Wadi-Fira Ouest, Tchad


2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 966-982
Author(s):  
Claudette Baye Niwah ◽  
Gilbert Todou ◽  
Konsala Souare ◽  
Abassi Abdoulaye ◽  
Sakitai Bay ◽  
...  

Une étude a été menée en périphérie de Maroua (Extrême-Nord, Cameroun) dans le but de contribuer à une gestion durable des ressources végétale sahélienne. Cette étude a identifié et a calculé la diversité des plantes ligneuses des champs de case suivant un dispositif de 20 quadrats (50 m x 50 m) dans cinq localités. Elle a aussi déterminé les catégories d’usage et les organes récoltés de chaque plante utilisée. La Méthode Accélérée de Recherche Participative (MARP) a été reprise pour collecter les données ethnobotaniques auprès de 100 ménages. Les analyses des résultats obtenus ont montré que les champs de case comportent au total, 38 espèces (26 plantes locales) réparties dans 27 genres et 26 familles. Les familles les plus abondantes ont été Méliacées (32,26%) et Mimosacées (29,26%). Acacia nilotica, Acacia albida, Balanites aegyptiaca, Moringa oleifara, Sclerocarya birrea, Tamarindus indica et Ziziphus mauritiana sont les espèces locales les plus utilisées (au moins quatre catégories d’usages). Les résultats ont montré que les champs de case peuvent être des bons systèmes de valorisation et de conservation des plantes locales.Mots clés : Champs de case, plantes ligneuses, enquête ethnobotanique et socio-économique, valorisation, usage durable.   English Title: Diversity and uses of woody plants from peripheral agro-systems in the city of Maroua (Far North, Cameroon)A study was conducted around Maroua (Far North, Cameroon) with the aim of contributing to sustainable management of Sahelian plant resources. This study identified and calculated the diversity of woody plants in village fields using a system of 20 quadrats (50 mx 50 m) in five localities. It also determined the categories of use and the organs harvested from each plant used. The Accelerated Participatory Research Method (MARP) was used to collect ethnobotanical data from 100 households. Analyzes of the results obtained have shown that the village fields contain in total 38 species (26 native plants) in 27 genera and 26 families. The most abundant families were Meliaceae (32.26%) and Mimosaceae (29.26%). Acacia nilotica, Acacia albida, Balanites aegyptiaca, Moringa oleifara, Sclerocarya birrea, Tamarindus indica and Ziziphus mauritiana found to be the most commonly used local species (at least four categories of uses). The results showed that village field can be good systems for the recovery and conservation of native plants.Keywords: Village field, woody plants, ethnobotanical and socio-economic survey, valorization, sustainable use.  


2021 ◽  
Vol 17 (7) ◽  
Author(s):  
Hamadou O. ◽  
Amadou Oumani A. ◽  
Morou B. ◽  
Mahamane A.

La girafe du Niger (Giraffa camelopardalis peralta), est une espèce relique bénéficiant depuis plusieurs décennies d’une protection intégrale et cohabite de manière assez harmonieuse avec les humains. Ces dernières années, les girafes colonisent progressivement de nouveaux habitats et peu d’informations sont connues sur le régime alimentaire dans les nouvelles zones. La determination du régime alimentaire de la girafe en saison sèche dans les zones excentrées de Fandou, Dingazi-banda et Simiri, a pour objectif d’identifier les espèces végétales, les plus recherchées par la girafe pour une gestion durable de l’espèce au Niger. Trois (3) méthodes à savoir l’observation directe, l’indice d’abroutissement et l’analyse microscopique des crottes ont été utilisées. Il ressort de cette étude, que 23 espèces végétales appartenant à 10 familles sont consommées par la girafe du Niger. Vigna anguculata a été retrouvé à travers les indices d’abroutissement. Les femelles ont un spectre alimentaire plus large (19 espèces végétales) que les mâles (16 espèces végétales). Les espèces végétales, les plus consommées sont Combretum glutinosum (15,60%), Balanites aegyptiaca (11,60%) et Faidherbia albida (37,60%). Le broutage de Mitragyna inermis n’est pas observé chez les mâles. Maerua crassifolia et Ziziphus mauritiana, présentant des indices d’abroutissement élevés, sont moins broutées par la girafe. La faible fréquence de la girafe sur certaines espèces végétales n’est que la conséquence de sa disponibilité dans l’habitat.


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